Photo OpenSkies
Alors que la tendance semble au "low cost" dans tous les domaines, en particulier celui du transport aérien, OpenSkies fait un pari différent, celui de la classe affaires à un prix plus raisonnable. Mais les prestations restent haut de gamme, et la compagnie, filiale de British Airways, se concentre sur Paris-New York, et Paris-Washington à certaines périodes de l'année. En 2008 OpenSkies a fusionné et intégré une compagnie équivalente en France, L'AVION. Cette fusion permet aujourd'hui à l'entreprise de se positionner comme "l’unique compagnie aérienne à proposer un voyage 100 % Classe Affaires à tarifs très attractifs entre Paris et New York. Nous sommes les seuls à avoir trouvé l’alchimie parfaite entre raffinement, simplicité et meilleur rapport qualité prix".
Il y a un peu plus d'un an, OpenSkies fait que le constat que son système de gestion (inventaire, réservations…) n'est plus adapté à l'évolution du modèle économique de l'entreprise. Le système RADIX alors utilisé est livré en standard avec Cognos pour la sortie des rapports et les extractions de données. Mais la suite de la méthode reste assez artisanale. Les données sont extraites avec Cognos sous forme de fichiers CSV, puis retraitées dans Excel ou Access. Tant le pilotage commercial que le "revenue management", dont a la charge David Chosson, sales analyst chez OpenSkies, étaient gérés de manière assez empirique avec des outils peu évolutifs et manquant de flexibilité. "Nous manquions de souplesse et de réactivité avec cet outil qui n'était pas du tout mutualisable, et ne pouvait pas être mis entre les mains des différents collaborateurs de la société, explique David Chosson. "Il fallait beaucoup de traitements enchainés avant d'obtenir des informations exploitables".
Avec quelques personnes seulement capables d'accéder à ces outils, perte de temps et d'efficacité étaient au rendez-vous.
Parfois également les outils de British Airways étaient sollicités pour quelques analyses de marché.
Il y a un peu plus d'un an, OpenSkies fait que le constat que son système de gestion (inventaire, réservations…) n'est plus adapté à l'évolution du modèle économique de l'entreprise. Le système RADIX alors utilisé est livré en standard avec Cognos pour la sortie des rapports et les extractions de données. Mais la suite de la méthode reste assez artisanale. Les données sont extraites avec Cognos sous forme de fichiers CSV, puis retraitées dans Excel ou Access. Tant le pilotage commercial que le "revenue management", dont a la charge David Chosson, sales analyst chez OpenSkies, étaient gérés de manière assez empirique avec des outils peu évolutifs et manquant de flexibilité. "Nous manquions de souplesse et de réactivité avec cet outil qui n'était pas du tout mutualisable, et ne pouvait pas être mis entre les mains des différents collaborateurs de la société, explique David Chosson. "Il fallait beaucoup de traitements enchainés avant d'obtenir des informations exploitables".
Avec quelques personnes seulement capables d'accéder à ces outils, perte de temps et d'efficacité étaient au rendez-vous.
Parfois également les outils de British Airways étaient sollicités pour quelques analyses de marché.
QlikView confirmé dans son rôle d'outil orienté utilisateurs
Fin 2010, la stratégie de l'entreprise évolue et elle décide de s'orienter vers des outils plus performants et plus souples, et de rejoindre le système Amadeus. Tout le système de réservation est migré en six à sept mois vers Amadeus. "Nous avons mené ce projet avec des équipes réduites. Il faut savoir qu'habituellement une compagnie aérienne choisit un ou deux modules de Amadeus et que la migration prend deux ans. Nous avons réussi à migrer l'ensemble de notre système (inventaire, réservation, vente en ligne, site internet, enregistrement en aéroport, en six mois", explique David Chosson. Mais OpenSkies est une compagnie de petite taille, avec seulement une quarantaine de personnes au sol. Cette migration vers Amadeus imposait à OpenSkies de choisir un nouvel outil de pilotage puisque Cognos n'était plus disponible. "Nous connaissions déjà QlikView car l'entreprise en détenait une licence en Angleterre". OpenSkies contacte QlikView en France, explique ses contraintes, le manque de disponibilité de ses équipes, la migration en cours vers Amadeus… et finalement OpenSkies choisit de se reposer sur les équipes de BIOS pour développer l'architecture et les premiers rapports assez rapidement. C'est la réactivité de BIOS qui leur a permis de remporter le projet. David Chosson a en effet contacté quelques intégrateurs susceptibles de mener le projet et BIOS a été le plus rapide à répondre. Le choix de QlikView a été entériné assez rapidement, après un rapide tour du marché et quelques appels aux collègues des autres compagnies aériennes. "Dès qu'une compagnie est un peu grosse, Business Objects est une solution qui tient la route, mais nous avions déjà la licence QlikView, et cela nous convenait bien". Des solutions plus complètes ont été développées par des prestataires complémentaires de Amadeus et utilisant Business Objects...
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