L’open source est comme une belle voiture ! On en rêve en feuilletant les pages d’un magazine, mais en matière d’informatique décisionnelle, il reste à l’état de projet.
L’étude que nous avons menée ces derniers mois, et à laquelle 277 personnes ont répondu, montre que rares sont les entreprises à avoir mis en place un outil de reporting en open source. 9 % des répondants disent être dans ce cas, même s’il est difficile de vérifier leur affirmation… Les défenseurs de l’open source savent se motiver mutuellement.
Le gros des troupes est constitué des « veilleurs », ceux qui regardent l’open source d’un œil et étudient le sujet. Vous êtes ainsi 72 % à jeter un regard dans cette direction. Mais les avis sont tranchés. Pour 34 % des répondants, les outils de reporting en open source ne sont pas matures. Il est urgent d’attendre.
Pour 38 % des répondants, cette maturité semble proche puisqu’ils disent être en cours d’étude.
Quant à l’autre extrême, les 19 % de personnes interrogées qui voient dans les outils de reporting en open source un cauchemar qu’ils ne laisseront jamais entrer dans leur entreprise, ils sont certainement composés en partie de salariés d’éditeurs propriétaire qui ont tout intérêt à freiner l’adoption de ce modèle, pour préserver leur carrière.
Près de deux ans après sa « révélation », l’open source professionnel dans le domaine des applications décisionnelles semble donc avoir du mal à se faire une place. Les raisons sont partagées entre d’un côté les utilisateurs, craintifs et frileux à l’idée de bousculer les habitudes d’achat de leur entreprise ; et de l’autre les « éditeurs » ou les porteurs de projets communautaires qui n’ont toujours rien compris aux attentes en matière de marketing et de communication des professionnels en entreprise. Ces professionnels ont besoin d’être rassurés ; Et le vide de communication ou la communication hyper-technique de certains acteurs ne les rassurent en rien ! Les projets open source doivent pour faire leur place se couler dans le moule des affaires.
On attendait les SSII et intégrateurs, que l’on présentait comme les hérauts potentiels de l’open source. Raté… en tous cas pour le moment. Les principales SSII ont préféré préserver leurs relations « gagnant-gagnant » avec les éditeurs, beaucoup plus rémunératrices. Seules quelques petits intégrateurs ont franchi le rubicon, mais ils sont trop peu nombreux pour impacter réellement le marché.
L’étude que nous avons menée ces derniers mois, et à laquelle 277 personnes ont répondu, montre que rares sont les entreprises à avoir mis en place un outil de reporting en open source. 9 % des répondants disent être dans ce cas, même s’il est difficile de vérifier leur affirmation… Les défenseurs de l’open source savent se motiver mutuellement.
Le gros des troupes est constitué des « veilleurs », ceux qui regardent l’open source d’un œil et étudient le sujet. Vous êtes ainsi 72 % à jeter un regard dans cette direction. Mais les avis sont tranchés. Pour 34 % des répondants, les outils de reporting en open source ne sont pas matures. Il est urgent d’attendre.
Pour 38 % des répondants, cette maturité semble proche puisqu’ils disent être en cours d’étude.
Quant à l’autre extrême, les 19 % de personnes interrogées qui voient dans les outils de reporting en open source un cauchemar qu’ils ne laisseront jamais entrer dans leur entreprise, ils sont certainement composés en partie de salariés d’éditeurs propriétaire qui ont tout intérêt à freiner l’adoption de ce modèle, pour préserver leur carrière.
Près de deux ans après sa « révélation », l’open source professionnel dans le domaine des applications décisionnelles semble donc avoir du mal à se faire une place. Les raisons sont partagées entre d’un côté les utilisateurs, craintifs et frileux à l’idée de bousculer les habitudes d’achat de leur entreprise ; et de l’autre les « éditeurs » ou les porteurs de projets communautaires qui n’ont toujours rien compris aux attentes en matière de marketing et de communication des professionnels en entreprise. Ces professionnels ont besoin d’être rassurés ; Et le vide de communication ou la communication hyper-technique de certains acteurs ne les rassurent en rien ! Les projets open source doivent pour faire leur place se couler dans le moule des affaires.
On attendait les SSII et intégrateurs, que l’on présentait comme les hérauts potentiels de l’open source. Raté… en tous cas pour le moment. Les principales SSII ont préféré préserver leurs relations « gagnant-gagnant » avec les éditeurs, beaucoup plus rémunératrices. Seules quelques petits intégrateurs ont franchi le rubicon, mais ils sont trop peu nombreux pour impacter réellement le marché.
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