Mesurer la capacité à résoudre des problèmes via la psychométrie et la gamification
Depuis plusieurs années, AssessFirst permet aux entreprises d’évaluer la capacité de leurs candidats à résoudre des problèmes grâce au test Brain. Composé d’une quarantaine de questions à choix multiples, et d’une durée d’environ 20 minutes, celui-ci distingue trois formes de raisonnement : (1) le raisonnement numérique, qui permet d’analyser la capacité à dépasser des problèmes mathématiques, (2) la compréhension verbale, pour comprendre la façon dont le candidat appréhende l’information, et (3) le raisonnement abstrait, qui renseigne sur la capacité globale d’apprentissage.
Pour moderniser ce test et répondre aux nouvelles exigences des candidats telles que compléter le test rapidement, postuler directement avec son smartphone, AssessFirst propose une nouvelle expérience, en associant psychométrie et gamification.
Plutôt que de répondre à une série de questions spécifiques, le candidat est maintenant invité à compléter une série de figures logiques. Pour s’émanciper des formats classiques, plusieurs principes sont ainsi empruntés au monde du jeu. D’une part, ce nouveau test est basé sur un modèle adaptatif (Computer Adaptive Testing) : chaque candidat a accès à une expérience sur-mesure, adaptée à son niveau réel et plus rapide. De même, plutôt qu’une consigne et des aides génériques communes à tous, un accompagnement personnalisé est proposé, grâce à l’analyse instantanée des comportements du candidat lors du test.
Enfin, les formats de réponse sont optimisés : là où les questions à choix multiples sont courantes dans beaucoup de tests de raisonnement, AssessFirst amène le candidat à construire sa réponse, en jouant et interagissant avec le matériel à disposition sur la scène de jeu. Au-delà de créer une expérience plus stimulante, ce format permet de recueillir plus d’informations sur les stratégies utilisées par le candidat.
« Avec ce nouveau test, AssessFirst entend également recentrer l’analyse des capacités cognitives sur un facteur général d’intelligence, aussi appelé facteur g. Les différentes formes de raisonnement évaluées par l’ancien test Brain sont en effet mises de côté, pour privilégier la rapidité du questionnaire et l’expérience utilisateur, » explique David Bernard, CEO d’AssessFirst.
« Certaines études démontrent que pour prédire la performance au travail, la seule évaluation du facteur g est suffisante, et que l’ajout de compétences spécifiques, comme le raisonnement numérique ou verbal, n’apporte pas d’informations supplémentaires sur la capacité de réussite d’un candidat : il apparait donc inutile de mesurer ces dimensions qui, même si elles sont intéressantes, sont fortement corrélées au facteur général d’intelligence et allongent inutilement la longueur du test, » poursuit Emeric Kubiak, Research Psychologist chez AssessFirst
De nombreux avantages pour les candidats
La nouvelle version de Brain permet de nombreux bénéfices, notamment en terme d’accessibilité et d’expérience utilisateur. Tout d’abord, comme expliqué, les modèles adaptatifs permettent de proposer une expérience personnalisée : un candidat se voit ainsi uniquement proposé des items adaptés à son niveau et basés sur sa performance réelle.
Par ailleurs, le test est pensé mobile first : il est donc très facile d’y accéder n’importe où et n’importe quand, répondant aux exigences modernes des candidats en termes de facilité d’accès et d’utilisation. Enfin, en limitant les éléments verbaux ou numériques, le nouveau format de Brain est accessible aux personnes qui présentent un handicap, comme la dyslexie : sa construction permet ainsi de respecter les réglementations en termes de non-discrimination lors de la sélection, tout en s’assurant d’une mesure fiable des capacités cognitives.
« De manière globale, les aspects de gamification appliqués au test Brain optimisent l’engagement et le vécu des candidats lors de la passation. D’autre part, pour maintenir l’engagement au cours de la passation, le candidat a accès à des feedbacks en temps réel, lui permettant de connaitre les résultats de ses actions, les comportements autorisés, ou encore comment il avance dans le test. Les études menées par AssessFirst, sur un échantillon d’environ 8000 passations du nouveau test Brain, démontrent ainsi que les candidats apprécient assez fortement l’expérience - note moyenne d’environ 4 sur 5, et qu’ils estiment que ce test mesure bien leurs capacités générales à raisonner - note moyenne d’environ 4 sur 5. Ces résultats tendent ainsi à confirmer d’autres études qui montrent que les exercices cognitifs sous forme de jeux apparaissent plus stimulants, quelque soit l’âge de l’utilisateur, » ajoute David Bernard.
« Cette méthodologie permet d’une part d’éviter que le candidat se sente en situation d’échec (et donc de réduire son anxiété), et d’autre part de raccourcir la durée du test : seulement 8 à 12 items sont nécessaires, pour un temps de passation d’environ 10 minutes, » conclue Simon Baron, Chief Scientist chez AssessFirst.
Les recruteurs ne sont pas oubliés
Une fois que le candidat a complété le test, le recruteur peut directement accéder aux résultats. Au-delà d’un score global, ce rapport détaille le mode de fonctionnement du candidat grâce à plusieurs indicateurs, comme par exemple : la complexité des tâches que le candidat peut gérer, la façon et la vitesse avec laquelle il prend des décisions, son style d’apprentissage, le niveau de prudence ou de précipitation dont il fait preuve, ou encore sa façon d’agir face aux difficultés. En tout, ce sont plus de 20 indicateurs que la nouvelle version de Brain permet d’appréhender.
Depuis plusieurs années, AssessFirst permet aux entreprises d’évaluer la capacité de leurs candidats à résoudre des problèmes grâce au test Brain. Composé d’une quarantaine de questions à choix multiples, et d’une durée d’environ 20 minutes, celui-ci distingue trois formes de raisonnement : (1) le raisonnement numérique, qui permet d’analyser la capacité à dépasser des problèmes mathématiques, (2) la compréhension verbale, pour comprendre la façon dont le candidat appréhende l’information, et (3) le raisonnement abstrait, qui renseigne sur la capacité globale d’apprentissage.
Pour moderniser ce test et répondre aux nouvelles exigences des candidats telles que compléter le test rapidement, postuler directement avec son smartphone, AssessFirst propose une nouvelle expérience, en associant psychométrie et gamification.
Plutôt que de répondre à une série de questions spécifiques, le candidat est maintenant invité à compléter une série de figures logiques. Pour s’émanciper des formats classiques, plusieurs principes sont ainsi empruntés au monde du jeu. D’une part, ce nouveau test est basé sur un modèle adaptatif (Computer Adaptive Testing) : chaque candidat a accès à une expérience sur-mesure, adaptée à son niveau réel et plus rapide. De même, plutôt qu’une consigne et des aides génériques communes à tous, un accompagnement personnalisé est proposé, grâce à l’analyse instantanée des comportements du candidat lors du test.
Enfin, les formats de réponse sont optimisés : là où les questions à choix multiples sont courantes dans beaucoup de tests de raisonnement, AssessFirst amène le candidat à construire sa réponse, en jouant et interagissant avec le matériel à disposition sur la scène de jeu. Au-delà de créer une expérience plus stimulante, ce format permet de recueillir plus d’informations sur les stratégies utilisées par le candidat.
« Avec ce nouveau test, AssessFirst entend également recentrer l’analyse des capacités cognitives sur un facteur général d’intelligence, aussi appelé facteur g. Les différentes formes de raisonnement évaluées par l’ancien test Brain sont en effet mises de côté, pour privilégier la rapidité du questionnaire et l’expérience utilisateur, » explique David Bernard, CEO d’AssessFirst.
« Certaines études démontrent que pour prédire la performance au travail, la seule évaluation du facteur g est suffisante, et que l’ajout de compétences spécifiques, comme le raisonnement numérique ou verbal, n’apporte pas d’informations supplémentaires sur la capacité de réussite d’un candidat : il apparait donc inutile de mesurer ces dimensions qui, même si elles sont intéressantes, sont fortement corrélées au facteur général d’intelligence et allongent inutilement la longueur du test, » poursuit Emeric Kubiak, Research Psychologist chez AssessFirst
De nombreux avantages pour les candidats
La nouvelle version de Brain permet de nombreux bénéfices, notamment en terme d’accessibilité et d’expérience utilisateur. Tout d’abord, comme expliqué, les modèles adaptatifs permettent de proposer une expérience personnalisée : un candidat se voit ainsi uniquement proposé des items adaptés à son niveau et basés sur sa performance réelle.
Par ailleurs, le test est pensé mobile first : il est donc très facile d’y accéder n’importe où et n’importe quand, répondant aux exigences modernes des candidats en termes de facilité d’accès et d’utilisation. Enfin, en limitant les éléments verbaux ou numériques, le nouveau format de Brain est accessible aux personnes qui présentent un handicap, comme la dyslexie : sa construction permet ainsi de respecter les réglementations en termes de non-discrimination lors de la sélection, tout en s’assurant d’une mesure fiable des capacités cognitives.
« De manière globale, les aspects de gamification appliqués au test Brain optimisent l’engagement et le vécu des candidats lors de la passation. D’autre part, pour maintenir l’engagement au cours de la passation, le candidat a accès à des feedbacks en temps réel, lui permettant de connaitre les résultats de ses actions, les comportements autorisés, ou encore comment il avance dans le test. Les études menées par AssessFirst, sur un échantillon d’environ 8000 passations du nouveau test Brain, démontrent ainsi que les candidats apprécient assez fortement l’expérience - note moyenne d’environ 4 sur 5, et qu’ils estiment que ce test mesure bien leurs capacités générales à raisonner - note moyenne d’environ 4 sur 5. Ces résultats tendent ainsi à confirmer d’autres études qui montrent que les exercices cognitifs sous forme de jeux apparaissent plus stimulants, quelque soit l’âge de l’utilisateur, » ajoute David Bernard.
« Cette méthodologie permet d’une part d’éviter que le candidat se sente en situation d’échec (et donc de réduire son anxiété), et d’autre part de raccourcir la durée du test : seulement 8 à 12 items sont nécessaires, pour un temps de passation d’environ 10 minutes, » conclue Simon Baron, Chief Scientist chez AssessFirst.
Les recruteurs ne sont pas oubliés
Une fois que le candidat a complété le test, le recruteur peut directement accéder aux résultats. Au-delà d’un score global, ce rapport détaille le mode de fonctionnement du candidat grâce à plusieurs indicateurs, comme par exemple : la complexité des tâches que le candidat peut gérer, la façon et la vitesse avec laquelle il prend des décisions, son style d’apprentissage, le niveau de prudence ou de précipitation dont il fait preuve, ou encore sa façon d’agir face aux difficultés. En tout, ce sont plus de 20 indicateurs que la nouvelle version de Brain permet d’appréhender.
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