Voici les défis à relever :
Toujours bien vérifier l’exactitude des rapports
Sur ce point, force est de constater que l’usage de tableurs comme Excel est encore largement pratiqué par les directions financières pour produire leurs rapports financiers et que le manque d’approche dynamique de ces outils peut être un réel frein à la génération de rapports fidèles. On notera aussi que d’un point de vue collaboratif, il est souvent difficile de gérer les notions de versionning. Ce manque de centralisation et d’uniformisation est un réel frein pour les entreprises. En moyenne, encore près de 75 % des directions financières sont encore organisées autour de cette approche. Il reste donc encore de très fortes marges de progression pour limiter les erreurs.
Gérer des données provenant de systèmes hétérogènes
La qualité des données est un point central pour produire des rapports de qualité qui pourront être exploités pour prendre de bonnes décisions. Au-delà de la présentation des données, il est en effet fondamental de comprendre ce qu’elles veulent dire et de définir des tendances. Mais pour arriver à cela, il convient d’ exploiter des données toujours plus importantes et provenant de systèmes divers. Il est important de centraliser et de limiter le plus possible les manipulations (en particulier en matière d’agrégation de données). Dans ce contexte, en moyenne, près de 30 % des DAF estiment que la collecte de données doit être améliorée. Au final, il s’agit donc bien d’unifier les données dans un référentiel pour gagner en performance, en productivité et en sécurité afin de générer des rapports financiers.
Améliorer les dispositifs collaboratifs
Générer des rapports financiers doit nécessairement passer par la mise en œuvre d’une approche de travail collaboratif. Tous les départements concernés doivent pouvoir travailler de concert pour construire les rapports financiers. Le manque de collaboration entre les équipes est un réel défi et ne permet pas d’avoir une analyse fine. Le manque de collaboration est également très souvent un frein pour comprendre et interpréter les informations des rapports et les écarts constatés. Il est donc essentiel que les DAF et autres responsables non financiers puissent travailler sur des rapports communs et toujours actualisés.
S’adapter à un environnement normatif en constante évolution
Outre les contraintes inhérentes aux processus de collecte et de validation des données, le consolideur doit également être en veille permanente pour appliquer les évolutions normatives imposées par les législateurs locaux ou internationaux : IFRS16 en 2019, reporting ESEF nécessitant la publication des états financiers primaires au format XBRL en 2020… L’évolution continue des règles à et des formats de présentation à respecter requière ainsi une souplesse et une réactivité forte afin de s’adapter rapidement à de nouvelles exigences.
Il est donc évident que l’élaboration de rapports financiers de qualité nécessite de mettre en place une organisation et un environnement adaptés. Au regard des dispositifs historiques largement mis en œuvre dans les entreprises, on comprend aisément que le challenge de la production de rapports financiers reste encore une réalité pour les professionnels et que cela passera par une profonde refonte de leur mode de travail.
Toujours bien vérifier l’exactitude des rapports
Sur ce point, force est de constater que l’usage de tableurs comme Excel est encore largement pratiqué par les directions financières pour produire leurs rapports financiers et que le manque d’approche dynamique de ces outils peut être un réel frein à la génération de rapports fidèles. On notera aussi que d’un point de vue collaboratif, il est souvent difficile de gérer les notions de versionning. Ce manque de centralisation et d’uniformisation est un réel frein pour les entreprises. En moyenne, encore près de 75 % des directions financières sont encore organisées autour de cette approche. Il reste donc encore de très fortes marges de progression pour limiter les erreurs.
Gérer des données provenant de systèmes hétérogènes
La qualité des données est un point central pour produire des rapports de qualité qui pourront être exploités pour prendre de bonnes décisions. Au-delà de la présentation des données, il est en effet fondamental de comprendre ce qu’elles veulent dire et de définir des tendances. Mais pour arriver à cela, il convient d’ exploiter des données toujours plus importantes et provenant de systèmes divers. Il est important de centraliser et de limiter le plus possible les manipulations (en particulier en matière d’agrégation de données). Dans ce contexte, en moyenne, près de 30 % des DAF estiment que la collecte de données doit être améliorée. Au final, il s’agit donc bien d’unifier les données dans un référentiel pour gagner en performance, en productivité et en sécurité afin de générer des rapports financiers.
Améliorer les dispositifs collaboratifs
Générer des rapports financiers doit nécessairement passer par la mise en œuvre d’une approche de travail collaboratif. Tous les départements concernés doivent pouvoir travailler de concert pour construire les rapports financiers. Le manque de collaboration entre les équipes est un réel défi et ne permet pas d’avoir une analyse fine. Le manque de collaboration est également très souvent un frein pour comprendre et interpréter les informations des rapports et les écarts constatés. Il est donc essentiel que les DAF et autres responsables non financiers puissent travailler sur des rapports communs et toujours actualisés.
S’adapter à un environnement normatif en constante évolution
Outre les contraintes inhérentes aux processus de collecte et de validation des données, le consolideur doit également être en veille permanente pour appliquer les évolutions normatives imposées par les législateurs locaux ou internationaux : IFRS16 en 2019, reporting ESEF nécessitant la publication des états financiers primaires au format XBRL en 2020… L’évolution continue des règles à et des formats de présentation à respecter requière ainsi une souplesse et une réactivité forte afin de s’adapter rapidement à de nouvelles exigences.
Il est donc évident que l’élaboration de rapports financiers de qualité nécessite de mettre en place une organisation et un environnement adaptés. Au regard des dispositifs historiques largement mis en œuvre dans les entreprises, on comprend aisément que le challenge de la production de rapports financiers reste encore une réalité pour les professionnels et que cela passera par une profonde refonte de leur mode de travail.
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