Tableau Online est annoncé officiellement aujourd’hui, mais il est testé par près de 150 clients depuis le mois de mars. Ce n’est donc plus véritablement une découverte. Cependant son lancement officiel confirme les choix faits par l’éditeur, maintenant coté en bourse et donc astreint à une communication plus contrôlée.
Tableau Online est donc la version hébergée en « cloud » de Tableau Server. Il permet de disposer de l’ensemble des fonctions de Tableau Server, sans avoir à installer de serveur, ni à s’occuper des procédures de sécurité. Avec en plus un paiement par abonnement annuel, en fonction du nombre d’utilisateurs.
En résumé, Tableau Online propose :
- de se connecter aux sources de données en ligne Google Analytics et Salesforce.com ou de recevoir des fichiers créés à partir des bases de données de l’entreprise ;
- d’héberger les tableaux de bord conçus en local par l’utilisateur avec Tableau Desktop (il s’agit donc bien d’un produit supplémentaire, il ne remplace pas la version installée sur le poste client) ;
- de mettre à jour éventuellement automatiquement les tableaux de bord si les sources sont connectées ;
- de partager les tableaux de bord avec des « invités » à l’intérieur ou à l’extérieur de l’entreprise ; ces invités pourront consulter les tableaux de bord à partir d’un ordinateur équipé d’un navigateur ou d’une tablette Apple ou Androïd ; Les données peuvent être analysées, mais la mise à jour des tableaux de bord nécessite toujours de passer par Tableau Desktop ;
- ces utilisateurs peuvent s’abonner aux mises à jour et reçoivent une alerte lorsque leur tableau de bord a été mis à jour ;
- Tableau Online est également un espace de partage des données et des méta-données au sein d’une organisation. Les utilisateurs peuvent réutiliser les informations publiées sur Tableau Online dans leurs propres analyses.
Pour un premier utilisateur, le coût est de 500 dollars par an. Tableau vise d’ailleurs les petites organisations, pour permettre aux petites équipes et aux entreprises qui travaillent avec des prestataires de partager des données. C’est l’esprit de la vidéo promotionnelle ci-dessous (en anglais) dans laquelle Tableau met en scène un vigneron qui commercialise sa production en ligne. Tableau appuie son lancement par un tour du monde événementiel « Tableau is Hosting » qui ne passe malheureusement par aucun pays francophone.
Tableau Online est donc la version hébergée en « cloud » de Tableau Server. Il permet de disposer de l’ensemble des fonctions de Tableau Server, sans avoir à installer de serveur, ni à s’occuper des procédures de sécurité. Avec en plus un paiement par abonnement annuel, en fonction du nombre d’utilisateurs.
En résumé, Tableau Online propose :
- de se connecter aux sources de données en ligne Google Analytics et Salesforce.com ou de recevoir des fichiers créés à partir des bases de données de l’entreprise ;
- d’héberger les tableaux de bord conçus en local par l’utilisateur avec Tableau Desktop (il s’agit donc bien d’un produit supplémentaire, il ne remplace pas la version installée sur le poste client) ;
- de mettre à jour éventuellement automatiquement les tableaux de bord si les sources sont connectées ;
- de partager les tableaux de bord avec des « invités » à l’intérieur ou à l’extérieur de l’entreprise ; ces invités pourront consulter les tableaux de bord à partir d’un ordinateur équipé d’un navigateur ou d’une tablette Apple ou Androïd ; Les données peuvent être analysées, mais la mise à jour des tableaux de bord nécessite toujours de passer par Tableau Desktop ;
- ces utilisateurs peuvent s’abonner aux mises à jour et reçoivent une alerte lorsque leur tableau de bord a été mis à jour ;
- Tableau Online est également un espace de partage des données et des méta-données au sein d’une organisation. Les utilisateurs peuvent réutiliser les informations publiées sur Tableau Online dans leurs propres analyses.
Pour un premier utilisateur, le coût est de 500 dollars par an. Tableau vise d’ailleurs les petites organisations, pour permettre aux petites équipes et aux entreprises qui travaillent avec des prestataires de partager des données. C’est l’esprit de la vidéo promotionnelle ci-dessous (en anglais) dans laquelle Tableau met en scène un vigneron qui commercialise sa production en ligne. Tableau appuie son lancement par un tour du monde événementiel « Tableau is Hosting » qui ne passe malheureusement par aucun pays francophone.
Prochaine étape importante pour l’éditeur, sa conférence utilisateurs annuelle qui se tient début septembre à Washington. Pour satisfaire ses clients, mais maintenant aussi les analystes financiers, Tableau devra à chacun de ces grands rendez-vous dévoiler une partie de ses futurs développements. Non, c’est promis, je ne parlerai pas de la version Mac… oups, j’en ai parlé… Dans la vidéo ci-dessus, vous ne verrez d’ailleurs que des Macs et des iPad… qui ont donc forcément du installer Parallels Desktop… ou pas… signe que la version Mac serait bien en phase finale de développement ? Mais je m’égare, je ne sais rien…
Après avoir vu son cours grimper jusqu’à 63 dollars au début de ce mois de juillet, il semble que des investisseurs aient préféré prendre leurs bénéfices et le titre est retombé. Il est maintenant à 55 dollars.
Après avoir vu son cours grimper jusqu’à 63 dollars au début de ce mois de juillet, il semble que des investisseurs aient préféré prendre leurs bénéfices et le titre est retombé. Il est maintenant à 55 dollars.
Autres articles
-
Salesforce dévoile une mise à jour de Tableau Einstein pour intégrer les agents IA autonomes sur sa plateforme analytique
-
Avec une capacité de traitement de 100 milliards d’interactions par jour, Salesforce Genie Customer Data Cloud et Tableau accélèrent la prise de décision en entreprise
-
Salesforce annonce la nomination de Jean-David Benassouli au poste de Vice-Président Analytics, à la tête de Tableau en France
-
Pour 87% des décideurs, la donnée est une source d'innovation et de croissance mais plus d'un tiers (34%) estime que leur entreprise passe à côté d'opportunités
-
Les horizons multiples qu'ouvre l'Intelligence Artificielle en 2018