SAS, leader de l’analytique, améliore ses solutions d’intelligence artificielle (IA) pour aider les entreprises à gagner en efficacité et à tirer rapidement parti de l’automatisation. Les nouvelles fonctionnalités de la plateforme SAS®, comme la gestion automatisée des données, le machine learning automatisé et des fonctions d’interprétabilité de pointe, témoignent de l’engagement de l’éditeur à rendre l’IA plus transparente et accessible à tous.
La nouvelle version de SAS® Viya®, composant de la plateforme SAS, sera disponible en Q4 2019. Elle met à la portée des data scientists mais aussi des utilisateurs métiers, les dernières techniques d’IA et d’analytique avancée. Ces améliorations fournissent un processus intelligent qui permet d’automatiser bon nombre des tâches manuelles complexes nécessaires à la transformation des données et à l’élaboration de modèles de machine learning. SAS automatise le cycle de vie de l’analytique, depuis le data wrangling et le feature engineering jusqu’à la sélection des algorithmes, en un seul clic.
Pour plus de transparence, le logiciel produit un pipeline visuel de manière dynamique qui élimine l’effet « boîte noire » qui va souvent de pair avec l’automatisation. Et grâce à l’analyse du langage naturel (ou NLG, Natural Language Generation), les résultats sont présentés en termes métiers faciles à comprendre. Une fois qu’un modèle est finalisé, il peut être déployé d’un simple clic.
Afin de démocratiser davantage les solutions d’IA, le processus de modélisation automatisé utilise une API REST qui permet aux développeurs de profiter de l’analytique SAS tout en personnalisant leurs applications métiers. Les utilisateurs peuvent en outre facilement intégrer du code open source et enrichir leur analyse avec SAS pour une expérience véritablement ouverte. Le machine learning sert également à recommander des transformations de données visant à réduire le temps de préparation de ces dernières.
L’assureur britannique Admiral lutte contre la fraude grâce à l’IA
Les déclarations de sinistre et demandes d’indemnisation frauduleuses constituent un problème majeur pour le secteur de l’assurance au Royaume-Uni. Assureurs et clients en paient d’ailleurs le prix avec une augmentation des primes d’assurance. Selon Cifas, premier service de prévention de la fraude au Royaume-Uni, les fausses déclarations de sinistre ont augmenté de 27 % en 2018 par rapport à l’année précédente, culminant à 45 % pour l’assurance-automobile.
Admiral, une compagnie d’assurance britannique, a développé des portails antifraude qui éliminent les processus de souscription manuels. Les assureurs gagnent ainsi du temps et économisent des ressources, tout en détectant beaucoup plus de fraudes que jamais auparavant. Les enquêteurs et les analystes qui traquent la fraude travaillent à présent depuis une plate-forme centralisée leur permettant de partager les données à l’échelle de l’entreprise et d’appliquer des méthodes analytiques sophistiquées pour détecter et prévenir la fraude. Grâce à cette approche, l’entreprise a réalisé plus de 31 millions de livres sterling de bénéfices rien qu’au cours des 12 derniers mois, dont 6 millions d’économies sur la fraude aux sinistres.
« Nous avons utilisé un moteur SAS d’analyse de la fraude à l’assurance pour appliquer différentes techniques, parmi lesquelles des règles métiers automatisées, le machine learning, l’intelligence artificielle, le text mining, l’interrogation des bases de données, la détection des anomalies et l’analyse des connexions réseau, le but étant d’évaluer automatiquement les déclarations de sinistre, les entités associées et les réseaux sociaux correspondants », explique Sarah Lang, responsable Analytique métier chez Admiral. « Ce processus nous a permis d’établir une solide relation entre l’analyse et la fraude aux sinistres. Une boucle de rétroaction continue nous aide à mettre régulièrement à jour le processus et à identifier plus rapidement un nombre accru de cas de fraude, tout en améliorant l’expérience de nos clients. »
Transformation du secteur grâce à l’IA
Avec les solutions d’IA de SAS, la start-up italienne Yolo casse les codes du secteur de l’assurance. La plateforme d’assurance numérique de Yolo fournit un accès à la demande à des polices d’assurance couvrant les voyages, les produits, la santé et les animaux de compagnie. Basée sur le machine learning SAS, cette plateforme est à même de proposer des offres d’assurance temporaires sur mesure en un temps record.
« En tant qu’entreprise « digital native », l’expérience de nos clients revêt une importance capitale », déclare Gianluca De Cobelli, cofondateur et CEO de Yolo Group. « Avec SAS, notre plateforme exploite toutes les données disponibles en temps réel pour traiter les demandes d’assurance vacances ou mobile, ce qui permet à notre établissement financier et à nos entreprises partenaires d’offrir à leurs clients une expérience mobile personnalisée et dynamique. »
Un partenariat continu avec IBM
Pour la première fois, la nouvelle version de SAS Viya prévue en novembre fonctionnera sur l’architecture de la puce IBM POWER9. Toutes les fonctionnalités de SAS Viya seront prises en charge, notamment l’accélération GPU pour le machine learning, le deep learning, ainsi que la formation et l’inférence de l’IA. Cela signifie en outre que les charges de travail SAS pourront s’exécuter sur n’importe quelle plateforme Cloud.
« SAS et IBM collaborent depuis plus de 40 ans. Ensemble, nous avons relevé certains des défis algorithmiques les plus complexes. IBM Power Systems apporte une plus-value à nos clients communs dont les enjeux métiers ont non seulement besoin de la puissance de l’analytique SAS, mais aussi d’un débit de données élevé », explique Ken Gahagan, directeur principal des services informatiques pour la recherche et le développement chez SAS.
L’avenir de l’IA : croissance et opportunités
« S’appuyant sur un investissement d’un milliard de dollars dans l’IA annoncé plus tôt cette année, SAS continue à innover dans ce domaine », indique Saurabh Gupta, directeur de l’analytique avancée et de l’intelligence artificielle chez SAS. « L’IA SAS aide les utilisateurs à gérer, comprendre et analyser les données dont ils disposent afin de prendre des décisions plus rapides et plus avisées. Les dernières améliorations apportées à nos offres d’IA visent à automatiser les nombreuses tâches manuelles complexes nécessaires à l’élaboration de modèles de machine learning. »
Au cours des trois prochaines années, l’investissement sera consacré aux activités de R&D et aux services d’accompagnement actuels et futurs pour continuer sur la lancée d’initiatives d’IA fructueuses telles que celles menées par Admiral et Yolo. Il soutiendra également des projets de formation SAS destinés à aider clients et partenaires à mieux comprendre l’IA et à en tirer pleinement parti.
Selon un récent rapport d’IDC sur la part de marché des plates-formes logicielles d’IA, le chiffre d’affaires de SAS généré par l’IA a augmenté de 105 % en 2018, un taux trois fois supérieur à celui du marché global.
Cette annonce a été effectuée à l’occasion de la conférence Analytics Experience de Milan. Ce congrès technologique organisé par SAS réunit des milliers de participants sur place et en ligne afin de partager leurs idées sur l’analytique et les usages de l’Intelligence artificielle.
La nouvelle version de SAS® Viya®, composant de la plateforme SAS, sera disponible en Q4 2019. Elle met à la portée des data scientists mais aussi des utilisateurs métiers, les dernières techniques d’IA et d’analytique avancée. Ces améliorations fournissent un processus intelligent qui permet d’automatiser bon nombre des tâches manuelles complexes nécessaires à la transformation des données et à l’élaboration de modèles de machine learning. SAS automatise le cycle de vie de l’analytique, depuis le data wrangling et le feature engineering jusqu’à la sélection des algorithmes, en un seul clic.
Pour plus de transparence, le logiciel produit un pipeline visuel de manière dynamique qui élimine l’effet « boîte noire » qui va souvent de pair avec l’automatisation. Et grâce à l’analyse du langage naturel (ou NLG, Natural Language Generation), les résultats sont présentés en termes métiers faciles à comprendre. Une fois qu’un modèle est finalisé, il peut être déployé d’un simple clic.
Afin de démocratiser davantage les solutions d’IA, le processus de modélisation automatisé utilise une API REST qui permet aux développeurs de profiter de l’analytique SAS tout en personnalisant leurs applications métiers. Les utilisateurs peuvent en outre facilement intégrer du code open source et enrichir leur analyse avec SAS pour une expérience véritablement ouverte. Le machine learning sert également à recommander des transformations de données visant à réduire le temps de préparation de ces dernières.
L’assureur britannique Admiral lutte contre la fraude grâce à l’IA
Les déclarations de sinistre et demandes d’indemnisation frauduleuses constituent un problème majeur pour le secteur de l’assurance au Royaume-Uni. Assureurs et clients en paient d’ailleurs le prix avec une augmentation des primes d’assurance. Selon Cifas, premier service de prévention de la fraude au Royaume-Uni, les fausses déclarations de sinistre ont augmenté de 27 % en 2018 par rapport à l’année précédente, culminant à 45 % pour l’assurance-automobile.
Admiral, une compagnie d’assurance britannique, a développé des portails antifraude qui éliminent les processus de souscription manuels. Les assureurs gagnent ainsi du temps et économisent des ressources, tout en détectant beaucoup plus de fraudes que jamais auparavant. Les enquêteurs et les analystes qui traquent la fraude travaillent à présent depuis une plate-forme centralisée leur permettant de partager les données à l’échelle de l’entreprise et d’appliquer des méthodes analytiques sophistiquées pour détecter et prévenir la fraude. Grâce à cette approche, l’entreprise a réalisé plus de 31 millions de livres sterling de bénéfices rien qu’au cours des 12 derniers mois, dont 6 millions d’économies sur la fraude aux sinistres.
« Nous avons utilisé un moteur SAS d’analyse de la fraude à l’assurance pour appliquer différentes techniques, parmi lesquelles des règles métiers automatisées, le machine learning, l’intelligence artificielle, le text mining, l’interrogation des bases de données, la détection des anomalies et l’analyse des connexions réseau, le but étant d’évaluer automatiquement les déclarations de sinistre, les entités associées et les réseaux sociaux correspondants », explique Sarah Lang, responsable Analytique métier chez Admiral. « Ce processus nous a permis d’établir une solide relation entre l’analyse et la fraude aux sinistres. Une boucle de rétroaction continue nous aide à mettre régulièrement à jour le processus et à identifier plus rapidement un nombre accru de cas de fraude, tout en améliorant l’expérience de nos clients. »
Transformation du secteur grâce à l’IA
Avec les solutions d’IA de SAS, la start-up italienne Yolo casse les codes du secteur de l’assurance. La plateforme d’assurance numérique de Yolo fournit un accès à la demande à des polices d’assurance couvrant les voyages, les produits, la santé et les animaux de compagnie. Basée sur le machine learning SAS, cette plateforme est à même de proposer des offres d’assurance temporaires sur mesure en un temps record.
« En tant qu’entreprise « digital native », l’expérience de nos clients revêt une importance capitale », déclare Gianluca De Cobelli, cofondateur et CEO de Yolo Group. « Avec SAS, notre plateforme exploite toutes les données disponibles en temps réel pour traiter les demandes d’assurance vacances ou mobile, ce qui permet à notre établissement financier et à nos entreprises partenaires d’offrir à leurs clients une expérience mobile personnalisée et dynamique. »
Un partenariat continu avec IBM
Pour la première fois, la nouvelle version de SAS Viya prévue en novembre fonctionnera sur l’architecture de la puce IBM POWER9. Toutes les fonctionnalités de SAS Viya seront prises en charge, notamment l’accélération GPU pour le machine learning, le deep learning, ainsi que la formation et l’inférence de l’IA. Cela signifie en outre que les charges de travail SAS pourront s’exécuter sur n’importe quelle plateforme Cloud.
« SAS et IBM collaborent depuis plus de 40 ans. Ensemble, nous avons relevé certains des défis algorithmiques les plus complexes. IBM Power Systems apporte une plus-value à nos clients communs dont les enjeux métiers ont non seulement besoin de la puissance de l’analytique SAS, mais aussi d’un débit de données élevé », explique Ken Gahagan, directeur principal des services informatiques pour la recherche et le développement chez SAS.
L’avenir de l’IA : croissance et opportunités
« S’appuyant sur un investissement d’un milliard de dollars dans l’IA annoncé plus tôt cette année, SAS continue à innover dans ce domaine », indique Saurabh Gupta, directeur de l’analytique avancée et de l’intelligence artificielle chez SAS. « L’IA SAS aide les utilisateurs à gérer, comprendre et analyser les données dont ils disposent afin de prendre des décisions plus rapides et plus avisées. Les dernières améliorations apportées à nos offres d’IA visent à automatiser les nombreuses tâches manuelles complexes nécessaires à l’élaboration de modèles de machine learning. »
Au cours des trois prochaines années, l’investissement sera consacré aux activités de R&D et aux services d’accompagnement actuels et futurs pour continuer sur la lancée d’initiatives d’IA fructueuses telles que celles menées par Admiral et Yolo. Il soutiendra également des projets de formation SAS destinés à aider clients et partenaires à mieux comprendre l’IA et à en tirer pleinement parti.
Selon un récent rapport d’IDC sur la part de marché des plates-formes logicielles d’IA, le chiffre d’affaires de SAS généré par l’IA a augmenté de 105 % en 2018, un taux trois fois supérieur à celui du marché global.
Cette annonce a été effectuée à l’occasion de la conférence Analytics Experience de Milan. Ce congrès technologique organisé par SAS réunit des milliers de participants sur place et en ligne afin de partager leurs idées sur l’analytique et les usages de l’Intelligence artificielle.
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