Richard Hooft, directeur du pôle Business Intelligence Services chez Ysance
Là où la BI traditionnelle œuvre au pilotage efficace de la performance sur le long terme, QlikView apporte lui une analyse de l’activité à l’instant T, entrainant des cycles de décision plus courts pour les utilisateurs métiers.
Si l’on se positionne, par exemple, en aval de la fourniture de la donnée préparée par la DSI, on rencontre très souvent des entreprises au sein desquelles les métiers éprouvent beaucoup de difficultés à obtenir le reporting et à fortiori les analyses qu’ils souhaitent.
Son adoption par les utilisateurs finaux est donc limitée. Pour pallier ces manques, on constate très fréquemment que cette donnée pour laquelle la DSI a déployé une énergie considérable afin de la rendre disponible, fiable, sécurisée et intelligible se retrouve sortie de la chaine décisionnelle pour être retravaillée « artisanalement » via des outils bureautiques.
Une « reconstruction » complexe de la donnée qui n’est pas fiable et qui occupe un temps précieux aux MOA ou aux métiers au détriment de l’analyse des phénomènes et des décisions qui en découlent.
En outre, l’évolution des reportings est souvent compliquée avec les systèmes de Business Intelligence classiques et engendre des délais peu compatibles avec l’évolution de plus en plus rapide de l’environnement des entreprises.
Avec QlikView, l’utilisateur peut faire évoluer ses propres reportings en fonction de ses besoins, de l’évolution de son activité et de son périmètre. L’évolution est plus rapide et surtout ne nécessite pas la mise en œuvre de processus projet complexes. Ainsi, les MOA ou métiers ont la capacité de produire leurs propres tableaux de bord tout en ayant la garantie que les données fournies pas la DSI sur lesquelles ils s’appuient sont fiables et à jour. Les cycles d’amélioration deviennent donc plus courts, plus fluides et les résultats sont visibles rapidement.
A contrario des outils plus traditionnels de BI qui restituent des informations globales mais agrégées, l’agilité et la simplicité de QlikView – car outre sa capacité à « forer » dans l’information, l’interface utilisateur est conçue pour être très intuitive - permettent d’envisager des analyses qui n’ont pas été préconçues par la DSI et affranchissent les métiers d’anticiper les analyses qu’ils devront réaliser dans le futur. Son niveau de détails dans l’analyse est tel qu’il contribue à identifier et à comprendre des phénomènes, des leviers de ROI voire des facteurs de risque permettant le recul nécessaire à la prise de décision rapide.
Une logique prédictive particulièrement appréciée dans le secteur bancaire pour qui, dans cet environnement économique instable, la gestion « dynamique » du risque est un facteur clé. QlikView peut leur offrir rapidement une visibilité sur leurs performances opérationnelles, leur clientèle, leurs portefeuilles de crédit ou de risques.
Là où les indicateurs de pilotage de BI se limitent à un constat (baisse du chiffre d’affaires, progression des encours, des marges…), les outils QlikView offrent la capacité d’une analyse poussée et instantanée à partir de données détaillées. Ils sont à même, par exemple, de constater qu’une part minoritaire de clients d’une banque contribuent fortement aux encours qu’elle possède et avertir ainsi du déséquilibre qui pourrait s’ensuivre si ces clients décident de changer de banque.
En apportant un niveau inédit d'analyse et de perspective, QlikView amène une valeur ajoutée aux informations hébergées au sein de systèmes existants - contrôlés et validés par le service informatique de l’entreprise - sans compliquer la configuration et l'utilisation de la plate-forme décisionnelle. C’est là tout l’avantage de QlikView, outil parfaitement « agnostique » qui ne dépend aucunement des systèmes préétablis et qui s’adapte parfaitement à l’architecture existante.
On comprend donc mieux pourquoi cette technologie, génératrice de business, est de plus en plus plébiscitée par les grandes entreprises qui voient dans l’approche agile et collaborative de QlikView le parfait allié à l’approche très structurée, globale et transverse des projets BI traditionnels.
Si l’on se positionne, par exemple, en aval de la fourniture de la donnée préparée par la DSI, on rencontre très souvent des entreprises au sein desquelles les métiers éprouvent beaucoup de difficultés à obtenir le reporting et à fortiori les analyses qu’ils souhaitent.
Son adoption par les utilisateurs finaux est donc limitée. Pour pallier ces manques, on constate très fréquemment que cette donnée pour laquelle la DSI a déployé une énergie considérable afin de la rendre disponible, fiable, sécurisée et intelligible se retrouve sortie de la chaine décisionnelle pour être retravaillée « artisanalement » via des outils bureautiques.
Une « reconstruction » complexe de la donnée qui n’est pas fiable et qui occupe un temps précieux aux MOA ou aux métiers au détriment de l’analyse des phénomènes et des décisions qui en découlent.
En outre, l’évolution des reportings est souvent compliquée avec les systèmes de Business Intelligence classiques et engendre des délais peu compatibles avec l’évolution de plus en plus rapide de l’environnement des entreprises.
Avec QlikView, l’utilisateur peut faire évoluer ses propres reportings en fonction de ses besoins, de l’évolution de son activité et de son périmètre. L’évolution est plus rapide et surtout ne nécessite pas la mise en œuvre de processus projet complexes. Ainsi, les MOA ou métiers ont la capacité de produire leurs propres tableaux de bord tout en ayant la garantie que les données fournies pas la DSI sur lesquelles ils s’appuient sont fiables et à jour. Les cycles d’amélioration deviennent donc plus courts, plus fluides et les résultats sont visibles rapidement.
A contrario des outils plus traditionnels de BI qui restituent des informations globales mais agrégées, l’agilité et la simplicité de QlikView – car outre sa capacité à « forer » dans l’information, l’interface utilisateur est conçue pour être très intuitive - permettent d’envisager des analyses qui n’ont pas été préconçues par la DSI et affranchissent les métiers d’anticiper les analyses qu’ils devront réaliser dans le futur. Son niveau de détails dans l’analyse est tel qu’il contribue à identifier et à comprendre des phénomènes, des leviers de ROI voire des facteurs de risque permettant le recul nécessaire à la prise de décision rapide.
Une logique prédictive particulièrement appréciée dans le secteur bancaire pour qui, dans cet environnement économique instable, la gestion « dynamique » du risque est un facteur clé. QlikView peut leur offrir rapidement une visibilité sur leurs performances opérationnelles, leur clientèle, leurs portefeuilles de crédit ou de risques.
Là où les indicateurs de pilotage de BI se limitent à un constat (baisse du chiffre d’affaires, progression des encours, des marges…), les outils QlikView offrent la capacité d’une analyse poussée et instantanée à partir de données détaillées. Ils sont à même, par exemple, de constater qu’une part minoritaire de clients d’une banque contribuent fortement aux encours qu’elle possède et avertir ainsi du déséquilibre qui pourrait s’ensuivre si ces clients décident de changer de banque.
En apportant un niveau inédit d'analyse et de perspective, QlikView amène une valeur ajoutée aux informations hébergées au sein de systèmes existants - contrôlés et validés par le service informatique de l’entreprise - sans compliquer la configuration et l'utilisation de la plate-forme décisionnelle. C’est là tout l’avantage de QlikView, outil parfaitement « agnostique » qui ne dépend aucunement des systèmes préétablis et qui s’adapte parfaitement à l’architecture existante.
On comprend donc mieux pourquoi cette technologie, génératrice de business, est de plus en plus plébiscitée par les grandes entreprises qui voient dans l’approche agile et collaborative de QlikView le parfait allié à l’approche très structurée, globale et transverse des projets BI traditionnels.
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