Paul tel qu'il aimait se représenter lui-même, un clown sensible
Il n’est pas dans mon habitude d’utiliser les colonnes de Decideo comme support d’un message si personnel, mais tu as évidemment marqué les centaines de personnes croisées durant cette étape de ta vie professionnelle consacrée au décisionnel. Créateur de ce site, je m’arroge donc le droit d’y graver pour l’éternité numérique ce message d’amitié. Tu voulais faire partie de l’histoire du décisionnel, et bien voilà c’est fait ! Tu l’as bien mérité cette Une de Decideo. Pour l’instant, les avancées de la science ne nous permettent pas d’être certain que le très haut débit est parvenu jusqu’à ta nouvelle demeure, mais j’ai envie de le croire.
Nous nous connaissons depuis… quinze ans peut-être… Depuis cette « lettre confidentielle » que j’avais lancé au début des années 90 sur l’informatique décisionnelle. Adviseurs n’avait pas la popularité de Business Objects ou de Cognos, mais tu avais bien l’intention de corriger cela. Et une fois rentré au CXP nous avons eu l’occasion de travailler ensemble. Il faut que vous sachiez, cher lecteur, que lorsque deux personnes comme Paul et moi se retrouvent, cela ne peut être qu’autour d’une table ! Et les deux souvenirs que j’oserai partager ici (promis, je ne dirai rien sur la 42ème rue…) sont donc forcément gargantuesques. Tu m’as fait découvrir le meilleur et le pire restaurant de Paris, le Grand Venise… ses paniers de charcuterie, ses bouteilles de whisky sur la table, sa glace au caramel servie à la truelle… Fabuleux ! Barbara et moi en parlons encore régulièrement. Plus agréable en tous cas que le vol Paris-Denver que j’empruntais le lendemain matin pour un voyage de presse JDEdwards… le transatlantique le plus long de ma vie.
Et pour joindre l’utile à l’agréable, tu avais décidé de me faire découvrir New-York. La mission : réaliser un reportage chez ton client préféré dans la grosse pomme, le NYSE. Passionnant d’apprendre comment ces spécialistes de la finance utilisaient ce logiciel français pour traquer les transactions anormales sur les marchés. Une visite sur le « floor »… et le premier soir, tu avais décidé de me tester ! Diner dans un steak-house réputé, aux portions… américaines… Mais j’ai relevé le défi ! Certes le cheese-cake était de trop, mais tout le reste « gorgeous » ! Du coup le reportage a eu droit à la Une du CXP. Qui a dit que les journalistes étaient incorruptibles.
Alors aujourd’hui je suis triste, car tu n’alimenteras plus l’actualité de Decideo avec tes coups de gueule et ton franc-parler. Nous n’animerons plus de tables-rondes ensemble. Tu feignais de détester l’exercice, mais tu étais un vrai « bon client ».
Mais aujourd’hui je suis heureux, parce que tu nous aurais demandé de l’être d’une part, et parce que je suis certain qu’un jour ou l’autre, ailleurs, nous nous recroiserons. Et que ce sera forcément autour dans un bon restaurant. Salut Paul, et à la prochaine !
Nous nous connaissons depuis… quinze ans peut-être… Depuis cette « lettre confidentielle » que j’avais lancé au début des années 90 sur l’informatique décisionnelle. Adviseurs n’avait pas la popularité de Business Objects ou de Cognos, mais tu avais bien l’intention de corriger cela. Et une fois rentré au CXP nous avons eu l’occasion de travailler ensemble. Il faut que vous sachiez, cher lecteur, que lorsque deux personnes comme Paul et moi se retrouvent, cela ne peut être qu’autour d’une table ! Et les deux souvenirs que j’oserai partager ici (promis, je ne dirai rien sur la 42ème rue…) sont donc forcément gargantuesques. Tu m’as fait découvrir le meilleur et le pire restaurant de Paris, le Grand Venise… ses paniers de charcuterie, ses bouteilles de whisky sur la table, sa glace au caramel servie à la truelle… Fabuleux ! Barbara et moi en parlons encore régulièrement. Plus agréable en tous cas que le vol Paris-Denver que j’empruntais le lendemain matin pour un voyage de presse JDEdwards… le transatlantique le plus long de ma vie.
Et pour joindre l’utile à l’agréable, tu avais décidé de me faire découvrir New-York. La mission : réaliser un reportage chez ton client préféré dans la grosse pomme, le NYSE. Passionnant d’apprendre comment ces spécialistes de la finance utilisaient ce logiciel français pour traquer les transactions anormales sur les marchés. Une visite sur le « floor »… et le premier soir, tu avais décidé de me tester ! Diner dans un steak-house réputé, aux portions… américaines… Mais j’ai relevé le défi ! Certes le cheese-cake était de trop, mais tout le reste « gorgeous » ! Du coup le reportage a eu droit à la Une du CXP. Qui a dit que les journalistes étaient incorruptibles.
Alors aujourd’hui je suis triste, car tu n’alimenteras plus l’actualité de Decideo avec tes coups de gueule et ton franc-parler. Nous n’animerons plus de tables-rondes ensemble. Tu feignais de détester l’exercice, mais tu étais un vrai « bon client ».
Mais aujourd’hui je suis heureux, parce que tu nous aurais demandé de l’être d’une part, et parce que je suis certain qu’un jour ou l’autre, ailleurs, nous nous recroiserons. Et que ce sera forcément autour dans un bon restaurant. Salut Paul, et à la prochaine !
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