Source : LIBRARY OF CONGRESS
Qlik®, leader en matière de solutions d'analyse visuelle des données, a publié les résultats d’une étude européenne* mettant en évidence un usage accru en entreprise du data storytelling – un récit à partir de données mises en forme pour faciliter l’argumentation et les commentaires.
Selon l’étude, réalisée fin 2016 avec Cognizant et le cabinet d’analyse et de conseil BARC (spécialisé dans la Business Intelligence et la gestion de données, de contenu d’entreprise, de la relation client), les fonctions qui ont adopté le data storytelling sont majoritairement celles qui prennent des décisions impactant toute l’organisation.
56% du top management et 46% des responsables et contrôleurs/gestionnaires financiers disent y avoir recours. Un constat surprenant quand on imagine ces fonctions davantage concernées par les chiffres : pourquoi cette nécessité de présenter les informations sous forme d’un récit ? Selon Dan Sommer, directeur principal, Global Market Intelligence, chez Qlik : « Cela peut sembler paradoxal, mais dans un monde où la data est omniprésente, l’art de la narration, l’enchaînement des idées, les mots retrouvent toute leur importance. Grâce aux outils de visualisation des données on peut construire un récit, faire des démonstrations, employer des éléments qui s’inscrivent davantage dans un registre émotionnel. »
Le data storytelling est la création d’un récit qui intègre à la fois les données brutes, les connexions qui existent entre elles et les commentaires qui en découlent. « En juxtaposant et en comparant des données, on peut établir des liens logiques qui n’apparaissent pas de prime abord dans des tableaux bruts ; mais il faut savoir dire à son audience en quoi cette relation est probante », ajoute Dan Sommer.
S’il devient aujourd’hui un vecteur que les dirigeants utilisent pour partager leurs idées et convaincre, le data storytelling pourrait aussi, à court-terme, devenir un levier efficace pour impliquer les équipes et faciliter la prise de décisions sur des projets spécifiques. L’étude Qlik-BARC-Cognizant montre en effet que pour l’heure, seuls 23% des responsables-projet et 12% des utilisateurs occasionnels de données y ont recours.
*Etude réalisée entre septembre et octobre 2016 par BARC avec Qlik et Cognizant auprès de 250 responsables en entreprise en Europe.
Selon l’étude, réalisée fin 2016 avec Cognizant et le cabinet d’analyse et de conseil BARC (spécialisé dans la Business Intelligence et la gestion de données, de contenu d’entreprise, de la relation client), les fonctions qui ont adopté le data storytelling sont majoritairement celles qui prennent des décisions impactant toute l’organisation.
56% du top management et 46% des responsables et contrôleurs/gestionnaires financiers disent y avoir recours. Un constat surprenant quand on imagine ces fonctions davantage concernées par les chiffres : pourquoi cette nécessité de présenter les informations sous forme d’un récit ? Selon Dan Sommer, directeur principal, Global Market Intelligence, chez Qlik : « Cela peut sembler paradoxal, mais dans un monde où la data est omniprésente, l’art de la narration, l’enchaînement des idées, les mots retrouvent toute leur importance. Grâce aux outils de visualisation des données on peut construire un récit, faire des démonstrations, employer des éléments qui s’inscrivent davantage dans un registre émotionnel. »
Le data storytelling est la création d’un récit qui intègre à la fois les données brutes, les connexions qui existent entre elles et les commentaires qui en découlent. « En juxtaposant et en comparant des données, on peut établir des liens logiques qui n’apparaissent pas de prime abord dans des tableaux bruts ; mais il faut savoir dire à son audience en quoi cette relation est probante », ajoute Dan Sommer.
S’il devient aujourd’hui un vecteur que les dirigeants utilisent pour partager leurs idées et convaincre, le data storytelling pourrait aussi, à court-terme, devenir un levier efficace pour impliquer les équipes et faciliter la prise de décisions sur des projets spécifiques. L’étude Qlik-BARC-Cognizant montre en effet que pour l’heure, seuls 23% des responsables-projet et 12% des utilisateurs occasionnels de données y ont recours.
*Etude réalisée entre septembre et octobre 2016 par BARC avec Qlik et Cognizant auprès de 250 responsables en entreprise en Europe.
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