Alexandre Cugnot, Consultant chez Ozitem
Néanmoins, utiliser des tablettes dans un environnement professionnel ne s’improvise pas et doit être minutieusement préparé par la Direction des Systèmes d’Information. Plusieurs points doivent être pris en compte : usage, applications, sécurité… Autant d’éléments complémentaires qu’il est utile de ne pas perdre de vue et de combiner pour donner une réalité à son projet.
La tablette doit être envisagée comme une solution à des besoins métiers et permettre aux utilisateurs d’accéder à des bénéfices en termes de productivité, de simplification des processus et d’optimisation du travail quotidien. Le déploiement d’une flotte de tablettes n’est pas un projet pour faire plaisir à la DSI, qui, par l’installation d’applications spécifiques à des raisons de sécurité ou d’activité, risque de brider les fonctionnalités offertes par l’outil. Les applications doivent être adaptées, optimisant l’adhérence aux besoins de l’utilisateur et préservant ce qui a fait son succès : sa convivialité et sa facilité d’utilisation. Il est donc nécessaire de se rapprocher des fonctionnels pour préparer son projet dans de bonnes conditions.
Il faut ensuite choisir le type de tablettes utilisées (OS, caractéristiques techniques…) Ces éléments doivent prendre en compte des contraintes et caractéristiques techniques, qui seront importantes dans l’intégration des tablettes au sein du système d’information. Un travail sur les notions liées à l’interconnexion, au réseau, aux possibilités de se connecter au SI sont également des points cruciaux à débattre. Il n’est, en effet, pas possible d’utiliser une tablette de la même manière que dans la sphère privée. A titre d’exemple, la sécurité doit être positionnée comme un maillon clé du dispositif. Il est important de se rappeler que, dans un contexte professionnel, le type d’applications utilisées et les informations échangées ont une importance stratégique. Des précautions d’usage et d’accès sont incontournables.
En ce sens, un travail de pédagogie est également nécessaire auprès des utilisateurs pour leur expliquer le périmètre d’utilisation de ces outils d’un nouveau genre. Les collaborateurs doivent comprendre qu’il ne s’agit pas de faire n’importe quoi avec ces outils et que leur utilisation doit être différente de celle qu’ils adoptent au quotidien sur leurs tablettes personnelles. Au-delà des utilisateurs, la DSI doit également définir une politique d’administration de ces nouvelles flottes mobiles : administration centralisée… Gérer un parc mobile est un axe à part entière qui doit s’entourer de processus de gestion dédiés. Seul un schéma directeur clair permettra de maintenir un parc de tablettes dans les meilleures conditions et de manière industrielle.
Une fois ces grands principes établis, il est possible de déployer son projet. L’on notera que l’un des avantages des tablettes tient également à leur caractère intuitif. Ainsi, il n’est pas nécessaire de prévoir de longues sessions de formation pour permettre à leurs utilisateurs d’être rapidement opérationnels. Cela contribue fortement à accroître le retour sur investissement des projets et à démultiplier la productivité des utilisateurs.
Selon une étude menée en début d’année par Dimensional Research auprès de 448 entreprises, 22 % des sociétés interrogées ont déjà déployé des tablettes et la même proportion envisage de le faire d’ici la fin de cette année. En 2012, plus de deux tiers des entreprises devraient avoir déployé ces terminaux en interne. Concernant plus particulièrement l’iPAD, notez que 70% des entreprises du FORTUNE500 l’ont déjà déployé, ou sont en cours.
Ces données démontrent donc bien que nous sommes sur un axe de développement fort et que les tablettes devraient occuper une place de choix dans la sphère professionnelle.
La tablette doit être envisagée comme une solution à des besoins métiers et permettre aux utilisateurs d’accéder à des bénéfices en termes de productivité, de simplification des processus et d’optimisation du travail quotidien. Le déploiement d’une flotte de tablettes n’est pas un projet pour faire plaisir à la DSI, qui, par l’installation d’applications spécifiques à des raisons de sécurité ou d’activité, risque de brider les fonctionnalités offertes par l’outil. Les applications doivent être adaptées, optimisant l’adhérence aux besoins de l’utilisateur et préservant ce qui a fait son succès : sa convivialité et sa facilité d’utilisation. Il est donc nécessaire de se rapprocher des fonctionnels pour préparer son projet dans de bonnes conditions.
Il faut ensuite choisir le type de tablettes utilisées (OS, caractéristiques techniques…) Ces éléments doivent prendre en compte des contraintes et caractéristiques techniques, qui seront importantes dans l’intégration des tablettes au sein du système d’information. Un travail sur les notions liées à l’interconnexion, au réseau, aux possibilités de se connecter au SI sont également des points cruciaux à débattre. Il n’est, en effet, pas possible d’utiliser une tablette de la même manière que dans la sphère privée. A titre d’exemple, la sécurité doit être positionnée comme un maillon clé du dispositif. Il est important de se rappeler que, dans un contexte professionnel, le type d’applications utilisées et les informations échangées ont une importance stratégique. Des précautions d’usage et d’accès sont incontournables.
En ce sens, un travail de pédagogie est également nécessaire auprès des utilisateurs pour leur expliquer le périmètre d’utilisation de ces outils d’un nouveau genre. Les collaborateurs doivent comprendre qu’il ne s’agit pas de faire n’importe quoi avec ces outils et que leur utilisation doit être différente de celle qu’ils adoptent au quotidien sur leurs tablettes personnelles. Au-delà des utilisateurs, la DSI doit également définir une politique d’administration de ces nouvelles flottes mobiles : administration centralisée… Gérer un parc mobile est un axe à part entière qui doit s’entourer de processus de gestion dédiés. Seul un schéma directeur clair permettra de maintenir un parc de tablettes dans les meilleures conditions et de manière industrielle.
Une fois ces grands principes établis, il est possible de déployer son projet. L’on notera que l’un des avantages des tablettes tient également à leur caractère intuitif. Ainsi, il n’est pas nécessaire de prévoir de longues sessions de formation pour permettre à leurs utilisateurs d’être rapidement opérationnels. Cela contribue fortement à accroître le retour sur investissement des projets et à démultiplier la productivité des utilisateurs.
Selon une étude menée en début d’année par Dimensional Research auprès de 448 entreprises, 22 % des sociétés interrogées ont déjà déployé des tablettes et la même proportion envisage de le faire d’ici la fin de cette année. En 2012, plus de deux tiers des entreprises devraient avoir déployé ces terminaux en interne. Concernant plus particulièrement l’iPAD, notez que 70% des entreprises du FORTUNE500 l’ont déjà déployé, ou sont en cours.
Ces données démontrent donc bien que nous sommes sur un axe de développement fort et que les tablettes devraient occuper une place de choix dans la sphère professionnelle.