Hervé LESCURE, Olo-One
Ce n’est pas un hasard si ce sujet fait l’objet de cet édito aujourd’hui, alors que les entreprises évoluent dans un environnement économique en crise. C’est en effet une période où beaucoup réfléchissent aux opportunités d’’amélioration de la profitabilité de leurs investissements, et parmi eux, ceux dédiés à l’informatique.
Pourquoi le choix du mode SaaS peut-il être une de ces opportunités ?
Si, dans le déroulement d’un projet informatique toutes les étapes d’analyse et d’expression des besoins métier représentent un temps incompressible et sont pour parties spécifiques à chaque entreprise, la manière de déployer et d’administrer la plateforme technologique peut quant à elle, être totalement repensée. Le mode SaaS implique par essence une plateforme technologique mutualisée ; on peut tout de suite voir les pistes d’économies (coût de licence, d’architecture, de compétence technique interne…). Et, cerise sur le gâteau, il garantit une souplesse d’évolution totale.
De plus, appréhender une logique SaaS pour une entreprise peut l’encourager à réfléchir à la singularité de ses spécificités, eût égard aux coûts de conception et de déploiement de plateformes technologiques 100% personnalisées. Les offres SaaS étant par nature industrialisées et mutualisées, elles permettent de disposer de solutions clé en main qui couvrent en standard de 60 à 80% des besoins d’une entreprise. Fort de ce tronc commun « plug and play » à bas coût, elles vont dès lors pouvoir investir « sans compter » dans l’analyse de leurs vraies spécificités et dans le paramétrage qui en découlera. Au delà du pur gain budgétaire, ces solutions « préfabriquées » permettent également de réduire très significativement la durée des projets et améliorer la satisfaction des utilisateurs.
Pour autant, le mode SaaS a ses détracteurs, qu’ils soient industriels du logiciel ou clients finaux. Leur leitmotiv ? L’insécurité des données dans une architecture externalisée.
Mais avec un regard pragmatique sur la réalité des architecture actuelles des SI, on s’aperçoit que l’ouverture et le partage des systèmes avec des tiers partenaires est une pratique avérée. Et pour en finir avec les fantasme autour de la sécurité, si le risque zéro n’existe pas, il est incontestable que la sécurisation des données n’a jamais été aussi fiable qu’aujourd’hui. Et, réponse aux détracteurs du mode SaaS, il faut savoir que toutes les études démontrent qu’une application (transactionnelle ou décisionnelle) est, dans plus de 95% des cas, mieux sécurisée chez un hébergeur contractuellement responsable qu’au sein d’un SI interne.
C’est d’ailleurs pour cela qu’aujourd’hui, face à cette inévitable évolution, tous les grands éditeurs (IBM, SAP, Oracle, Microsoft, SAS…) et une infinité de nouveaux entrants investissent très significativement dans ces nouvelles architectures comme le « pure player » référent de ce marché Salesforces.com.
Pour bien comprendre cette tendance, il est intéressant de lire les analyses des cabinets dits de prospectives comme :
• Gartner: (http://www.gartner.com/it/page.jsp?id=496886,
• Forrester
• Markess International: Le Barometre Prestataires SaaS Edition 2009.pdf;
Le Referentiel_Atouts & Benefices Modele SaaS Edition 2009.pdf;
Ces trois cabinets d’études estiment que la part de marché du SaaS sera en forte progression d’ici à 2012 et que la période de crise actuelle ne peut que conforter sa croissance.
A titre de complément d’information nous vous invitons à lire également sur Silicon.fr un article rédigé à partir d’une étude Markess International :
http://www.silicon.fr/fr/news/2009/02.
En tant qu’acteur leader du domaine décisionnel, Olo-one investit bien évidement sur ce nouveau marché avec le développement de deux offres SaaS BI complémentaires :
• Un intégré BI « généraliste » développé sur la base de la suite décisionnelle de Microsoft SQL Server 2008 (http://www.microsoft.com/France/decisionnel/)
• Une offre dédiée à la mise en place d’indicateurs clés pour des marchés verticaux, développé sur la base de la technologie Qlikview (http://www.qlikview.com/)
Nous serons en mesure de vous présenter les premiers modules avant l’été.
Pour conclure, en 2008, sur l’ensemble des projets SaaS, déjà 8% concernaient le déploiement de plateformes BI et, compte tenu des évolutions des mentalités, des exigences en matière de gains de productivité, des évolutions techniques dans la récupération à distance des données décisionnelles et de la baisse du ratio coût/débits des infrastructures télécom, l’avenir du SaaS BI est assurément au beau fixe.
Pourquoi le choix du mode SaaS peut-il être une de ces opportunités ?
Si, dans le déroulement d’un projet informatique toutes les étapes d’analyse et d’expression des besoins métier représentent un temps incompressible et sont pour parties spécifiques à chaque entreprise, la manière de déployer et d’administrer la plateforme technologique peut quant à elle, être totalement repensée. Le mode SaaS implique par essence une plateforme technologique mutualisée ; on peut tout de suite voir les pistes d’économies (coût de licence, d’architecture, de compétence technique interne…). Et, cerise sur le gâteau, il garantit une souplesse d’évolution totale.
De plus, appréhender une logique SaaS pour une entreprise peut l’encourager à réfléchir à la singularité de ses spécificités, eût égard aux coûts de conception et de déploiement de plateformes technologiques 100% personnalisées. Les offres SaaS étant par nature industrialisées et mutualisées, elles permettent de disposer de solutions clé en main qui couvrent en standard de 60 à 80% des besoins d’une entreprise. Fort de ce tronc commun « plug and play » à bas coût, elles vont dès lors pouvoir investir « sans compter » dans l’analyse de leurs vraies spécificités et dans le paramétrage qui en découlera. Au delà du pur gain budgétaire, ces solutions « préfabriquées » permettent également de réduire très significativement la durée des projets et améliorer la satisfaction des utilisateurs.
Pour autant, le mode SaaS a ses détracteurs, qu’ils soient industriels du logiciel ou clients finaux. Leur leitmotiv ? L’insécurité des données dans une architecture externalisée.
Mais avec un regard pragmatique sur la réalité des architecture actuelles des SI, on s’aperçoit que l’ouverture et le partage des systèmes avec des tiers partenaires est une pratique avérée. Et pour en finir avec les fantasme autour de la sécurité, si le risque zéro n’existe pas, il est incontestable que la sécurisation des données n’a jamais été aussi fiable qu’aujourd’hui. Et, réponse aux détracteurs du mode SaaS, il faut savoir que toutes les études démontrent qu’une application (transactionnelle ou décisionnelle) est, dans plus de 95% des cas, mieux sécurisée chez un hébergeur contractuellement responsable qu’au sein d’un SI interne.
C’est d’ailleurs pour cela qu’aujourd’hui, face à cette inévitable évolution, tous les grands éditeurs (IBM, SAP, Oracle, Microsoft, SAS…) et une infinité de nouveaux entrants investissent très significativement dans ces nouvelles architectures comme le « pure player » référent de ce marché Salesforces.com.
Pour bien comprendre cette tendance, il est intéressant de lire les analyses des cabinets dits de prospectives comme :
• Gartner: (http://www.gartner.com/it/page.jsp?id=496886,
• Forrester
• Markess International: Le Barometre Prestataires SaaS Edition 2009.pdf;
Le Referentiel_Atouts & Benefices Modele SaaS Edition 2009.pdf;
Ces trois cabinets d’études estiment que la part de marché du SaaS sera en forte progression d’ici à 2012 et que la période de crise actuelle ne peut que conforter sa croissance.
A titre de complément d’information nous vous invitons à lire également sur Silicon.fr un article rédigé à partir d’une étude Markess International :
http://www.silicon.fr/fr/news/2009/02.
En tant qu’acteur leader du domaine décisionnel, Olo-one investit bien évidement sur ce nouveau marché avec le développement de deux offres SaaS BI complémentaires :
• Un intégré BI « généraliste » développé sur la base de la suite décisionnelle de Microsoft SQL Server 2008 (http://www.microsoft.com/France/decisionnel/)
• Une offre dédiée à la mise en place d’indicateurs clés pour des marchés verticaux, développé sur la base de la technologie Qlikview (http://www.qlikview.com/)
Nous serons en mesure de vous présenter les premiers modules avant l’été.
Pour conclure, en 2008, sur l’ensemble des projets SaaS, déjà 8% concernaient le déploiement de plateformes BI et, compte tenu des évolutions des mentalités, des exigences en matière de gains de productivité, des évolutions techniques dans la récupération à distance des données décisionnelles et de la baisse du ratio coût/débits des infrastructures télécom, l’avenir du SaaS BI est assurément au beau fixe.
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