Actualités : analyse de données, Business Intelligence, Data Science, Big Data


La révolution Business Intelligence est en marche


Rédigé par le 29 Mai 2013

Certains se ventent encore de faire de la BI innovante, voir même du « Big Data », en utilisant simplement un outil « in-memory », dit de BI départementale. Seulement, cette technologie a maintenant vieilli et je vais évoquer, dans le cadre de ce poste, l’exemple d’un éditeur qui fait beaucoup mieux dans ce domaine.



Abed Ajraou, Devoteam
Abed Ajraou, Devoteam
J’ai été invité à la présentation de la nouvelle version de Prism, de l’éditeur SiSense. J’ai connu cet éditeur l’an passé et depuis, je suis de très près leur évolution. Pourquoi ? Tout simplement, parce que Prism répond à des problématiques métiers que malheureusement la BI traditionnelle a délaissé, et ceci, en réalisant une belle prouesse technologique :

1. La BI orientée utilisateur final. Via une application reporting totalement web et extrêmement simple et intuitive, les utilisateurs retrouvent leur autonomie et le pouvoir de forer et explorer les données de façon native. Ainsi, même l’utilisateur « presse-bouton », peut changer nativement, et à sa guise, un tableau Corporate (c'est-à-dire groupe) en un graphe personnalisé. Ainsi, l’utilisateur final peut rendre le dashboard plus compréhensible et adapté à son contexte et à son public.

2. La BI réactive et au plus près des problématiques business. On connaissait déjà ce principe de vouloir encapsuler l’ensemble de briques architecturales décisionnelles dans un seul outil afin d’alléger la charge projet et de répondre, au plus vite, aux demandes pressantes des utilisateurs. Mais ici, l’apprentissage d’un code propriétaire n’est plus nécessaire, l’ensemble des fonctionnalités se réalise sans une ligne de code !

3. La fin de la BI dite départementale. Effectivement, Prism, par sa capacité à stocker des données hétérogènes sur disque, et pas seulement en mémoire, permet de traiter et de restituer une grande volumétrie de données – nous l’avons testé avec plus d’1,7 milliard de lignes. Ainsi, cette façon d’opérer détrône les logiciels BI dits départementaux et s’affirme comme une solution complète d’entreprise.

4. Le NoSQL vs SGBD. On retrouve ici la fameuse base NoSQL orientée colonne qui permet un reporting et une découverte des données beaucoup plus rapide et plus performante. Les bases NoSQL sont très prisées dans le cadre des projets Big Data. Prism stocke l’ensemble des données dans une base orientée colonne appelée ElastiCube.

5. Des accès aux différentes bases du marché et au monde SaaS. Prisme permet aussi un accès natif aux données sur les bases de données d’entreprise, aux fichiers de données et aussi aux données sur le Cloud – Saleforce, Amazon, Google .... Et bien sûr, la nouvelle version permet maintenant une connexion native au datawarehouse d’Hadoop, c'est-à-dire Hive.
La révolution de la BI est en marche avec de plus en plus de nouveautés qui répondent de mieux en mieux aux problématiques des utilisateurs métiers et des DSI. Pourquoi donc s’en priver et ne pas aller de l’avant?




Commentaires

1.Posté par Chauvin le 04/06/2013 13:21
Merci pour cet article qui effectivement montre que les alternatives du BI existent. De nouvelles manières de partager l'information, même sur gros volume, arrivent : le semi-InMemory, une manière d'extraire l'essentiel des informations, la connaissance pertinente et la restituer sur le poste client (peu de volume). Oui, la solution passe par la modélisation des meta données, comme l'a toujours préconisé ISOFT avec StatMining. Les solutions de datamining portent l'avenir.

Nouveau commentaire :
Twitter

Vous pouvez commenter ou apporter un complément d’information à tous les articles de ce site. Les commentaires sont libres et ouverts à tous. Néanmoins, nous nous réservons le droit de supprimer, sans explication ni préavis, tout commentaire qui ne serait pas conforme à nos règles internes de fonctionnement, c'est-à-dire tout commentaire diffamatoire ou sans rapport avec le sujet de l’article. Par ailleurs, les commentaires anonymes sont systématiquement supprimés s’ils sont trop négatifs ou trop positifs. Ayez des opinions, partagez les avec les autres, mais assumez les ! Merci d’avance. Merci de noter également que les commentaires ne sont pas automatiquement envoyés aux rédacteurs de chaque article. Si vous souhaitez poser une question au rédacteur d'un article, contactez-le directement, n'utilisez pas les commentaires.


Twitter
Rss
LinkedIn
Facebook
Apple Podcast
App Store
Google Play Store