Mais une fois que l’on a dit cela… on n’a rien dit, et on a néanmoins l’impression d’avoir réglé le problème ! Au-delà des phrases toutes faites nous vous avons interrogé sur votre perception et votre méthode d’identification et de correction des erreurs constatées dans les données de votre système d’information.
Pour une très large majorité des personnes interrogées, 60 %, ce problème… n’est pas leur problème. Vous considérez ainsi en majorité que c’est dans les systèmes de production que doivent être identifiées et corrigées les erreurs de saisie ou erreurs informatiques.
Pour 31 % d’entre vous il est sans doute illusoire de croire que les responsables des systèmes de production sauront vous fournir des données de base de qualité, et vous pensez que c’est au moment de leur alimentation dans le système décisionnel que les problèmes doivent être identifiés et corrigés. Vous êtes les clients idéaux pour les éditeurs de solutions logicielles d’amélioration de la qualité des données.
Les autres résultats sont anecdotiques. Seuls 4 % des personnes interrogées pensent qu’il faut attendre la production des états de reporting pour constater les erreurs, et 1 % seulement attendront les états imprimés pour se préoccuper des problèmes.
Plus fatalistes, 4 % des personnes interrogées pensent que rien ne peut être entrepris et que les erreurs ne peuvent être identifiées et donc corrigées.
Pour une très large majorité des personnes interrogées, 60 %, ce problème… n’est pas leur problème. Vous considérez ainsi en majorité que c’est dans les systèmes de production que doivent être identifiées et corrigées les erreurs de saisie ou erreurs informatiques.
Pour 31 % d’entre vous il est sans doute illusoire de croire que les responsables des systèmes de production sauront vous fournir des données de base de qualité, et vous pensez que c’est au moment de leur alimentation dans le système décisionnel que les problèmes doivent être identifiés et corrigés. Vous êtes les clients idéaux pour les éditeurs de solutions logicielles d’amélioration de la qualité des données.
Les autres résultats sont anecdotiques. Seuls 4 % des personnes interrogées pensent qu’il faut attendre la production des états de reporting pour constater les erreurs, et 1 % seulement attendront les états imprimés pour se préoccuper des problèmes.
Plus fatalistes, 4 % des personnes interrogées pensent que rien ne peut être entrepris et que les erreurs ne peuvent être identifiées et donc corrigées.
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