Pour une majorité des utilisateurs interrogés via Decideo.fr, 62 % précisément, la qualité des données est en voie d’amélioration dans leur entreprise. Cette amélioration est à porter au crédit à parts à peu près égales des utilisateurs (27 %) et de la mise en place d’outils spécialisés dans l’amélioration de la qualité des données (35 %). Plutôt une bonne nouvelle donc, qui témoigne de la prise de conscience des utilisateurs et des directions informatiques. Comme en témoignait encore récemment un directeur financier que nous avons interrogé, le pire cauchemar pour un sa profession est aujourd’hui de devoir s’engager sur des résultats issus de données dont il ne maitrise pas l’intégralité du processus de constitution.
Pour 6 % des personnes interrogées, c’est le statu-quo et la qualité des données n’est pas en évolution.
Mais il ne fait pas non plus oublier les 32 % d’entreprises dans lesquelles la qualité des données continue de se dégrader. Et cette dégradation est à porter au débit, pour moitié des utilisateurs (16 %) qui semblent négligents dans leurs saisies d’informations, et pour l’autre moitié (16 %) c’est le mystère ! Ils reconnaissent que la qualité des données se dégrade, sans savoir réellement pourquoi… ou sans vouloir trop ouvertement accuser certaines pratiques.
Conclusion globalement positive pour les entreprises qui restent confrontées à ce problème. D’une part la qualité des données est un problème, d’autre part, elle est parfaitement corrigeable, par deux actions dont l’idéal est sans doute de les mener conjointement : la mise en place d’outils spécialisés, et un travail d’éducation et de contrôle en interne sur l’impact de la négligence individuelle sur l’ensemble de l’entreprise.
Pour 6 % des personnes interrogées, c’est le statu-quo et la qualité des données n’est pas en évolution.
Mais il ne fait pas non plus oublier les 32 % d’entreprises dans lesquelles la qualité des données continue de se dégrader. Et cette dégradation est à porter au débit, pour moitié des utilisateurs (16 %) qui semblent négligents dans leurs saisies d’informations, et pour l’autre moitié (16 %) c’est le mystère ! Ils reconnaissent que la qualité des données se dégrade, sans savoir réellement pourquoi… ou sans vouloir trop ouvertement accuser certaines pratiques.
Conclusion globalement positive pour les entreprises qui restent confrontées à ce problème. D’une part la qualité des données est un problème, d’autre part, elle est parfaitement corrigeable, par deux actions dont l’idéal est sans doute de les mener conjointement : la mise en place d’outils spécialisés, et un travail d’éducation et de contrôle en interne sur l’impact de la négligence individuelle sur l’ensemble de l’entreprise.
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