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La Business Intelligence, la stratégie ANTICRISE


Rédigé par par Pierre SVED, PDG de Latitudes BI le 9 Février 2009



Pierre SVED, Latitudes BI
Pierre SVED, Latitudes BI
La crise. Leitmotiv médiatique, les nombreuses allégations sur la crise entraînent des comportements assez classiques au sein des entreprises : frilosité, réduction drastique des budgets, perte de combativité… Comme si cette crise était la première, et comme si tous les « remèdes » n’avaient déjà pas été utilisés. En effet, depuis plus de 30 ans, les entreprises veillent sur leurs dépenses de fonctionnement, sur leurs masses salariales et sur les excès en tous genres. Pour combattre à nouveau la crise, leurs rayons d’action sont désormais limités, voire inexistants.

D’autant plus que l’environnement dans lequel les entreprises agissent est totalement différent de celui de la fin du siècle dernier. Surabondance d’informations, virtualisation de la relation clients, multiplication des fichiers à outrance. Or, toutes ces données, éparpillées au sein des entreprises, peuvent être synonymes de performance, d’amélioration du ROI, et de conquête de marché.

Au début du XXème siècle, John Wanamaker affirmait « Je sais que la moitié de mes dépenses de publicité ne sert à rien. Le problème est que je ne sais pas de quelle moitié il s’agit. ». Ce distributeur américain avait anticipé la notion de calcul du ROI, mais mieux encore, il mettait le doigt sur la notion de connaissance et de traitement de la « bonne » information, de celle qui a de la valeur pour l’entreprise.

Aujourd’hui, il serait donc possible de paraphraser John Wanamaker en disant « Je sais que la moitié de mes données ne sert à rien. Le problème est que je ne sais pas de quelle moitié il s’agit ».
La solution réside donc dans ce que les professionnels appellent la Business Intelligence. Sous ce nom se cache une réalité simple : les données, que ce soit sur les clients ou sur les prospects, sont éparpillés au sein des entreprises, et constituent soit une charge financière quand ceux-ci ne sont pas analysés et croisés les uns avec les autres, soit au contraire une force pour l’entreprise, un capital qui, exploité, donne une longueur d’avance sur les compétiteurs de l’entreprise.

C’est ce que proposent de faire les logiciels de Business Intelligence, de B.I. comme Latitudes-B.I : gagner des parts de marché, se positionner sur les secteurs qui bougent, anticiper les mouvements de fond des consommateurs… en intégrant les données de sources multiples, en réalisant des croisements en temps réel suivant les besoins des directions stratégiques (commerciale, marketing, achat…).
Latitudes-B.I permet un déploiement immédiat indépendant du nombre d’utilisateurs. La licence serveur unique s’intègre naturellement au cœur du système d’informations et délivre rapidement aux utilisateurs des indicateurs de performance intégrés dans des reportings, tableaux de bord et analyses multidimensionnelles.

Un gage de réussite en période de crise.




Commentaires

1.Posté par Jean de Florentin le 09/02/2009 10:58
Tout dépend du temps nécessaire à l'installation du produit

2.Posté par Stefan le 10/02/2009 11:11
Cela dépend aussi de la scalabilité, avoir une licence unique c'est sympa, mais est-ce que le produit tiendra plus de X utilisateurs sur une même plateforme? Gestion des clusters, failover, load balancing, hot backups, parralélisation ?

Car sinon on repart sur le vieux et dépassé paradigme de la BI dite "en silo" , chaque application ayant son serveur, son datamart, ses users. Justement l'éparpillement que l'on souhaite éviter, qui multiplie les données et leur redundance, les instances et leurs coûts de maintenance... etc etc etc.

3.Posté par Pierre Sved le 11/02/2009 11:13
Pour le système, Latitudes-B.I s’appuie sur les standards utilisés par les entreprises et souvent déjà en exploitation comme un serveur de base de données et un serveur d’application intranet. Comme pour toutes applications, le système doit être dimensionné, optimisé et exploité. Ces procédures sont standards et, en effet, il peut être nécessaire de faire appel à du load balancing, voire des fermes de serveurs pour des sites à très forte charge. L’important est que cela reste du standard pour l'exploitant.

Pour les licences, entre une licence par serveur utile, et des licences par utilisateurs, la solution Latitudes-B.I s’avère vite très économique.

Un autre avantage de la licence serveur est d'aborder des domaines fonctionnels annexes, qui n'avaient pas accès à la B.I. à cause des coûts de licence. En effet, une fois Latitudes-B.I installé, rien n’empêche de l’utiliser pour de nouveaux services.

Enfin, pour répondre à Jean, Latitudes-B.I présente une architecture orientée prototype qui accélère la phase de mise en oeuvre et permet d'accompagner facilement la formalisation des besoins utilisateurs : les premières restitutions sont réalisées en quelques jours.

4.Posté par Vallaud Thierry le 11/02/2009 18:49
Je ne connais pas Latitude BI qui est surement une super plateforme de BI mais j'utilse d'autres outils de BI ou de data mining avec au moins des fonctionnalités équivalentes et je sais une chose face à la profusion de données mieux vaut une bonne étude pour tirer des enseignements à court terme qu'un logiciel.
Cela à plus d'impact sur le ROI. Par exemple dans le ROI publicitaire pour reciter l'exemple de Wanamaker, il est plus efficace de faire une modélisation de l'effet de sa campagne avec "Excel" pour en tirer des enseignement à court terme que de le faire d'emblée avec une plateforme de BI
Ceci la BI c'est bien, quand ça automatise les taches

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