Pierre SVED, Latitudes BI
La crise. Leitmotiv médiatique, les nombreuses allégations sur la crise entraînent des comportements assez classiques au sein des entreprises : frilosité, réduction drastique des budgets, perte de combativité… Comme si cette crise était la première, et comme si tous les « remèdes » n’avaient déjà pas été utilisés. En effet, depuis plus de 30 ans, les entreprises veillent sur leurs dépenses de fonctionnement, sur leurs masses salariales et sur les excès en tous genres. Pour combattre à nouveau la crise, leurs rayons d’action sont désormais limités, voire inexistants.
D’autant plus que l’environnement dans lequel les entreprises agissent est totalement différent de celui de la fin du siècle dernier. Surabondance d’informations, virtualisation de la relation clients, multiplication des fichiers à outrance. Or, toutes ces données, éparpillées au sein des entreprises, peuvent être synonymes de performance, d’amélioration du ROI, et de conquête de marché.
Au début du XXème siècle, John Wanamaker affirmait « Je sais que la moitié de mes dépenses de publicité ne sert à rien. Le problème est que je ne sais pas de quelle moitié il s’agit. ». Ce distributeur américain avait anticipé la notion de calcul du ROI, mais mieux encore, il mettait le doigt sur la notion de connaissance et de traitement de la « bonne » information, de celle qui a de la valeur pour l’entreprise.
Aujourd’hui, il serait donc possible de paraphraser John Wanamaker en disant « Je sais que la moitié de mes données ne sert à rien. Le problème est que je ne sais pas de quelle moitié il s’agit ».
La solution réside donc dans ce que les professionnels appellent la Business Intelligence. Sous ce nom se cache une réalité simple : les données, que ce soit sur les clients ou sur les prospects, sont éparpillés au sein des entreprises, et constituent soit une charge financière quand ceux-ci ne sont pas analysés et croisés les uns avec les autres, soit au contraire une force pour l’entreprise, un capital qui, exploité, donne une longueur d’avance sur les compétiteurs de l’entreprise.
C’est ce que proposent de faire les logiciels de Business Intelligence, de B.I. comme Latitudes-B.I : gagner des parts de marché, se positionner sur les secteurs qui bougent, anticiper les mouvements de fond des consommateurs… en intégrant les données de sources multiples, en réalisant des croisements en temps réel suivant les besoins des directions stratégiques (commerciale, marketing, achat…).
Latitudes-B.I permet un déploiement immédiat indépendant du nombre d’utilisateurs. La licence serveur unique s’intègre naturellement au cœur du système d’informations et délivre rapidement aux utilisateurs des indicateurs de performance intégrés dans des reportings, tableaux de bord et analyses multidimensionnelles.
Un gage de réussite en période de crise.
D’autant plus que l’environnement dans lequel les entreprises agissent est totalement différent de celui de la fin du siècle dernier. Surabondance d’informations, virtualisation de la relation clients, multiplication des fichiers à outrance. Or, toutes ces données, éparpillées au sein des entreprises, peuvent être synonymes de performance, d’amélioration du ROI, et de conquête de marché.
Au début du XXème siècle, John Wanamaker affirmait « Je sais que la moitié de mes dépenses de publicité ne sert à rien. Le problème est que je ne sais pas de quelle moitié il s’agit. ». Ce distributeur américain avait anticipé la notion de calcul du ROI, mais mieux encore, il mettait le doigt sur la notion de connaissance et de traitement de la « bonne » information, de celle qui a de la valeur pour l’entreprise.
Aujourd’hui, il serait donc possible de paraphraser John Wanamaker en disant « Je sais que la moitié de mes données ne sert à rien. Le problème est que je ne sais pas de quelle moitié il s’agit ».
La solution réside donc dans ce que les professionnels appellent la Business Intelligence. Sous ce nom se cache une réalité simple : les données, que ce soit sur les clients ou sur les prospects, sont éparpillés au sein des entreprises, et constituent soit une charge financière quand ceux-ci ne sont pas analysés et croisés les uns avec les autres, soit au contraire une force pour l’entreprise, un capital qui, exploité, donne une longueur d’avance sur les compétiteurs de l’entreprise.
C’est ce que proposent de faire les logiciels de Business Intelligence, de B.I. comme Latitudes-B.I : gagner des parts de marché, se positionner sur les secteurs qui bougent, anticiper les mouvements de fond des consommateurs… en intégrant les données de sources multiples, en réalisant des croisements en temps réel suivant les besoins des directions stratégiques (commerciale, marketing, achat…).
Latitudes-B.I permet un déploiement immédiat indépendant du nombre d’utilisateurs. La licence serveur unique s’intègre naturellement au cœur du système d’informations et délivre rapidement aux utilisateurs des indicateurs de performance intégrés dans des reportings, tableaux de bord et analyses multidimensionnelles.
Un gage de réussite en période de crise.