Philippe Décherat, Directeur technique de Commvault
Selon l'institut IDC, les données sont omniprésentes et 55% des entreprises dans le monde sont « digitale natives », c'est-à-dire qu'elles utilisent des données dès leur création, en dépendent et ne peuvent fonctionner sans leur utilisation. D'ici 2029, ce chiffre devrait atteindre 75 % et aucun signe ne laisse présager un ralentissement de cette tendance. Par ailleurs, 80 % des entreprises devraient, d'ici 2020, développer des capacités de gestion et de maintenance des données pour rester compétitives.
De son côté, l'institut Gartner indique que les dépenses informatiques des entreprises liées aux offres Cloud vont progresser plus rapidement que les offres informatiques traditionnelles d'ici à 2022. La migration vers le Cloud des opérations IT critiques atteindra alors 28 %, contre 19 % aujourd'hui. Les organisations qui n'ont pas de stratégie de cloud-first risquent ainsi de prendre du retard sur leurs concurrents.
Avec l'accélération de l'adoption du Cloud Computing, les entreprises reconnaissent que le recours à un seul fournisseur est de moins en moins adapté à leurs besoins actuels et futurs en matière de données. Une étude récente d'IDC a révélé que le volume mondial de données devrait atteindre les 175ZB d'ici 2025, dont la moitié sera stockée dans le cloud public.
Alors que le défi de faire face à des volumes de données de plus en plus importants prend de l'ampleur, les pénalités liées à une mauvaise collecte et un mauvais traitement des données ne peuvent plus être prises à la légère. La confiance est essentielle pour ceux qui opèrent sur un marché numérique, où les clients exigent transparence et responsabilité.
Par conséquent, les entreprises ne peuvent se permettre d'ignorer la puissance des données, d'autant plus que la responsabilité est l'un des principaux défis auxquels elles sont confrontées aujourd'hui.
Dans un environnement hybride et multi-cloud, la capacité d'une organisation à protéger les données, à les déplacer librement, à les récupérer et à en avoir une vue unique est essentielle à son succès futur. En activant ses données, l'entreprise est en mesure de connaître leur valeur, à quoi elles servent, à qui elles appartiennent et si elles doivent les conserver. Ce sont pourtant des questions auxquelles la plupart des organisations n'ont pas les bonnes réponses.
Il existe des solutions permettant d'enrichir un index de données non structurées, de savoir si les dépenses sont réalisées de la bonne façon et de s'assurer que l'entreprise est suffisamment agile. Autrement dit, elles répondent à la question que se posent de nombreuses entreprises : Est-ce que je paye pour un stockage dont la capacité pourrait en réalité être réduite ?
Dans le même temps, les entreprises doivent comprendre quels sont leurs risques, ce qu'elles stockent et si elles le font de manière optimale. Cela réduit évidemment le risque, car si elles ne gardent pas les données qu'elles ne doivent pas posséder, elles ne peuvent pas en être tenues responsables.
Les données activées permettent d'obtenir une vision plus claire, de faire preuve de prévoyance et d'être en mesure de les collecter et de les transmettre à ceux qui en ont besoin. L'activation des données permet également aux entreprises de réduire leurs coûts, car elles stockent moins de données ou peuvent stocker certaines données à différents endroits.
Qu'elles aient déjà entrepris une démarche d'adoption du Cloud ou qu'elles soient sur le point de le faire, il est essentiel que les organisations travaillent avec les bons partenaires pour obtenir une activation des données qui non seulement réduira les coûts, mais aussi leurs risques dans un environnement de plus en plus réglementé.
De son côté, l'institut Gartner indique que les dépenses informatiques des entreprises liées aux offres Cloud vont progresser plus rapidement que les offres informatiques traditionnelles d'ici à 2022. La migration vers le Cloud des opérations IT critiques atteindra alors 28 %, contre 19 % aujourd'hui. Les organisations qui n'ont pas de stratégie de cloud-first risquent ainsi de prendre du retard sur leurs concurrents.
Avec l'accélération de l'adoption du Cloud Computing, les entreprises reconnaissent que le recours à un seul fournisseur est de moins en moins adapté à leurs besoins actuels et futurs en matière de données. Une étude récente d'IDC a révélé que le volume mondial de données devrait atteindre les 175ZB d'ici 2025, dont la moitié sera stockée dans le cloud public.
Alors que le défi de faire face à des volumes de données de plus en plus importants prend de l'ampleur, les pénalités liées à une mauvaise collecte et un mauvais traitement des données ne peuvent plus être prises à la légère. La confiance est essentielle pour ceux qui opèrent sur un marché numérique, où les clients exigent transparence et responsabilité.
Par conséquent, les entreprises ne peuvent se permettre d'ignorer la puissance des données, d'autant plus que la responsabilité est l'un des principaux défis auxquels elles sont confrontées aujourd'hui.
Dans un environnement hybride et multi-cloud, la capacité d'une organisation à protéger les données, à les déplacer librement, à les récupérer et à en avoir une vue unique est essentielle à son succès futur. En activant ses données, l'entreprise est en mesure de connaître leur valeur, à quoi elles servent, à qui elles appartiennent et si elles doivent les conserver. Ce sont pourtant des questions auxquelles la plupart des organisations n'ont pas les bonnes réponses.
Il existe des solutions permettant d'enrichir un index de données non structurées, de savoir si les dépenses sont réalisées de la bonne façon et de s'assurer que l'entreprise est suffisamment agile. Autrement dit, elles répondent à la question que se posent de nombreuses entreprises : Est-ce que je paye pour un stockage dont la capacité pourrait en réalité être réduite ?
Dans le même temps, les entreprises doivent comprendre quels sont leurs risques, ce qu'elles stockent et si elles le font de manière optimale. Cela réduit évidemment le risque, car si elles ne gardent pas les données qu'elles ne doivent pas posséder, elles ne peuvent pas en être tenues responsables.
Les données activées permettent d'obtenir une vision plus claire, de faire preuve de prévoyance et d'être en mesure de les collecter et de les transmettre à ceux qui en ont besoin. L'activation des données permet également aux entreprises de réduire leurs coûts, car elles stockent moins de données ou peuvent stocker certaines données à différents endroits.
Qu'elles aient déjà entrepris une démarche d'adoption du Cloud ou qu'elles soient sur le point de le faire, il est essentiel que les organisations travaillent avec les bons partenaires pour obtenir une activation des données qui non seulement réduira les coûts, mais aussi leurs risques dans un environnement de plus en plus réglementé.
Autres articles
-
Commvault dévoile Clumio Backtrack pour une récupération quasi-instantanée d'ensembles de données massifs stockés sur Amazon S3
-
Commvault annonce le lancement Metallic, sa solution de protection des données en mode SaaS, dans la région EMEA
-
Commvault accélère l'adoption du Cloud avec un nouveau portefeuille de solutions de gestion intelligente des données
-
Commvault conclut un accord stratégique avec Microsoft pour la fourniture de technologies SaaS et de Cloud Computing dédiées à la gestion des données
-
Gestion des données : les 4 grands défis de 2020