SAP BW d’un côté, Microsoft SQL Server 2005/Office 2007/Performance Point de l’autre. Entre les deux, Business Objects, évangéliste du reporting décisionnel, qui a défriché pendant plusieurs années pour se voir ensuite confisquer des parts de marché par les concurrents cités ci-dessus.
Mais Business Objects pourrait bien réagir. L’ambition de l’éditeur franco-américain ne semble pas avoir faibli, et le prochain objectif de Bernard Liautaud est la barre des 2 milliards de dollars de chiffre d’affaires. Pour y parvenir, il faut, évidence mathématique, ajouter un milliard au milliard déjà atteint. Un milliard supplémentaire qui d’après Business Objects devrait être obtenu pour moitié par croissance organique et pour moitié par acquisitions externes.
La Business Intelligence traditionnelle devrait représenter à terme 70 % de ces deux milliards de dollars, l’EIM (Intégration de données) 15 %, et l’EPM (Optimisation de la performance) 15 % également. Encore insuffisamment présent dans le domaine de la gestion de la performance (Business Objects s’estime être à la 5ème place mondiale) c’est le podium qui est visé sur ce marché.
Mais d’ici quelques semaines Business Objects pourrait dévoiler une arme secrète encore dissimulée dans son laboratoire de recherche et développement. Cette arme secrète viserait tout particulièrement la cible des PME délaissée par Business Objects et dont Microsoft s’est emparé avec le lancement de SQL Server 2005, le re-développement de Integration Services et de Reporting Services, le rachat de Proclarity et la sortie prochaine de PerformancePoint.
Le mot clef de cette nouvelle offre destinée aux PME serait « simplicité ». Business Objects a pu en effet constater que l’offre Microsoft, en s’élargissant, s’est également complexifiée. L’intégration des différents modules, aux dates de sortie décalées, n’est pas forcément aisée pour l’utilisateur. Business Objects a donc une carte à jouer. Mais le sujet est sensible et seul le conditionnel peut à ce jour être utilisé. Réponse peut-être dans quelques semaines.
Mais Business Objects pourrait bien réagir. L’ambition de l’éditeur franco-américain ne semble pas avoir faibli, et le prochain objectif de Bernard Liautaud est la barre des 2 milliards de dollars de chiffre d’affaires. Pour y parvenir, il faut, évidence mathématique, ajouter un milliard au milliard déjà atteint. Un milliard supplémentaire qui d’après Business Objects devrait être obtenu pour moitié par croissance organique et pour moitié par acquisitions externes.
La Business Intelligence traditionnelle devrait représenter à terme 70 % de ces deux milliards de dollars, l’EIM (Intégration de données) 15 %, et l’EPM (Optimisation de la performance) 15 % également. Encore insuffisamment présent dans le domaine de la gestion de la performance (Business Objects s’estime être à la 5ème place mondiale) c’est le podium qui est visé sur ce marché.
Mais d’ici quelques semaines Business Objects pourrait dévoiler une arme secrète encore dissimulée dans son laboratoire de recherche et développement. Cette arme secrète viserait tout particulièrement la cible des PME délaissée par Business Objects et dont Microsoft s’est emparé avec le lancement de SQL Server 2005, le re-développement de Integration Services et de Reporting Services, le rachat de Proclarity et la sortie prochaine de PerformancePoint.
Le mot clef de cette nouvelle offre destinée aux PME serait « simplicité ». Business Objects a pu en effet constater que l’offre Microsoft, en s’élargissant, s’est également complexifiée. L’intégration des différents modules, aux dates de sortie décalées, n’est pas forcément aisée pour l’utilisateur. Business Objects a donc une carte à jouer. Mais le sujet est sensible et seul le conditionnel peut à ce jour être utilisé. Réponse peut-être dans quelques semaines.
Autres articles
-
Résultats de l’enquête 2024 USF sur la Satisfaction des clients SAP
-
SAP dope son Copilote Joule avec des fonctionnalités collaboratives pour révolutionner l'IA d’entreprise
-
Semarchy devient partenaire Microsoft Purview pour l’intégration du Master Data Management
-
Precisely Automate Studio prend en charge SAP Fiori, simplifiant l'automatisation des données pour les parcours de données SAP S/4HANA
-
SAP intègre la Business AI à l’ensemble de son portefeuille Enterprise Cloud et s'associe à des leaders de pointe en IA pour révéler tout le potentiel de ses clients