C'est dans le courant du premier trimestre 2008 que le rapprochement de Business Objects et de SAP devrait se concrétiser. L'OPA officielle est lancée aujourd'hui. Une fusion, Bernard Liautaud l'a rappelé, dans laquelle Business Objects conservera son indépendance opérationnelle et stratégique. Business Objects deviendra l'entité « décisionnel » de SAP et va d'ailleurs, première information importante, récupérer une partie de l'entité « Business Intelligence » de l'éditeur allemand. Ce sont plusieurs centaines d'ingénieurs SAP qui vont ainsi rejoindre les équipes Business Objects.
« Ce rapprochement va nous permettre d'élargir notre portefeuille de produits et de disposer d'une palette de solutions plus large, par exemple dans les domaines du Master Data Management, de la gestion des risques ou encore de l'analyse en mémoire », explique Bernard Liautaud. Cette intégration de solutions SAP dans l'offre Business Objects remplacera en partie des acquisitions que Business Objects avait pu prévoir pour les prochaines années. Parmi les solutions intégrées, l'offre OutlookSoft mais pas en revanche la solution SAP BW trop intégrée au moteur SAP ERP pour en être déconnectée.
Le fondateur de Business Objects s'est également exprimé sur la notion d'indépendance de l'éditeur. « J'ai toujours été un avocat de l'indépendance et de l'ouverture. Ce rapprochement va nous permettre d'offrir plus rapidement des solutions toujours meilleures à nos clients », explique Bernard Liautaud. « SAP s'engage dans une transformation et plonge avec le rachat de Business Objects la tête la première dans le monde de la business intelligence et de la gestion de la performance. SAP n'a pas dépensé autant d'argent (ndlr : 4,8 milliards d'euros) pour juste racheter un peu de business intelligence, et va conserver Business Objects comme une entité indépendante dans sa gestion et dans ses choix stratégiques ».
Et pour montrer que même si une page se tourne dans l'histoire de l'éditeur, son fondateur compte bien faire partie, au moins à court terme, des prochaines étapes, Bernard Liautaud prend vis-à-vis de ses clients cinq engagements :
- Conserver la même mission, c'est-à-dire transformer le monde grâce à l'information intelligente
- Continuer à être ouvert, même si Bernard Liautaud parle maintenant d'ouverture et non plus d'indépendance, en matière de bases de données, de middleware et d'applications ; sans diminution de la capacité d'accès aux environnements Oracle en particulier.
- Protéger l'investissement que les clients ont fait dans leurs environnements Business Objects
- Continuer à investir en recherche et développement pour offrir une plate-forme la plus complète possible
- Améliorer la gestion de la performance au travers d'une suite la plus complète et la plus efficace possible intégrée à l'offre SAP.
Alors que certains concurrents opportunistes vont profiter de cette fusion pour lancer des offres spéciales d'échange concurrentiel, Business Objects devait rassurer ses clients français et leur ouvrir de nouvelles perspectives.
« Ce rapprochement va nous permettre d'élargir notre portefeuille de produits et de disposer d'une palette de solutions plus large, par exemple dans les domaines du Master Data Management, de la gestion des risques ou encore de l'analyse en mémoire », explique Bernard Liautaud. Cette intégration de solutions SAP dans l'offre Business Objects remplacera en partie des acquisitions que Business Objects avait pu prévoir pour les prochaines années. Parmi les solutions intégrées, l'offre OutlookSoft mais pas en revanche la solution SAP BW trop intégrée au moteur SAP ERP pour en être déconnectée.
Le fondateur de Business Objects s'est également exprimé sur la notion d'indépendance de l'éditeur. « J'ai toujours été un avocat de l'indépendance et de l'ouverture. Ce rapprochement va nous permettre d'offrir plus rapidement des solutions toujours meilleures à nos clients », explique Bernard Liautaud. « SAP s'engage dans une transformation et plonge avec le rachat de Business Objects la tête la première dans le monde de la business intelligence et de la gestion de la performance. SAP n'a pas dépensé autant d'argent (ndlr : 4,8 milliards d'euros) pour juste racheter un peu de business intelligence, et va conserver Business Objects comme une entité indépendante dans sa gestion et dans ses choix stratégiques ».
Et pour montrer que même si une page se tourne dans l'histoire de l'éditeur, son fondateur compte bien faire partie, au moins à court terme, des prochaines étapes, Bernard Liautaud prend vis-à-vis de ses clients cinq engagements :
- Conserver la même mission, c'est-à-dire transformer le monde grâce à l'information intelligente
- Continuer à être ouvert, même si Bernard Liautaud parle maintenant d'ouverture et non plus d'indépendance, en matière de bases de données, de middleware et d'applications ; sans diminution de la capacité d'accès aux environnements Oracle en particulier.
- Protéger l'investissement que les clients ont fait dans leurs environnements Business Objects
- Continuer à investir en recherche et développement pour offrir une plate-forme la plus complète possible
- Améliorer la gestion de la performance au travers d'une suite la plus complète et la plus efficace possible intégrée à l'offre SAP.
Alors que certains concurrents opportunistes vont profiter de cette fusion pour lancer des offres spéciales d'échange concurrentiel, Business Objects devait rassurer ses clients français et leur ouvrir de nouvelles perspectives.
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