Ce n’est pas sur la partie logicielle que Amazon positionne son offre, mais bien sur l’infrastructure. Comme tout hébergeur, Amazon propose une infrastructure informatique partagée évolutive, de quelques centaines de gigaoctets à plusieurs petaoctets de données. Amazon vous propose de créer en ligne votre environnement sur ses serveurs, on parle de « provisionner » une architecture, horrible anglicisme mais dont l’usage est devenu courant dans ce domaine.
Comme hébergeur, Amazon prend en charge l’ensemble des mises à jour, maintenances de votre infrastructure, de manière transparente, son engagement étant de maintenir une disponibilité permanente de votre infrastructure.
Côté logiciel, Amazon Redshift est encore limité. Jaspersoft et Microstrategy ont été certifiés pour fonctionner sur cet environnement, mais d’autres outils devraient être annoncés prochainement.
Du côté de Jaspersoft c’est à l’occasion de l’annonce de la version 5 que cet accord avec Amazon avait été annoncé, mais sous embargo jusqu’à l’annonce officielle de Redshift qui a eu lieu hier.
En matière de stockage, Amazon propose plusieurs formules, du stockage en colonnes au travers des services existants Amazon AWS, mais également du stockage relationnel , NoSQL (via Amazon DynamoDB) et MapReduce.
La tarification de Amazon Redshift est comme toujours dans les offres infonuagiques totalement incompréhensible pour le commun des mortels et l’acheteur intéressé devra étudier très précisément son usage prévisionnel afin de déterminer un budget. Il devra surtout suivre les usages par ses clients internes s’il veut éviter de devoir faire face à une mauvaise surprise lors de l’arrivée de la facture.
Les prix affichés paraissent alléchants, mais l’usage devra être défini avec précision. Une augmentation du nombre de requêtes, du volume, le transfert de données en dehors d’un même centre serveur Amazon, les sauvegardes… peuvent renchérir de manière importante le coût d’utilisation.
Avec cette offre, Amazon se positionne clairement face à Oracle, Teradata, IBM qui proposent une offre globale logiciel et matériel. Mais Amazon est également en concurrence avec les hébergeurs locaux, centres serveurs qui proposent de la puissance de calcul à la demande. Face à Amazon, ils plaideront le service personnalisé local, mais auront du mal à concurrencer Amazon sur la puissance de son infrastructure et ses prix.
Comme hébergeur, Amazon prend en charge l’ensemble des mises à jour, maintenances de votre infrastructure, de manière transparente, son engagement étant de maintenir une disponibilité permanente de votre infrastructure.
Côté logiciel, Amazon Redshift est encore limité. Jaspersoft et Microstrategy ont été certifiés pour fonctionner sur cet environnement, mais d’autres outils devraient être annoncés prochainement.
Du côté de Jaspersoft c’est à l’occasion de l’annonce de la version 5 que cet accord avec Amazon avait été annoncé, mais sous embargo jusqu’à l’annonce officielle de Redshift qui a eu lieu hier.
En matière de stockage, Amazon propose plusieurs formules, du stockage en colonnes au travers des services existants Amazon AWS, mais également du stockage relationnel , NoSQL (via Amazon DynamoDB) et MapReduce.
La tarification de Amazon Redshift est comme toujours dans les offres infonuagiques totalement incompréhensible pour le commun des mortels et l’acheteur intéressé devra étudier très précisément son usage prévisionnel afin de déterminer un budget. Il devra surtout suivre les usages par ses clients internes s’il veut éviter de devoir faire face à une mauvaise surprise lors de l’arrivée de la facture.
Les prix affichés paraissent alléchants, mais l’usage devra être défini avec précision. Une augmentation du nombre de requêtes, du volume, le transfert de données en dehors d’un même centre serveur Amazon, les sauvegardes… peuvent renchérir de manière importante le coût d’utilisation.
Avec cette offre, Amazon se positionne clairement face à Oracle, Teradata, IBM qui proposent une offre globale logiciel et matériel. Mais Amazon est également en concurrence avec les hébergeurs locaux, centres serveurs qui proposent de la puissance de calcul à la demande. Face à Amazon, ils plaideront le service personnalisé local, mais auront du mal à concurrencer Amazon sur la puissance de son infrastructure et ses prix.
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