La 17e conférence des utilisateurs francophones d’Esri a mis en avant le rôle essentiel du SIG dans la transformation du monde. Démonstrations à l’appui, les fonctions de la dernière version 10.2 d’ArcGIS exploitant temps réel et immersion 3D ont passionné les spécialistes et les décideurs du monde économique, politique et scientifique.
En réunissant 2 474 spécialistes et décideurs venus à sa conférence francophone, Esri France a montré son savoir-faire cartographique et mis en avant ses engagements pour aider à gérer les espaces économiques, scientifiques et politiques du monde.
« Avec le Système d’information géographique, nous transformons notre monde ». C’est par cette promesse que Rony Gal a ouvert la 17e conférence SIG 2013. Le 2 octobre dernier, dans le grand amphithéâtre du Palais des Congrès de Versailles, plein à craquer, le Président-directeur général d’Esri France a égrené les atouts techniques et stratégiques de cette promesse. Près de 2 474 passionnés francophones ont alors compris qu’un tournant est engagé. « Un tournant que vous révélez en cartes tous les jours, sur vos écrans, dans vos travaux ; avec des présentations de plus en plus communicantes et vivantes, qui portent vos savoirs, vos expériences, vos histoires ».
Les présentations et ateliers techniques qui ont suivi tout au long des deux jours du colloque déclinent les moyens de cet engagement. D’abord, à travers la présentation des derniers outils et fonctionnalités offertes par l’éditeur, mais aussi par la vision et les travaux des nombreux spécialistes et décideurs du monde économique, politique et scientifique, venus participer à la manifestation. En témoigne enfin, les 212 communications présentées cette année autour de 40 thèmes, comme la gestion urbaine, le géomarketing, l’accessibilité, l’éclairage, l’immobilier, la circulation, l’infrastructure ou les réseaux.
Se promener en trois dimensions dans une carte
Les démonstrations d’abord, orchestrées par Christophe Tourret, directeur des technologies d’Esri France, ont mis en lumière ce qu’Esri nomme le Web SIG. Un SIG qui valorise les nouveaux paradigmes du Web pour démultiplier ses capacités d’intégration, d’analyse et de partage. Un SIG qui tire parti des grandes évolutions techniques et des dernières tendances de l’industrie informatique comme le Cloud, les Big data, les capteurs. Un SIG qui intègre enfin de nouveaux contenus naturellement géographiques ou non géographiques. Toutes les nouveautés de la dernière plateforme ArcGIS 10.2 font mouche. Applications bureautiques enrichies, traitement de données en temps-réel, immersion dans la carte, sécurité ou bien encore administration des systèmes. Impressionnant ! Quoi de plus parlant que cette démonstration en vrai, utilisant la technique des Storymap, pour mettre en scène son portail géographique, ou encore le suivi d’une flotte de véhicules d’urgence en temps réel, ou aussi l’utilisation de lunettes immersives pour se promener en trois dimensions dans une carte.
Antarctique, Homo sapiens et Biogaz
Plusieurs Grands témoins et décideurs industriels, économistes/financiers, gestionnaires de réseaux, spécialistes du marketing ou de l’infrastructure, sont ensuite venus témoigner des changements provoqués par l’usage de la cartographie pour transformer le monde. Le médecin explorateur Jean-Louis Etienne d’abord, venu présenter son projet Polar Pod, une gigantesque bouée de 150 mètres, piquée dans l’océan antarctique pour dériver et informer le monde sur le rôle des mers australes dans la régulation de la planète. Gilles Bœuf, président du Muséum d’histoire naturelle, insiste aussi sur l’intérêt fondamental de la carte pour gérer la biodiversité (biogéographie et géo-biodiversité) « nécessaire à la survie de l’Homo sapiens ». Côté infrastructure de réseau, Hervé Constant, DSI, et Jacques Rebérol, responsable de la géomatique, chez GRTgaz, sont venus expliquer comment ils ont installé le SIG au centre de leur système d’information, utilisable autant pas les agents sur le terrain, en mobilité, que par les décideurs pour piloter l’avenir de l’entreprise, vers le transport du Biogaz par exemple. Le monde politique, enfin, est venu par la voix d’Hervé Marseille, Sénateur-Maire de Meudon, rappeler que le gestionnaire territorial ne peut se passer d’une vision cartographique, car « la géographie est prégnante dans nos choix politiques et nos projets de vie ». Une autre manière de transformer le monde.
SIG 2013, ce sont 212 témoignages utilisateurs, plus de 40 ateliers techniques, clubs et rencontres, plus de 120 partenaires…
De nombreuses vidéos et documents produits à l’occasion de SIG 2013 sont disponibles sur http://sig2013.esrifrance.fr/
En réunissant 2 474 spécialistes et décideurs venus à sa conférence francophone, Esri France a montré son savoir-faire cartographique et mis en avant ses engagements pour aider à gérer les espaces économiques, scientifiques et politiques du monde.
« Avec le Système d’information géographique, nous transformons notre monde ». C’est par cette promesse que Rony Gal a ouvert la 17e conférence SIG 2013. Le 2 octobre dernier, dans le grand amphithéâtre du Palais des Congrès de Versailles, plein à craquer, le Président-directeur général d’Esri France a égrené les atouts techniques et stratégiques de cette promesse. Près de 2 474 passionnés francophones ont alors compris qu’un tournant est engagé. « Un tournant que vous révélez en cartes tous les jours, sur vos écrans, dans vos travaux ; avec des présentations de plus en plus communicantes et vivantes, qui portent vos savoirs, vos expériences, vos histoires ».
Les présentations et ateliers techniques qui ont suivi tout au long des deux jours du colloque déclinent les moyens de cet engagement. D’abord, à travers la présentation des derniers outils et fonctionnalités offertes par l’éditeur, mais aussi par la vision et les travaux des nombreux spécialistes et décideurs du monde économique, politique et scientifique, venus participer à la manifestation. En témoigne enfin, les 212 communications présentées cette année autour de 40 thèmes, comme la gestion urbaine, le géomarketing, l’accessibilité, l’éclairage, l’immobilier, la circulation, l’infrastructure ou les réseaux.
Se promener en trois dimensions dans une carte
Les démonstrations d’abord, orchestrées par Christophe Tourret, directeur des technologies d’Esri France, ont mis en lumière ce qu’Esri nomme le Web SIG. Un SIG qui valorise les nouveaux paradigmes du Web pour démultiplier ses capacités d’intégration, d’analyse et de partage. Un SIG qui tire parti des grandes évolutions techniques et des dernières tendances de l’industrie informatique comme le Cloud, les Big data, les capteurs. Un SIG qui intègre enfin de nouveaux contenus naturellement géographiques ou non géographiques. Toutes les nouveautés de la dernière plateforme ArcGIS 10.2 font mouche. Applications bureautiques enrichies, traitement de données en temps-réel, immersion dans la carte, sécurité ou bien encore administration des systèmes. Impressionnant ! Quoi de plus parlant que cette démonstration en vrai, utilisant la technique des Storymap, pour mettre en scène son portail géographique, ou encore le suivi d’une flotte de véhicules d’urgence en temps réel, ou aussi l’utilisation de lunettes immersives pour se promener en trois dimensions dans une carte.
Antarctique, Homo sapiens et Biogaz
Plusieurs Grands témoins et décideurs industriels, économistes/financiers, gestionnaires de réseaux, spécialistes du marketing ou de l’infrastructure, sont ensuite venus témoigner des changements provoqués par l’usage de la cartographie pour transformer le monde. Le médecin explorateur Jean-Louis Etienne d’abord, venu présenter son projet Polar Pod, une gigantesque bouée de 150 mètres, piquée dans l’océan antarctique pour dériver et informer le monde sur le rôle des mers australes dans la régulation de la planète. Gilles Bœuf, président du Muséum d’histoire naturelle, insiste aussi sur l’intérêt fondamental de la carte pour gérer la biodiversité (biogéographie et géo-biodiversité) « nécessaire à la survie de l’Homo sapiens ». Côté infrastructure de réseau, Hervé Constant, DSI, et Jacques Rebérol, responsable de la géomatique, chez GRTgaz, sont venus expliquer comment ils ont installé le SIG au centre de leur système d’information, utilisable autant pas les agents sur le terrain, en mobilité, que par les décideurs pour piloter l’avenir de l’entreprise, vers le transport du Biogaz par exemple. Le monde politique, enfin, est venu par la voix d’Hervé Marseille, Sénateur-Maire de Meudon, rappeler que le gestionnaire territorial ne peut se passer d’une vision cartographique, car « la géographie est prégnante dans nos choix politiques et nos projets de vie ». Une autre manière de transformer le monde.
SIG 2013, ce sont 212 témoignages utilisateurs, plus de 40 ateliers techniques, clubs et rencontres, plus de 120 partenaires…
De nombreuses vidéos et documents produits à l’occasion de SIG 2013 sont disponibles sur http://sig2013.esrifrance.fr/
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