Tenus à l’occasion de la conférence technique des développeurs et partenaires SAP, à San Diego, les propos de Markus Berner sont clairs. « Les outils de business intelligence sont un des domaines pour lesquels nous allons accroître notre présence sur le marché en 2005. Nous avons déjà une offre et des compétences dans ce domaine, mais nous voulons les développer. Nous avons prévu de dédier une centaine de personnes à cet objectif ».
Interrogé sur l’éventualité de l’acquisition d’un des acteurs du marché, Markus Berner n’a pas rejeté cette possibilité tout en précisant que rien n’était encore planifié. Il n’en fallait pas plus pour alimenter les spéculations tant chez les analystes que chez les financiers. Et certains pensent déjà que SAP aurait dans son objectif l’un des leaders du marché du décisionnel. Certains citent Business Objects que le rachat de Crystal Decisions, un des partenaires forts de SAP dans le décisionnel, a rapproché de l’éditeur allemand. D’autres pensent à Cognos dont les investissements autour de la sphère financière pourraient être compatibles avec la stratégie de SAP. On pourrait aussi citer Information Builders, qui partage de très nombreux clients sur le plan mondial avec SAP, et que la culture originale mainframe rapproche… mais tout cela n’est que supposition, et SAP peut également choisir, comme il l’a déjà fait par le passé, de racheter une technologie inconnue, pour sa valeur produit et non pour sa base clients.
Ce n’est sans doute qu’un coïncidence, mais SAP et Business Objects ont néanmoins lancé récemment quelques actions fortes en commun, tablant eux aussi sur une base clients commune importante. Il y a quelques mois les deux éditeurs ont même lancé un site web commun, accessible sur http://www.businessobjects-sap.com.
Seule certitude, la Business Intelligence intéresse SAP, tout comme ses clients d’ailleurs. L’éditeur de Walldorf a d’ailleurs profité de sa conférence TechEd pour présenter la première version d’une nouvelle technologie décisionnelle, qui s’appuie sur NetWeaver pour aller chercher dans des systèmes hétérogènes l’information dont l’utilisateur a besoin. L’éditeur annonce des réponses obtenues entre dix et mille fois plus rapidement qu’avec les outils traditionnels.
Interrogé sur l’éventualité de l’acquisition d’un des acteurs du marché, Markus Berner n’a pas rejeté cette possibilité tout en précisant que rien n’était encore planifié. Il n’en fallait pas plus pour alimenter les spéculations tant chez les analystes que chez les financiers. Et certains pensent déjà que SAP aurait dans son objectif l’un des leaders du marché du décisionnel. Certains citent Business Objects que le rachat de Crystal Decisions, un des partenaires forts de SAP dans le décisionnel, a rapproché de l’éditeur allemand. D’autres pensent à Cognos dont les investissements autour de la sphère financière pourraient être compatibles avec la stratégie de SAP. On pourrait aussi citer Information Builders, qui partage de très nombreux clients sur le plan mondial avec SAP, et que la culture originale mainframe rapproche… mais tout cela n’est que supposition, et SAP peut également choisir, comme il l’a déjà fait par le passé, de racheter une technologie inconnue, pour sa valeur produit et non pour sa base clients.
Ce n’est sans doute qu’un coïncidence, mais SAP et Business Objects ont néanmoins lancé récemment quelques actions fortes en commun, tablant eux aussi sur une base clients commune importante. Il y a quelques mois les deux éditeurs ont même lancé un site web commun, accessible sur http://www.businessobjects-sap.com.
Seule certitude, la Business Intelligence intéresse SAP, tout comme ses clients d’ailleurs. L’éditeur de Walldorf a d’ailleurs profité de sa conférence TechEd pour présenter la première version d’une nouvelle technologie décisionnelle, qui s’appuie sur NetWeaver pour aller chercher dans des systèmes hétérogènes l’information dont l’utilisateur a besoin. L’éditeur annonce des réponses obtenues entre dix et mille fois plus rapidement qu’avec les outils traditionnels.