Alain FORET, Président d’OR System
Fort de ce constat, il apparait clairement que les DSI et les Directions générales seront rapidement amenées à travailler, main dans la main, afin de présenter de manière pragmatique des bilans environnementaux réalistes et traduisant au mieux l’impact de leur activité sur l’environnement. L’objectif est bien entendu, à terme, de pouvoir s’appuyer sur une grille de lecture normalisée et commune à toutes les entreprises, permettant de donner des notes de risque environnemental et juridique.
Afin de parvenir à un tel résultat, un travail d’extraction et de consolidation de données est, bien évidemment, un pré requis nécessaire. Aussi, une cartographie de l’ensemble des composantes influant sur le bilan environnemental et social doit être réalisée. Cette dernière doit inclure toute une série de données complémentaires remontant de l’ensemble des départements de l’entreprise. Parmi les indicateurs à prendre en compte, nous pouvons, par exemple, citer : l’exposition au risque réglementaire, le secteur d’activité de l’entreprise (code NAF), l’utilisation des moyens de communication clients et intersites (audiovisuel, téléconférences, etc.), les caractéristiques de la flotte automobile, le type de bâtiment de l’entreprise (énergie propre, etc.), la gestion des fournitures (encres propres, impression recto verso), la sélection des prestataires adhérents aux principes de charte environnementale, la politique de recyclage de l’entreprise, sa démarche qualité, etc. Concrètement, plusieurs dizaines d’indicateurs contribuent à donner une vision précise de la politique environnementale menée.
En ce sens, la notion organisationnelle est une composante fondamentale de l’analyse environnementale. A ce sujet, il est important de noter que ce projet doit être piloté par un chef de projet qui devra fédérer les différentes directions fonctionnelles de l’entreprise pour la bonne mise en œuvre du dispositif.
Oui mais voilà, à ce jour aucune offre normalisée ne permet d’accéder à de tels bilans. Les initiatives réalisées étant isolées et souvent « artisanales », les professionnels de l’édition doivent impérativement se saisir de cette question et proposer des solutions standardisées, permettant de prendre en compte ce nouveau volet d’analyse. Pour être efficaces, les plates-formes devront être dédiées à cette thématique et construites en collaboration avec des experts des risques environnementaux, qui apporteront leurs connaissances des problématiques au cœur de ces nouveaux outils d’analyse.
Gageons que de telles solutions verront bientôt le jour et permettront de donner une réalité et une lisibilité aux projets de gouvernance environnementaux portés par les entreprises et les administrations. Il sera alors enfin possible de mesurer concrètement les actions réalisées par ces dernières et de les noter en fonction de leurs caractéristiques.
Afin de parvenir à un tel résultat, un travail d’extraction et de consolidation de données est, bien évidemment, un pré requis nécessaire. Aussi, une cartographie de l’ensemble des composantes influant sur le bilan environnemental et social doit être réalisée. Cette dernière doit inclure toute une série de données complémentaires remontant de l’ensemble des départements de l’entreprise. Parmi les indicateurs à prendre en compte, nous pouvons, par exemple, citer : l’exposition au risque réglementaire, le secteur d’activité de l’entreprise (code NAF), l’utilisation des moyens de communication clients et intersites (audiovisuel, téléconférences, etc.), les caractéristiques de la flotte automobile, le type de bâtiment de l’entreprise (énergie propre, etc.), la gestion des fournitures (encres propres, impression recto verso), la sélection des prestataires adhérents aux principes de charte environnementale, la politique de recyclage de l’entreprise, sa démarche qualité, etc. Concrètement, plusieurs dizaines d’indicateurs contribuent à donner une vision précise de la politique environnementale menée.
En ce sens, la notion organisationnelle est une composante fondamentale de l’analyse environnementale. A ce sujet, il est important de noter que ce projet doit être piloté par un chef de projet qui devra fédérer les différentes directions fonctionnelles de l’entreprise pour la bonne mise en œuvre du dispositif.
Oui mais voilà, à ce jour aucune offre normalisée ne permet d’accéder à de tels bilans. Les initiatives réalisées étant isolées et souvent « artisanales », les professionnels de l’édition doivent impérativement se saisir de cette question et proposer des solutions standardisées, permettant de prendre en compte ce nouveau volet d’analyse. Pour être efficaces, les plates-formes devront être dédiées à cette thématique et construites en collaboration avec des experts des risques environnementaux, qui apporteront leurs connaissances des problématiques au cœur de ces nouveaux outils d’analyse.
Gageons que de telles solutions verront bientôt le jour et permettront de donner une réalité et une lisibilité aux projets de gouvernance environnementaux portés par les entreprises et les administrations. Il sera alors enfin possible de mesurer concrètement les actions réalisées par ces dernières et de les noter en fonction de leurs caractéristiques.