Le cabinet de conseil et d’audit PwC France et Maghreb et la DFCG publient la 12ème édition de leur enquête consacrée aux priorités 2024 des directions financières et intitulée "Relever les Défis". Bouleversements géopolitiques, incertitudes et volatilités macro-économiques, inflation, évolution des taux, disruption des business model… 2023 aura été une année imprévisible et il est désormais prévisible que 2024 le sera tout autant. Les directions financières doivent désormais relever les défis de ces environnements mouvants, qu’ils soient économiques, réglementaires ou technologiques. Cette 12ème édition de l’étude développe ainsi trois piliers : la résilience et l’agilité face à la permacrise, l’innovation liée aux nouvelles technologies et l’intégration des enjeux de durabilité pour une performance durable.
Pour la première année depuis 5 ans, la gestion du cash et des financements prend la première place parmi les priorités des directions financières (deuxième en 2023) suivi par le pilotage de la performance (première place en 2023). A moyen terme, les priorités des directions financières se concentrent sur la stratégie de croissance de l’entreprise et la gestion des talents qui prend de plus en plus d’importance et prévoit d’être, d’ici 3 ans, la priorité numéro 1 des directions financières des grands groupes (dont le chiffre d’affaires annuel est supérieur à 1 500 millions d’euros).
Les directions financières résilientes face à la permacrise
Le niveau de confiance des dirigeants financiers continue de s’éroder cette année. A court terme, seuls 57% des répondants ont confiance quant à leurs perspectives de croissance, résultat en baisse de près de 20 points par rapport à l’édition précédente (76%) et de presque 30 points par rapport à 2022 (85%).
Les dirigeants financiers anticipent une reprise de la croissance d’ici 3 ans mais dans un environnement qui restera durablement marqué par l’incertitude et la volatilité. Pour s’y préparer, les directions financières ont besoin d’agilité : il faut désormais vivre avec les risques et s’y adapter puisqu’il n’est que difficilement possible de les mettre tous sous contrôle. Les directions financières intensifient leurs investissements afin de répondre aux enjeux majeurs de transformation à venir, de digitaliser la fonction finance et d’optimiser leur efficacité opérationnelle.
Afin de gagner en agilité à court et moyen termes, les directions financières interrogées envisagent d’activer trois leviers de transformation :
La restructuration organisationnelle est essentielle pour plus de 6 répondants sur 10, et s’accompagne d’un besoin de repenser les rôles et responsabilités au sein de la direction financière.
L’activation des leviers technologiques est incontournable pour 57% des dirigeants afin d’automatiser davantage les processus et de gérer plus efficacement les données.
Plus de la moitié des sondés jugent crucial de faire évoluer les modèles de pilotage grâce à l’agilité et aux outils d’analyse avancée afin d’améliorer et d’accélérer les prises de décision.
Les risques à mettre sous contrôle en 2024 restent également un élément important à anticiper. Comme l’année dernière, l’inflation reste le premier risque identifié, suivi par la volatilité macroéconomique. Quant aux ETI et PME, elles sont 70% à penser que le risque cyber est plus élevé qu’auparavant. La sensibilisation des collaborateurs devient ainsi le premier levier pour s’en protéger.
Enfin, l’enquête 2024 met en avant l’aspect indispensable du costing pour piloter la profitabilité durant la période d’incertitude économique actuelle. Près de la moitié des dirigeants interrogés estiment cependant que la fiabilité de leur modèle de costing est faible. Cela étant dû à une évolution plus lente du modèle par rapport à son environnement. La maîtrise de la structure des coûts des entreprises se dégrade, amenant parfois à une lecture faussée de la profitabilité. Des évolutions sont envisagées, notamment sur le renforcement des modèles et la proposition de nouvelles fonctionnalités d’analyse, de simulation et de modélisation de scénarios. Les dimensions technologiques et RSE doivent être prises en compte. C’est pourquoi, les réflexions cheminent vers l’intégration de l’impact environnemental et social de l’entreprise dans le costing, même s’il n’existe pas encore de norme ou de pratique de référence aujourd’hui.
Les directions financières durables, élément essentiel à une performance durable
L’intégration de la RSE s’accélère dans les domaines de la conformité réglementaire et de la communication externe des directions financières interrogées (marchés, investisseurs, etc.). Cependant, elle stagne dans le pilotage de la performance globale, alors qu’il s’agit d’un domaine dans lequel les directions ont beaucoup à gagner en se positionnant comme garantes de la performance globale de l’entreprise.
Le volet de la performance est crucial pour les entreprises et fait émerger un nouveau modèle lié à l’évolution des exigences réglementaires en matière de reporting de durabilité. Ainsi, l’enquête réalisée par PwC met en lumière les transformations opérationnelles à venir, visant à définir la nouvelle clé de lecture des entreprises, combinant à parts égales la finance et la RSE. Cette évolution modifie structurellement le métier de directeur financier qui devra embrasser la notion de performance globale tout en garantissant de la donnée de performance dans son aspect financier et durable.
La convergence entre la finance et la RSE est un élément particulièrement marqué pour 2024 par la contrainte réglementaire. En effet, l’étude met en lumière une hausse de 27% par rapport à l’année précédente de l’impact de la RSE sur les activités de conformité réglementaire. Cela amène 4 répondants sur 5 à juger difficile la production du reporting extra-financier conforme à la nouvelle réglementation CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive) qui entrera en vigueur en janvier 2025.
En termes de contrôle interne, la directive européenne sur le reporting de durabilité (CSRD), qui remplace la directive européenne sur le reporting extra-financier, implique des changements à prendre en compte avec des standards cadrant les principes et le contenu du rapport dès 2025. Parmi ces évolutions, l’étude met en avant le besoin d’élargir les responsabilités actuelles sur les états financiers du comité d’audit au reporting de durabilité et l’obligation de publier les composantes du dispositif de contrôle au sein dudit rapport.
Au-delà de la conformité réglementaire, des bénéfices de la RSE sont à noter pour les directions financières :
Près d’une sur deux (44%) souhaite aller plus loin que la conformité et engager son entreprise dans une démarche de transformation RSE, tout en valorisant ce positionnement auprès des investisseurs et des clients.
L’intégration d’éléments RSE amène près de 40% des répondants à faire évoluer leurs approches en termes de financement, principalement en mettant en place une communication adaptée vis-à-vis des financeurs. Cependant, cette intégration au sein des directions financières se couple à des défis à relever autour de la data et des compétences.
Ainsi, la valorisation des impacts environnementaux et sociétaux de l’entreprise représente le principal défi en 2024 pour 50% des dirigeants interrogés, suivi de la formation des équipes et du développement de nouvelles compétences sur la mesure et le pilotage RSE (47%).
Laurent Morel, Associé consulting finance chez PwC France et Maghreb, déclare : « Embarquer la durabilité dans le quotidien de l’organisation, le pilotage du reporting et les systèmes de contrôle est clé, non seulement pour assurer la conformité réglementaire, mais aussi pour appuyer la stratégie d’entreprise. Étant donnée les attentes croissantes sur les informations de durabilité, mais également leur qualité, la direction financière est appelée à les intégrer dans sa vision de la performance ainsi que dans son organisation et ses systèmes. Cela se traduit par la formation des collaborateurs et une collaboration étroite avec la direction RSE et les métiers de l’entreprise. »
Des directions financières innovantes grâce aux nouvelles technologies
Afin de gagner en agilité et en efficacité opérationnelle les investissements dans la digitalisation s’accélèrent. L’enquête révèle ainsi que plus de 6 directeurs financiers interrogés sur 10 (65%) s’accordent pour dire que l’amélioration de la qualité de l’information financière représente le bénéfice le plus attendu grâce aux nouvelles technologies, suivi de près par le recentrage des équipes finance sur des travaux à plus forte valeur ajoutée (63%) et la réduction des coûts des fonctions finances (55%). Ces bénéfices attendus résultent d’investissements que souhaitent réaliser les directions financières, notamment sur la dématérialisation qui reste l’investissement prioritaire des répondants (79% prévoient d’investir dès maintenant dans ce domaine), favorisé par les contraintes réglementaires liées à la facturation électronique. D’autres leviers technologiques intéressent également les entreprises pour les années à venir, tels que l’intelligence artificielle, perçue comme un levier de transformation profond et dans lequel 45% des directions envisagent d’investir d’ici 3 ans.
Près de 80% des répondants estiment avoir, à date, une maturité faible sur les nouvelles technologies, notamment l’intelligence artificielle. Cette dernière, considérée comme partiellement comprise pour l’heure, suscite néanmoins un fort intérêt auprès des directions financières sondées. Des bénéfices sont ainsi attendus par l’utilisation de l’IA dans les années à venir, notamment l’automatisation des tâches manuelles et répétitives pour 77% des répondants. L’IA générative est un volet qui intéresse également les répondants, notamment sur les aspects d’extraction de data, d’identification des risques, d’analyse des implications comptables ou encore de « coach » virtuel grâce à la capacité d’apprentissage des outils.
Néanmoins, si des bénéfices existent, l’utilisation de l’IA générative présente des risques pour les directions financières : divulgation des données, implications éthiques ou encore risques juridiques. Cette utilisation doit se faire par étape, en passant notamment par le développement des compétences digitales. Pour ce faire, le choix de privilégier la formation interne des collaborateurs l’emporte pour 77% des dirigeants interrogés, par rapport au recrutement d’experts externes (23%).
Méthodologie
Près de 200 directions financières, issues de 12 secteurs d’activité, ont répondu au questionnaire de l’étude Priorités 2024 du Directeur Financier. 55% des répondants sont issus d’ETI, 36% travaillent au sein de PME/TPE et 8% sont dans des grands groupes.
Pour la première année depuis 5 ans, la gestion du cash et des financements prend la première place parmi les priorités des directions financières (deuxième en 2023) suivi par le pilotage de la performance (première place en 2023). A moyen terme, les priorités des directions financières se concentrent sur la stratégie de croissance de l’entreprise et la gestion des talents qui prend de plus en plus d’importance et prévoit d’être, d’ici 3 ans, la priorité numéro 1 des directions financières des grands groupes (dont le chiffre d’affaires annuel est supérieur à 1 500 millions d’euros).
Les directions financières résilientes face à la permacrise
Le niveau de confiance des dirigeants financiers continue de s’éroder cette année. A court terme, seuls 57% des répondants ont confiance quant à leurs perspectives de croissance, résultat en baisse de près de 20 points par rapport à l’édition précédente (76%) et de presque 30 points par rapport à 2022 (85%).
Les dirigeants financiers anticipent une reprise de la croissance d’ici 3 ans mais dans un environnement qui restera durablement marqué par l’incertitude et la volatilité. Pour s’y préparer, les directions financières ont besoin d’agilité : il faut désormais vivre avec les risques et s’y adapter puisqu’il n’est que difficilement possible de les mettre tous sous contrôle. Les directions financières intensifient leurs investissements afin de répondre aux enjeux majeurs de transformation à venir, de digitaliser la fonction finance et d’optimiser leur efficacité opérationnelle.
Afin de gagner en agilité à court et moyen termes, les directions financières interrogées envisagent d’activer trois leviers de transformation :
La restructuration organisationnelle est essentielle pour plus de 6 répondants sur 10, et s’accompagne d’un besoin de repenser les rôles et responsabilités au sein de la direction financière.
L’activation des leviers technologiques est incontournable pour 57% des dirigeants afin d’automatiser davantage les processus et de gérer plus efficacement les données.
Plus de la moitié des sondés jugent crucial de faire évoluer les modèles de pilotage grâce à l’agilité et aux outils d’analyse avancée afin d’améliorer et d’accélérer les prises de décision.
Les risques à mettre sous contrôle en 2024 restent également un élément important à anticiper. Comme l’année dernière, l’inflation reste le premier risque identifié, suivi par la volatilité macroéconomique. Quant aux ETI et PME, elles sont 70% à penser que le risque cyber est plus élevé qu’auparavant. La sensibilisation des collaborateurs devient ainsi le premier levier pour s’en protéger.
Enfin, l’enquête 2024 met en avant l’aspect indispensable du costing pour piloter la profitabilité durant la période d’incertitude économique actuelle. Près de la moitié des dirigeants interrogés estiment cependant que la fiabilité de leur modèle de costing est faible. Cela étant dû à une évolution plus lente du modèle par rapport à son environnement. La maîtrise de la structure des coûts des entreprises se dégrade, amenant parfois à une lecture faussée de la profitabilité. Des évolutions sont envisagées, notamment sur le renforcement des modèles et la proposition de nouvelles fonctionnalités d’analyse, de simulation et de modélisation de scénarios. Les dimensions technologiques et RSE doivent être prises en compte. C’est pourquoi, les réflexions cheminent vers l’intégration de l’impact environnemental et social de l’entreprise dans le costing, même s’il n’existe pas encore de norme ou de pratique de référence aujourd’hui.
Les directions financières durables, élément essentiel à une performance durable
L’intégration de la RSE s’accélère dans les domaines de la conformité réglementaire et de la communication externe des directions financières interrogées (marchés, investisseurs, etc.). Cependant, elle stagne dans le pilotage de la performance globale, alors qu’il s’agit d’un domaine dans lequel les directions ont beaucoup à gagner en se positionnant comme garantes de la performance globale de l’entreprise.
Le volet de la performance est crucial pour les entreprises et fait émerger un nouveau modèle lié à l’évolution des exigences réglementaires en matière de reporting de durabilité. Ainsi, l’enquête réalisée par PwC met en lumière les transformations opérationnelles à venir, visant à définir la nouvelle clé de lecture des entreprises, combinant à parts égales la finance et la RSE. Cette évolution modifie structurellement le métier de directeur financier qui devra embrasser la notion de performance globale tout en garantissant de la donnée de performance dans son aspect financier et durable.
La convergence entre la finance et la RSE est un élément particulièrement marqué pour 2024 par la contrainte réglementaire. En effet, l’étude met en lumière une hausse de 27% par rapport à l’année précédente de l’impact de la RSE sur les activités de conformité réglementaire. Cela amène 4 répondants sur 5 à juger difficile la production du reporting extra-financier conforme à la nouvelle réglementation CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive) qui entrera en vigueur en janvier 2025.
En termes de contrôle interne, la directive européenne sur le reporting de durabilité (CSRD), qui remplace la directive européenne sur le reporting extra-financier, implique des changements à prendre en compte avec des standards cadrant les principes et le contenu du rapport dès 2025. Parmi ces évolutions, l’étude met en avant le besoin d’élargir les responsabilités actuelles sur les états financiers du comité d’audit au reporting de durabilité et l’obligation de publier les composantes du dispositif de contrôle au sein dudit rapport.
Au-delà de la conformité réglementaire, des bénéfices de la RSE sont à noter pour les directions financières :
Près d’une sur deux (44%) souhaite aller plus loin que la conformité et engager son entreprise dans une démarche de transformation RSE, tout en valorisant ce positionnement auprès des investisseurs et des clients.
L’intégration d’éléments RSE amène près de 40% des répondants à faire évoluer leurs approches en termes de financement, principalement en mettant en place une communication adaptée vis-à-vis des financeurs. Cependant, cette intégration au sein des directions financières se couple à des défis à relever autour de la data et des compétences.
Ainsi, la valorisation des impacts environnementaux et sociétaux de l’entreprise représente le principal défi en 2024 pour 50% des dirigeants interrogés, suivi de la formation des équipes et du développement de nouvelles compétences sur la mesure et le pilotage RSE (47%).
Laurent Morel, Associé consulting finance chez PwC France et Maghreb, déclare : « Embarquer la durabilité dans le quotidien de l’organisation, le pilotage du reporting et les systèmes de contrôle est clé, non seulement pour assurer la conformité réglementaire, mais aussi pour appuyer la stratégie d’entreprise. Étant donnée les attentes croissantes sur les informations de durabilité, mais également leur qualité, la direction financière est appelée à les intégrer dans sa vision de la performance ainsi que dans son organisation et ses systèmes. Cela se traduit par la formation des collaborateurs et une collaboration étroite avec la direction RSE et les métiers de l’entreprise. »
Des directions financières innovantes grâce aux nouvelles technologies
Afin de gagner en agilité et en efficacité opérationnelle les investissements dans la digitalisation s’accélèrent. L’enquête révèle ainsi que plus de 6 directeurs financiers interrogés sur 10 (65%) s’accordent pour dire que l’amélioration de la qualité de l’information financière représente le bénéfice le plus attendu grâce aux nouvelles technologies, suivi de près par le recentrage des équipes finance sur des travaux à plus forte valeur ajoutée (63%) et la réduction des coûts des fonctions finances (55%). Ces bénéfices attendus résultent d’investissements que souhaitent réaliser les directions financières, notamment sur la dématérialisation qui reste l’investissement prioritaire des répondants (79% prévoient d’investir dès maintenant dans ce domaine), favorisé par les contraintes réglementaires liées à la facturation électronique. D’autres leviers technologiques intéressent également les entreprises pour les années à venir, tels que l’intelligence artificielle, perçue comme un levier de transformation profond et dans lequel 45% des directions envisagent d’investir d’ici 3 ans.
Près de 80% des répondants estiment avoir, à date, une maturité faible sur les nouvelles technologies, notamment l’intelligence artificielle. Cette dernière, considérée comme partiellement comprise pour l’heure, suscite néanmoins un fort intérêt auprès des directions financières sondées. Des bénéfices sont ainsi attendus par l’utilisation de l’IA dans les années à venir, notamment l’automatisation des tâches manuelles et répétitives pour 77% des répondants. L’IA générative est un volet qui intéresse également les répondants, notamment sur les aspects d’extraction de data, d’identification des risques, d’analyse des implications comptables ou encore de « coach » virtuel grâce à la capacité d’apprentissage des outils.
Néanmoins, si des bénéfices existent, l’utilisation de l’IA générative présente des risques pour les directions financières : divulgation des données, implications éthiques ou encore risques juridiques. Cette utilisation doit se faire par étape, en passant notamment par le développement des compétences digitales. Pour ce faire, le choix de privilégier la formation interne des collaborateurs l’emporte pour 77% des dirigeants interrogés, par rapport au recrutement d’experts externes (23%).
Méthodologie
Près de 200 directions financières, issues de 12 secteurs d’activité, ont répondu au questionnaire de l’étude Priorités 2024 du Directeur Financier. 55% des répondants sont issus d’ETI, 36% travaillent au sein de PME/TPE et 8% sont dans des grands groupes.
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