Mesurer la façon dont les entreprises se positionnent face à l’IA en termes de ressources, de méthodes et de résultats : c’était l’objectif de l’étude que Dataiku a menée auprès de 700 seniors managers d’entreprises de plus de 500 salariés (directions générales, membres de comités de direction, directions IT) en France, en Allemagne, au Royaume-Uni, aux Pays-Bas et dans les Émirats arabes unis.
Premier enseignement : les investissements des entreprises en IA semblent peu sensibles à la conjoncture. Plus de huit managers sur dix affirment que malgré les incertitudes économiques actuelles, leur entreprise maintient ou augmente ses investissements dans le développement de l’IA. Et plus de 90 % des répondants ont la certitude que l’IA peut aider leur entreprise à devenir plus résiliente face à une récession.
L’IA, un avantage compétitif décisif dans la course à l’innovation
Que disent les entreprises françaises de l’intelligence artificielle ? Elles se situent dans les mêmes logiques que les entreprises des autres pays concernés par cette étude. Leurs motivations pour investir dans ces nouveaux outils sont diverses. Mais pour 45 % d’entre elles, il s’agit d’accélérer la croissance, tandis que 32 % mettent en avant la volonté de devancer leurs concurrents et 22 % évoquent la réduction des coûts.
Dans le contexte économique actuel très volatil, quels objectifs se sont fixé les entreprises françaises concernant le développement de l’IA ? Le premier est de rester dans la course à l’innovation (56,5 %), devant la réduction des coûts (53,5 %), le gain de temps (45,5 %), la poursuite d’un avantage compétitif (43,5 %), l’augmentation du chiffre d’affaires (41,5 %), l’amélioration du service client (40,5 %) ou la gestion des risques (19%). Ces réponses soulignent l’importance croissance que vont prendre les outils de l’IA dans l’amélioration de la compétitivité des entreprises.
Pour près de huit personnes interrogées sur dix, leur entreprise exploite l’IA à pleine capacité. Et près de sept entreprises sur dix s’affirment en mesure de calculer le retour sur investissement de l’IA.
Une part importante des investissements tech
S’agissant de la façon dont l’intelligence artificielle se déploie dans l’entreprise, l’enquête de Dataiku révèle que les outils d’IA ne sont pas seulement accessibles aux spécialistes. 70 % des répondants indiquent que le travail sur les data et l’IA est mené à la fois par des data scientistes, mais aussi par les experts métiers des entreprises, même si, dans 51 % des cas, les experts métiers n’ont qu’un accès partiel aux data et aux outils. En outre, 77,5 % des répondants indiquent que les outils IA de l’entreprises sont accessibles par des solutions low-code ou no-code.
Cette enquêté révèle également que l’IA mobilise une part importante des investissements tech : entre 26 et 75% selon les entreprises.
Une confiance dans la régulation européenne
Comment les entreprises appréhendent la question du risque généré par l’IA, qui fait l’objet de nombreux débats ? 56,5 % des personnes interrogées s’estiment tout à fait conscientes de ces risques, ce qui laisse tout de même une forte minorité qui ne semble pas encore en avoir pris la mesure. Pour autant, huit personnes interrogées sur dix se disent assez confiantes dans l’approche de l’Union européenne et de son Artificial Intelligence Act pour limiter ces risques.
Premier enseignement : les investissements des entreprises en IA semblent peu sensibles à la conjoncture. Plus de huit managers sur dix affirment que malgré les incertitudes économiques actuelles, leur entreprise maintient ou augmente ses investissements dans le développement de l’IA. Et plus de 90 % des répondants ont la certitude que l’IA peut aider leur entreprise à devenir plus résiliente face à une récession.
L’IA, un avantage compétitif décisif dans la course à l’innovation
Que disent les entreprises françaises de l’intelligence artificielle ? Elles se situent dans les mêmes logiques que les entreprises des autres pays concernés par cette étude. Leurs motivations pour investir dans ces nouveaux outils sont diverses. Mais pour 45 % d’entre elles, il s’agit d’accélérer la croissance, tandis que 32 % mettent en avant la volonté de devancer leurs concurrents et 22 % évoquent la réduction des coûts.
Dans le contexte économique actuel très volatil, quels objectifs se sont fixé les entreprises françaises concernant le développement de l’IA ? Le premier est de rester dans la course à l’innovation (56,5 %), devant la réduction des coûts (53,5 %), le gain de temps (45,5 %), la poursuite d’un avantage compétitif (43,5 %), l’augmentation du chiffre d’affaires (41,5 %), l’amélioration du service client (40,5 %) ou la gestion des risques (19%). Ces réponses soulignent l’importance croissance que vont prendre les outils de l’IA dans l’amélioration de la compétitivité des entreprises.
Pour près de huit personnes interrogées sur dix, leur entreprise exploite l’IA à pleine capacité. Et près de sept entreprises sur dix s’affirment en mesure de calculer le retour sur investissement de l’IA.
Une part importante des investissements tech
S’agissant de la façon dont l’intelligence artificielle se déploie dans l’entreprise, l’enquête de Dataiku révèle que les outils d’IA ne sont pas seulement accessibles aux spécialistes. 70 % des répondants indiquent que le travail sur les data et l’IA est mené à la fois par des data scientistes, mais aussi par les experts métiers des entreprises, même si, dans 51 % des cas, les experts métiers n’ont qu’un accès partiel aux data et aux outils. En outre, 77,5 % des répondants indiquent que les outils IA de l’entreprises sont accessibles par des solutions low-code ou no-code.
Cette enquêté révèle également que l’IA mobilise une part importante des investissements tech : entre 26 et 75% selon les entreprises.
Une confiance dans la régulation européenne
Comment les entreprises appréhendent la question du risque généré par l’IA, qui fait l’objet de nombreux débats ? 56,5 % des personnes interrogées s’estiment tout à fait conscientes de ces risques, ce qui laisse tout de même une forte minorité qui ne semble pas encore en avoir pris la mesure. Pour autant, huit personnes interrogées sur dix se disent assez confiantes dans l’approche de l’Union européenne et de son Artificial Intelligence Act pour limiter ces risques.
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