Si Microsoft pousse courageusement SQL Server depuis des années comme base de données relationnelle d’entreprise, il faut reconnaître que les grands clients n’ont pas tous suivi le mouvement. SQL Server, malgré quelques succès réels sur de gros volumes, conserve auprès des entreprises l’image d’une base de données départementale plus que d’une solution capable de gérer l’ensemble des applications critiques de l’entreprise.
Microsoft veut absolument en parallèle développer l’usage de son service Windows Azure et convaincre les entreprises de passer au « cloud computing ». Un des freins à cette adoption semble être la base de données. Les grandes entreprises, souvent clientes de Oracle, ne pouvaient pas passer à Windows Azure sans remettre en cause leur choix de SGBD. C’est particulièrement le cas des systèmes décisionnels et des entrepôts de données.
L’annonce faite aujourd’hui par Steve Ballmer et Mark Hurd avait été qualifiée de majeure lors de son dévoilement en fin de semaine dernière. Les deux sociétés ont mis en place un accord de partenariat qui va permettre aux clients de Microsoft Windows Azure d’acquérir des outils Oracle, en particulier Java, la base de données et le serveur d’applications WebLogic, et de les faire tourner sur le « cloud » de Microsoft. « Microsoft fait toujours en sorte de fournir aux entreprises les solutions qu’elles souhaitent », a expliqué Steve Ballmer, CEO de Microsoft. Une alliance entre deux grands fournisseurs, qui vise aussi à éviter de laisser trop de champ libre à d’autres solutions en mode hébergé qui pourraient se développer. Toute remise en question de choix historiques d’infrastructure par une entreprise conduit en effet à une comparaison plus ouverte avec d’autres solutions.
Microsoft veut absolument en parallèle développer l’usage de son service Windows Azure et convaincre les entreprises de passer au « cloud computing ». Un des freins à cette adoption semble être la base de données. Les grandes entreprises, souvent clientes de Oracle, ne pouvaient pas passer à Windows Azure sans remettre en cause leur choix de SGBD. C’est particulièrement le cas des systèmes décisionnels et des entrepôts de données.
L’annonce faite aujourd’hui par Steve Ballmer et Mark Hurd avait été qualifiée de majeure lors de son dévoilement en fin de semaine dernière. Les deux sociétés ont mis en place un accord de partenariat qui va permettre aux clients de Microsoft Windows Azure d’acquérir des outils Oracle, en particulier Java, la base de données et le serveur d’applications WebLogic, et de les faire tourner sur le « cloud » de Microsoft. « Microsoft fait toujours en sorte de fournir aux entreprises les solutions qu’elles souhaitent », a expliqué Steve Ballmer, CEO de Microsoft. Une alliance entre deux grands fournisseurs, qui vise aussi à éviter de laisser trop de champ libre à d’autres solutions en mode hébergé qui pourraient se développer. Toute remise en question de choix historiques d’infrastructure par une entreprise conduit en effet à une comparaison plus ouverte avec d’autres solutions.
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