A nombre de jours ouvrés constant, ce premier semestre 2013 comptant 2 jours de moins qu’en 2012, le ralentissement de l’activité s’est limité à 1,4 %. A taux, périmètre et jours constants, le chiffre d’affaires sur le premier semestre 2013 est en recul de 1,9 % par rapport au premier semestre 2012.
Sur le deuxième trimestre 2013, le chiffre d’affaires consolidé s’établit à 30,4 millions d’euros en retrait de 1,5 % par rapport à l’exercice précédent. Compte tenu d’effets de change favorables, à données comparables, le chiffre d’affaires du deuxième trimestre s’élève à 30,5 millions d’euros, en baisse de 1,3 % par rapport à la même période l’an passé.
Comme nous l’avions anticipé, le premier semestre 2013 a donc été marqué par un contexte économique toujours incertain qui amène les entreprises à limiter ou différer leurs investissements. Le mois de mai 2013 a également contribué de manière significative à ce ralentissement.
· En France, le second trimestre a cependant été marqué par l’amélioration des taux d’occupation qui avait été constatée dès le 1er trimestre 2013, avec un effectif relativement stable par rapport à celui du dernier trimestre 2012. Par ailleurs, certaines activités du groupe à forte valeur ajoutée, et sur lesquelles Micropole est leader comme le Master Data Management (MDM) ou les applications de pilotage financier (FPM), continuent de performer. Les activités en régions ainsi que l’activité de la filiale de formation Micropole Institut, ont également réussi à maintenir un bon niveau de croissance organique.
· Concernant la Suisse, le groupe Micropole a réorganisé ses effectifs après un exercice 2012 difficile en raison des difficultés systémiques du secteur bancaire. En comparaison, le chiffre d’affaires est donc logiquement en baisse mais l’objectif reste focalisé sur la restauration d’un bon niveau de rentabilité.
· Au Benelux, l’activité toujours en croissance, a cependant marqué un ralentissement au 2ème trimestre, qui s’explique en partie par la longueur des cycles d’avant-vente et de décision des projets ERP, dans un environnement international plus complexe.
« La conjoncture du second semestre demeure encore difficile à anticiper. Notre positionnement, qui nous permet aujourd’hui de réaliser près de 30 % de notre chiffre d’affaires à l’international, ainsi que notre stratégie autour d’offres à forte valeur ajoutée, continuent de nous ouvrir des perspectives de développement pour conforter notre objectif de stabilisation de l’activité au second semestre », commente Christian Poyau, Président-Directeur Général de Micropole.
Sur le deuxième trimestre 2013, le chiffre d’affaires consolidé s’établit à 30,4 millions d’euros en retrait de 1,5 % par rapport à l’exercice précédent. Compte tenu d’effets de change favorables, à données comparables, le chiffre d’affaires du deuxième trimestre s’élève à 30,5 millions d’euros, en baisse de 1,3 % par rapport à la même période l’an passé.
Comme nous l’avions anticipé, le premier semestre 2013 a donc été marqué par un contexte économique toujours incertain qui amène les entreprises à limiter ou différer leurs investissements. Le mois de mai 2013 a également contribué de manière significative à ce ralentissement.
· En France, le second trimestre a cependant été marqué par l’amélioration des taux d’occupation qui avait été constatée dès le 1er trimestre 2013, avec un effectif relativement stable par rapport à celui du dernier trimestre 2012. Par ailleurs, certaines activités du groupe à forte valeur ajoutée, et sur lesquelles Micropole est leader comme le Master Data Management (MDM) ou les applications de pilotage financier (FPM), continuent de performer. Les activités en régions ainsi que l’activité de la filiale de formation Micropole Institut, ont également réussi à maintenir un bon niveau de croissance organique.
· Concernant la Suisse, le groupe Micropole a réorganisé ses effectifs après un exercice 2012 difficile en raison des difficultés systémiques du secteur bancaire. En comparaison, le chiffre d’affaires est donc logiquement en baisse mais l’objectif reste focalisé sur la restauration d’un bon niveau de rentabilité.
· Au Benelux, l’activité toujours en croissance, a cependant marqué un ralentissement au 2ème trimestre, qui s’explique en partie par la longueur des cycles d’avant-vente et de décision des projets ERP, dans un environnement international plus complexe.
« La conjoncture du second semestre demeure encore difficile à anticiper. Notre positionnement, qui nous permet aujourd’hui de réaliser près de 30 % de notre chiffre d’affaires à l’international, ainsi que notre stratégie autour d’offres à forte valeur ajoutée, continuent de nous ouvrir des perspectives de développement pour conforter notre objectif de stabilisation de l’activité au second semestre », commente Christian Poyau, Président-Directeur Général de Micropole.
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