Sur le deuxième trimestre 2012, le chiffre d’affaires consolidé s’établit à 30,9 millions d’euros en progression de 5,2 % par rapport à l’exercice précédent. Ces chiffres incluent l’activité de la société belge Velixis, acquise à 100 % par Micropole, dont les comptes ont été intégrés au 1er avril.
À données comparables, Micropole enregistre un chiffre d’affaires sur le premier semestre 2012 de 59,2 millions d’euros, en croissance de 1,9 % par rapport au premier semestre 2011. A taux et périmètre constants, le chiffre d’affaires du deuxième trimestre s’élève à 29,0 millions d’euros, en baisse de 1,4 % par rapport à la même période l’an passé.
Comme nous l’avions anticipé, le deuxième trimestre 2012 a donc marqué un ralentissement de l’activité, en particulier sur les mois d’avril et mai :
· En France, le contexte macro-économique et politique a généré un attentisme dans quasiment tous les secteurs d’activité, accentué par un effet jours ouvrés fortement négatif de 3,2 % sur le deuxième trimestre 2012 par rapport à celui de 2011. En retraitant cet effet de base du deuxième trimestre 2012, la France reste en croissance organique de près de 2 %.
· En Suisse, l’activité a été marquée pour la première fois par un ralentissement important en raison des difficultés systémiques du secteur bancaire et du niveau de change élevé du Franc Suisse, pénalisant les investissements des sociétés.
· Au Benelux, la progression du chiffre d’affaires est par contre restée très dynamique, les projets ERP étant tirés notamment par le développement international de nos clients.
· Nos activités en Chine, toujours en phase de développement, n’ont pas encore d’impact significatif sur le chiffre d’affaires. Les perspectives sont cependant prometteuses avec comme indicateur la signature récente de plusieurs projets porteurs.
Cette baisse de l’investissement des entreprises s’accompagne néanmoins des logiques suivantes :
· La demande est toujours importante sur les prestations à forte valeur ajoutée (comme par exemple les applications de pilotage financier -offre FPM- ou la gestion des référentiels d’entreprise -offre MDM -), domaines dans lesquels Micropole possède une position de leader.
· Toutes les sociétés ayant orienté fortement leur développement vers l’international (Industrie, Luxe, …), poursuivent leur croissance et leurs investissements ; ceci valide pleinement notre stratégie visant à accompagner nos clients dans leur déploiement à l’international et notamment notre implantation en Chine.
· On constate que la segmentation du marché entre prestations au forfait ou en régie tend à s’intensifier ; la demande des clients est beaucoup plus importante sur les prestations avec engagement de résultats, expertise historique de Micropole.
Fort de ces constats, et en s’appuyant sur une structure financière saine et solide, le groupe Micropole entend donc continuer à surperformer son marché et à poursuivre son développement dans les années à venir, y compris par croissance externe.
« La situation est indiscutablement plus complexe qu’en 2011 avec une visibilité sur le deuxième semestre qui reste, à ce jour, difficile à évaluer. Nous avons donc logiquement adopté une attitude plus sélective dans notre politique de recrutement et dans nos projets d’investissements. Notre stratégie est cependant encore une fois confortée et nous nous emploierons, dans les mois à venir, à continuer à accentuer et amplifier notre positionnement sur des offres, existantes ou innovantes, les plus différenciatrices », commente Christian Poyau, Président-Directeur Général de Micropole.
À données comparables, Micropole enregistre un chiffre d’affaires sur le premier semestre 2012 de 59,2 millions d’euros, en croissance de 1,9 % par rapport au premier semestre 2011. A taux et périmètre constants, le chiffre d’affaires du deuxième trimestre s’élève à 29,0 millions d’euros, en baisse de 1,4 % par rapport à la même période l’an passé.
Comme nous l’avions anticipé, le deuxième trimestre 2012 a donc marqué un ralentissement de l’activité, en particulier sur les mois d’avril et mai :
· En France, le contexte macro-économique et politique a généré un attentisme dans quasiment tous les secteurs d’activité, accentué par un effet jours ouvrés fortement négatif de 3,2 % sur le deuxième trimestre 2012 par rapport à celui de 2011. En retraitant cet effet de base du deuxième trimestre 2012, la France reste en croissance organique de près de 2 %.
· En Suisse, l’activité a été marquée pour la première fois par un ralentissement important en raison des difficultés systémiques du secteur bancaire et du niveau de change élevé du Franc Suisse, pénalisant les investissements des sociétés.
· Au Benelux, la progression du chiffre d’affaires est par contre restée très dynamique, les projets ERP étant tirés notamment par le développement international de nos clients.
· Nos activités en Chine, toujours en phase de développement, n’ont pas encore d’impact significatif sur le chiffre d’affaires. Les perspectives sont cependant prometteuses avec comme indicateur la signature récente de plusieurs projets porteurs.
Cette baisse de l’investissement des entreprises s’accompagne néanmoins des logiques suivantes :
· La demande est toujours importante sur les prestations à forte valeur ajoutée (comme par exemple les applications de pilotage financier -offre FPM- ou la gestion des référentiels d’entreprise -offre MDM -), domaines dans lesquels Micropole possède une position de leader.
· Toutes les sociétés ayant orienté fortement leur développement vers l’international (Industrie, Luxe, …), poursuivent leur croissance et leurs investissements ; ceci valide pleinement notre stratégie visant à accompagner nos clients dans leur déploiement à l’international et notamment notre implantation en Chine.
· On constate que la segmentation du marché entre prestations au forfait ou en régie tend à s’intensifier ; la demande des clients est beaucoup plus importante sur les prestations avec engagement de résultats, expertise historique de Micropole.
Fort de ces constats, et en s’appuyant sur une structure financière saine et solide, le groupe Micropole entend donc continuer à surperformer son marché et à poursuivre son développement dans les années à venir, y compris par croissance externe.
« La situation est indiscutablement plus complexe qu’en 2011 avec une visibilité sur le deuxième semestre qui reste, à ce jour, difficile à évaluer. Nous avons donc logiquement adopté une attitude plus sélective dans notre politique de recrutement et dans nos projets d’investissements. Notre stratégie est cependant encore une fois confortée et nous nous emploierons, dans les mois à venir, à continuer à accentuer et amplifier notre positionnement sur des offres, existantes ou innovantes, les plus différenciatrices », commente Christian Poyau, Président-Directeur Général de Micropole.
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