Une performance sur tous les maillons de la chaine de valeur
Que ce soit en conjoncture de récession ou non, chaque organisation ou entité est en recherche de plus de souplesse, de plus de réactivité et d’amélioration de la performance de ces activités.
Ces 3 objectifs et les gains afférents sont au centre des approches de performance opérationnelle, comme par exemple les approches du « Lean Management », qui reposent sur :
• une décentralisation des décisions au plus proche des acteurs opérationnels
• une autonomisation et implication de ces acteurs/contributeurs sur des objectifs communs
• une communication et collaboration plus dynamique
Face à ces objectifs, l’entreprise doit diffuser les bonnes pratiques managériales et fournir les outils BI en support de celles-ci. C’est cette conjonction qui permet de révéler toute la valeur des outils de BI.
Ces 3 objectifs et les gains afférents sont au centre des approches de performance opérationnelle, comme par exemple les approches du « Lean Management », qui reposent sur :
• une décentralisation des décisions au plus proche des acteurs opérationnels
• une autonomisation et implication de ces acteurs/contributeurs sur des objectifs communs
• une communication et collaboration plus dynamique
Face à ces objectifs, l’entreprise doit diffuser les bonnes pratiques managériales et fournir les outils BI en support de celles-ci. C’est cette conjonction qui permet de révéler toute la valeur des outils de BI.
Des données en relief et en couleur... mais pas seulement
Les outils BI doivent fournir du « sens » (représentation des objectifs) et du « corps » (représentation de la réalité) aux données et aux indicateurs pour offrir un modèle des activités.
Cette vision « au plus juste », fournissant un consensus partagé, s’appuie sur tous les gisements de données jugés utiles, de celles produites en interne (les systèmes MES par exemple) à celles fournies par des acteurs externes (sources « open data » par exemple).
L’exploitation, l’exploration et la représentation « densifiée » des informations à travers les outils de BI apporte :
• une composante « vitesse de circulation » de l’information (information),
• une composante de partage et de collaboration (communication),
• et une composante « vitesse de d’assimilation » (contribution).
C’est en cela que les outils BI représentent un outil de management
Cette vision « au plus juste », fournissant un consensus partagé, s’appuie sur tous les gisements de données jugés utiles, de celles produites en interne (les systèmes MES par exemple) à celles fournies par des acteurs externes (sources « open data » par exemple).
L’exploitation, l’exploration et la représentation « densifiée » des informations à travers les outils de BI apporte :
• une composante « vitesse de circulation » de l’information (information),
• une composante de partage et de collaboration (communication),
• et une composante « vitesse de d’assimilation » (contribution).
C’est en cela que les outils BI représentent un outil de management
Une convergence avec les tendances du marché
Je n’exposerais ici que deux grandes tendances.
La première repose sur les changements des modes d’utilisation de ces outils avec :
• Des « mécanismes » de mise à disposition en « temps réel » des informations
• Des fonctionnalités collaboratives complémentaires (de type blog, workflow, commentaires sur les rapports jusqu’au niveau de détail des indicateurs, …)
• Des portails de « BI libre service » accentuant la démocratisation des outils et des contenus/ressources BI et leur « consumérisation »
La seconde repose sur la visualisation des informations et l’« expérience » utilisateur avec :
• Des utilisations de nouveaux medium, en particulier mobile, comme les tablettes et les smartphones, (représentation repensée de la disposition des informations)
• Des extensions quant à la forme de présentation suivant la nature des informations (présentation repensée des indicateurs et de l’interaction avec ceux-ci)
La première repose sur les changements des modes d’utilisation de ces outils avec :
• Des « mécanismes » de mise à disposition en « temps réel » des informations
• Des fonctionnalités collaboratives complémentaires (de type blog, workflow, commentaires sur les rapports jusqu’au niveau de détail des indicateurs, …)
• Des portails de « BI libre service » accentuant la démocratisation des outils et des contenus/ressources BI et leur « consumérisation »
La seconde repose sur la visualisation des informations et l’« expérience » utilisateur avec :
• Des utilisations de nouveaux medium, en particulier mobile, comme les tablettes et les smartphones, (représentation repensée de la disposition des informations)
• Des extensions quant à la forme de présentation suivant la nature des informations (présentation repensée des indicateurs et de l’interaction avec ceux-ci)
En guise de synthèse
Les outils BI ne sont pas des outils « inertes » et « froids » mais bien des outils intégrant une dimension managériale, voir de « Management visuel » (Voir – Comprendre – Réagir). Les approches « Self-BI » ou « Personnal BI » ne doivent pas occulter les composantes collaborative, contributive et d’alignement cohérent des actions, et ainsi accomplir les promesses de créativité et de productivité.
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