Jusqu’à 60 % des données conservées par les entreprises demeurent inutilisées. Pourtant, la plupart des organisations n’intègrent pas encore le stockage de données à leurs stratégies de développement durable selon une étude menée par Omdia pour NTT et NetApp, expert du stockage et de la gestion des données.
Développement durable : le rôle clé des DSI
Pour 58% des cadres dirigeants, les DSI et les services informatiques jouent un rôle essentiel pour mener à bien les projets en matière de développement durable. En effet, l'informatique, les datacenters et l'infrastructure cloud sont considérés comme des piliers clés de leurs programmes de développement durable (à 63 %), soulignant un lien étroit entre le stockage des données et la durabilité.
Par conséquent, près de 7 cadres dirigeants sur 10 conviennent qu'une meilleure gestion des données, y compris leur stockage, est importante pour leur organisation. Cependant, seulement près d’un tiers des organisations déclarent disposer des ressources nécessaires pour mesurer et rendre compte des implications du stockage et de l’expansion de leurs données.
L’étude montre également que la circularité – c’est-à-dire minimiser les déchets et prolonger la durée de vie des produits et des matériaux pour favoriser une utilisation efficace des ressources – devient de plus en plus importante dans le secteur de la technologie et du stockage de données.
Pourtant, la DSI ne voit pas toujours l’élimination des données non nécessaires et indésirables comme une priorité majeure. Son attention est plutôt portée sur l’achat et l’installation d’équipements à faible consommation d’énergie.
Déplacement des données vers le cloud
Une fois que les organisations commencent à évaluer leur stockage de données, les étapes suivantes les plus courantes consistent à consolider leurs datacenters et à réduire la taille de leurs salles de serveurs. Enfin, les entreprises déplacent leurs données vers des serveurs basés sur le cloud, ce qui se traduit principalement par une amélioration de l’efficacité opérationnelle et une réduction des émissions de CO2 de 40 à 60 %.
Près de 90 % des organisations encouragent l'adoption de pratiques informatiques durables, pourtant la moitié déclare que leurs fournisseurs ne partagent pas leur engagement « La compréhension de l’impact de la technologie sur la durabilité est une préoccupation essentielle pour les entreprises, mais il s’agit toutefois d’un sujet extrêmement complexe, » déclare Miriam Murphy, CEO Europe, NTT Ltd. « Il reste encore beaucoup de progrès à faire, sachant que seuls 38 % des sondés affirment être parvenus à mettre en place une stratégie globale à l’échelle de leur entreprise. C’est dans ce domaine que les partenaires peuvent apporter leur concours en proposant un ensemble de solutions, qui peuvent aller du conseil à l’offre de services de gouvernance, en passant par les audits des technologies existantes, la stratégie, la conception de feuilles de route ou encore l’implémentation des solutions. »
« Même si les organisations sont de plus en plus conscientes de la quantité de données excédentaires qu’elles stockent, il est particulièrement inquiétant de constater qu’un grand nombre d’entre elles n’ont pas trouvé de moyen efficace pour s’attaquer à ce problème de manière proactive, » commente Matt Watts, Chief Technology Evangelist chez NetApp. « L’étude met en lumière la quantité de travail qu’il reste à accomplir, même à une époque où les objectifs d’efficacité et de durabilité constituent une priorité aux yeux des entreprises. Chez NetApp, nous sommes convaincus qu’un stockage plus intelligent est indispensable pour réduire la consommation d’énergie et les émissions carbone. »
Méthodologie de l’étude
Pour le compte de NTT, Omdia a conçu, planifié et mené une enquête en ligne sur mesure pour étudier les questions de développement durable liées au stockage et à la gestion des données, ainsi que les stratégies en matière de durabilité et d’informatique. Le panel de sondés se compose de 312 cadres dirigeants, vice-présidents, directeur, chefs de services ou managers séniors. Les entreprises interrogées sont basées en Allemagne, aux Pays-Bas et au Royaume-Uni et comptent plus de 5 000 employés. Les répondants sont issus des secteurs financier et bancaire, manufacturier, public, de la santé ou de l’industrie pharmaceutique, du commerce de détail ou de la grande distribution et des médias.
Développement durable : le rôle clé des DSI
Pour 58% des cadres dirigeants, les DSI et les services informatiques jouent un rôle essentiel pour mener à bien les projets en matière de développement durable. En effet, l'informatique, les datacenters et l'infrastructure cloud sont considérés comme des piliers clés de leurs programmes de développement durable (à 63 %), soulignant un lien étroit entre le stockage des données et la durabilité.
Par conséquent, près de 7 cadres dirigeants sur 10 conviennent qu'une meilleure gestion des données, y compris leur stockage, est importante pour leur organisation. Cependant, seulement près d’un tiers des organisations déclarent disposer des ressources nécessaires pour mesurer et rendre compte des implications du stockage et de l’expansion de leurs données.
L’étude montre également que la circularité – c’est-à-dire minimiser les déchets et prolonger la durée de vie des produits et des matériaux pour favoriser une utilisation efficace des ressources – devient de plus en plus importante dans le secteur de la technologie et du stockage de données.
Pourtant, la DSI ne voit pas toujours l’élimination des données non nécessaires et indésirables comme une priorité majeure. Son attention est plutôt portée sur l’achat et l’installation d’équipements à faible consommation d’énergie.
Déplacement des données vers le cloud
Une fois que les organisations commencent à évaluer leur stockage de données, les étapes suivantes les plus courantes consistent à consolider leurs datacenters et à réduire la taille de leurs salles de serveurs. Enfin, les entreprises déplacent leurs données vers des serveurs basés sur le cloud, ce qui se traduit principalement par une amélioration de l’efficacité opérationnelle et une réduction des émissions de CO2 de 40 à 60 %.
Près de 90 % des organisations encouragent l'adoption de pratiques informatiques durables, pourtant la moitié déclare que leurs fournisseurs ne partagent pas leur engagement « La compréhension de l’impact de la technologie sur la durabilité est une préoccupation essentielle pour les entreprises, mais il s’agit toutefois d’un sujet extrêmement complexe, » déclare Miriam Murphy, CEO Europe, NTT Ltd. « Il reste encore beaucoup de progrès à faire, sachant que seuls 38 % des sondés affirment être parvenus à mettre en place une stratégie globale à l’échelle de leur entreprise. C’est dans ce domaine que les partenaires peuvent apporter leur concours en proposant un ensemble de solutions, qui peuvent aller du conseil à l’offre de services de gouvernance, en passant par les audits des technologies existantes, la stratégie, la conception de feuilles de route ou encore l’implémentation des solutions. »
« Même si les organisations sont de plus en plus conscientes de la quantité de données excédentaires qu’elles stockent, il est particulièrement inquiétant de constater qu’un grand nombre d’entre elles n’ont pas trouvé de moyen efficace pour s’attaquer à ce problème de manière proactive, » commente Matt Watts, Chief Technology Evangelist chez NetApp. « L’étude met en lumière la quantité de travail qu’il reste à accomplir, même à une époque où les objectifs d’efficacité et de durabilité constituent une priorité aux yeux des entreprises. Chez NetApp, nous sommes convaincus qu’un stockage plus intelligent est indispensable pour réduire la consommation d’énergie et les émissions carbone. »
Méthodologie de l’étude
Pour le compte de NTT, Omdia a conçu, planifié et mené une enquête en ligne sur mesure pour étudier les questions de développement durable liées au stockage et à la gestion des données, ainsi que les stratégies en matière de durabilité et d’informatique. Le panel de sondés se compose de 312 cadres dirigeants, vice-présidents, directeur, chefs de services ou managers séniors. Les entreprises interrogées sont basées en Allemagne, aux Pays-Bas et au Royaume-Uni et comptent plus de 5 000 employés. Les répondants sont issus des secteurs financier et bancaire, manufacturier, public, de la santé ou de l’industrie pharmaceutique, du commerce de détail ou de la grande distribution et des médias.
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