Les entreprises en pleine remise en question verte
Selon IDC, pour près de 20 % des organisations en Europe, les initiatives de développement durable représentent plus de 10 % de leur budget informatique. De plus, les chiffres montrent qu'entre 2021 et 2022, le nombre d'organisations européennes qui considèrent que leurs initiatives responsables sont arrivées à maturité a augmenté de 10 %.
En effet, les catastrophes climatiques contemporaines montrent que nous ne pouvons pas maintenir notre trajectoire actuelle. Toutefois, les organisations disposent aujourd’hui de nombreux moyens pour s'attaquer aux émissions de carbone et devenir plus responsables. Les objectifs et les réglementations liées au climat sont de plus en plus stricts en Europe, et les citoyens européens sont très sensibles à ce sujet. Les clients, les partenaires et les actionnaires sont tous désireux de connaître les feuilles de routes durables des entreprises.
Un objectif irréalisable pour les entreprises, trop onéreux, compliqué et trop perturbant dans un contexte de perturbations macroéconomiques ? Ce n'est pas forcément le cas. On voit des entreprises tournées vers l'avenir qui parviennent à réduire considérablement leur empreinte carbone, à améliorer la recyclabilité de leurs emballages, à réduire leur propre consommation d'énergie et à rendre leurs produits plus efficaces sur le plan énergétique : d'une manière générale, elles deviennent plus vertes.
Les données pour une bonne dose de vert en entreprise
Il existe un lien étroit entre les initiatives de développement durable et une utilisation plus efficace des données. Les entreprises axées sur les données sont mieux équipées pour s'engager sur la voie verte.
En effet, les technologies modernes ainsi que la volonté d’utiliser la data à bon escient, sont les alliés des organisations pour améliorer leur impact sur l'environnement et respecter les cadres réglementaires. Une gestion et une analyse efficaces des données constituent le meilleur moyen de mesurer l'état des lieux actuel de l'entreprise en termes d'écologie, de mettre en place des initiatives et de planifier une feuille de route plus responsable.
Les défis techniques et managériaux liés aux données
Sans une gestion efficace des données, les organisations sont confrontées à une multitude de défis techniques et métiers.
Sur le plan technique, les données sont souvent stockées dans divers silos qu'il est difficile de relier et d'analyser. Ces silos vont de systèmes hérités aux systèmes modernes, en passant par le cloud. Dans l'industrie de la manufacture, par exemple, il existe fréquemment une barrière entre les technologies de l'information et les technologies opérationnelles. Certains processus et certaines données sont même encore sur papier. Les organisations sont également aux prises avec la quantité exponentielle de données qu'elles doivent stocker, gérer et analyser.
Celles-ci doivent aussi gérer les défis liés à la pénurie de compétences, à l'adhésion de la direction et à l'adaptation au changement organisationnel qu'implique une perturbation majeure des systèmes et processus existants, le tout dans un contexte de bouleversements macroéconomiques.
La virtualisation des données
La virtualisation des données est une technologie idéale dans ce contexte. Elle permet aux organisations de rassembler toutes leurs données, quels que soient l’emplacement et le format dans lequel elles sont hébergées. Avec cette technologie, les entreprises peuvent analyser les progrès accomplis en matière de développement durable, dans un environnement sans code ou à code réduit. La virtualisation permet d’éviter les réplications de données, et donc d'économiser en frais de stockage et d'énergie.
La virtualisation des données vise à placer les données souhaitées à portée de main, tout en réduisant, voire en éliminant, la réplication et son coût. Elle vise également à optimiser l'exécution des requêtes afin de réduire les besoins en calcul, ce qui permet de réduire encore davantage les coûts financiers et environnementaux. Par ailleurs, l'accès rapide aux données aide à comprendre plus vite les initiatives de développement durable, leur planification, leur suivi et leurs résultats.
La virtualisation des données est un moyen de renforcer le système de protection des données écologiques d'une organisation, avec peu ou pas de perturbation des systèmes existants, tout en apportant de nombreux avantages.
Selon IDC, pour près de 20 % des organisations en Europe, les initiatives de développement durable représentent plus de 10 % de leur budget informatique. De plus, les chiffres montrent qu'entre 2021 et 2022, le nombre d'organisations européennes qui considèrent que leurs initiatives responsables sont arrivées à maturité a augmenté de 10 %.
En effet, les catastrophes climatiques contemporaines montrent que nous ne pouvons pas maintenir notre trajectoire actuelle. Toutefois, les organisations disposent aujourd’hui de nombreux moyens pour s'attaquer aux émissions de carbone et devenir plus responsables. Les objectifs et les réglementations liées au climat sont de plus en plus stricts en Europe, et les citoyens européens sont très sensibles à ce sujet. Les clients, les partenaires et les actionnaires sont tous désireux de connaître les feuilles de routes durables des entreprises.
Un objectif irréalisable pour les entreprises, trop onéreux, compliqué et trop perturbant dans un contexte de perturbations macroéconomiques ? Ce n'est pas forcément le cas. On voit des entreprises tournées vers l'avenir qui parviennent à réduire considérablement leur empreinte carbone, à améliorer la recyclabilité de leurs emballages, à réduire leur propre consommation d'énergie et à rendre leurs produits plus efficaces sur le plan énergétique : d'une manière générale, elles deviennent plus vertes.
Les données pour une bonne dose de vert en entreprise
Il existe un lien étroit entre les initiatives de développement durable et une utilisation plus efficace des données. Les entreprises axées sur les données sont mieux équipées pour s'engager sur la voie verte.
En effet, les technologies modernes ainsi que la volonté d’utiliser la data à bon escient, sont les alliés des organisations pour améliorer leur impact sur l'environnement et respecter les cadres réglementaires. Une gestion et une analyse efficaces des données constituent le meilleur moyen de mesurer l'état des lieux actuel de l'entreprise en termes d'écologie, de mettre en place des initiatives et de planifier une feuille de route plus responsable.
Les défis techniques et managériaux liés aux données
Sans une gestion efficace des données, les organisations sont confrontées à une multitude de défis techniques et métiers.
Sur le plan technique, les données sont souvent stockées dans divers silos qu'il est difficile de relier et d'analyser. Ces silos vont de systèmes hérités aux systèmes modernes, en passant par le cloud. Dans l'industrie de la manufacture, par exemple, il existe fréquemment une barrière entre les technologies de l'information et les technologies opérationnelles. Certains processus et certaines données sont même encore sur papier. Les organisations sont également aux prises avec la quantité exponentielle de données qu'elles doivent stocker, gérer et analyser.
Celles-ci doivent aussi gérer les défis liés à la pénurie de compétences, à l'adhésion de la direction et à l'adaptation au changement organisationnel qu'implique une perturbation majeure des systèmes et processus existants, le tout dans un contexte de bouleversements macroéconomiques.
La virtualisation des données
La virtualisation des données est une technologie idéale dans ce contexte. Elle permet aux organisations de rassembler toutes leurs données, quels que soient l’emplacement et le format dans lequel elles sont hébergées. Avec cette technologie, les entreprises peuvent analyser les progrès accomplis en matière de développement durable, dans un environnement sans code ou à code réduit. La virtualisation permet d’éviter les réplications de données, et donc d'économiser en frais de stockage et d'énergie.
La virtualisation des données vise à placer les données souhaitées à portée de main, tout en réduisant, voire en éliminant, la réplication et son coût. Elle vise également à optimiser l'exécution des requêtes afin de réduire les besoins en calcul, ce qui permet de réduire encore davantage les coûts financiers et environnementaux. Par ailleurs, l'accès rapide aux données aide à comprendre plus vite les initiatives de développement durable, leur planification, leur suivi et leurs résultats.
La virtualisation des données est un moyen de renforcer le système de protection des données écologiques d'une organisation, avec peu ou pas de perturbation des systèmes existants, tout en apportant de nombreux avantages.
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