Le CIFAR a lancé, en partenariat avec le Centre national de la recherche scientifique (CNRS) et UK Research and Innovation (UKRI), une série d’ateliers de recherche internationaux dans le cadre de son programme Intelligence artificielle et société afin d’examiner les répercussions économiques, éthiques, politiques et juridiques de l’intelligence artificielle (IA) sur la société.
Qu’il s’agisse des assistants numériques ou des véhicules autonomes, les technologies d’intelligence artificielle occupent une place grandissante dans nos vies et soulèvent de vives préoccupations entourant leur développement responsable et éthique. Les nouveaux ateliers de recherche, qui auront lieu de juin 2019 à juin 2020 au Canada, en France et au Royaume-Uni, miseront sur la collaboration internationale afin de mobiliser différents points de vue provenant des sciences sociales, des sciences humaines, du droit, du génie et de l’informatique, de même que de la politique, des affaires et de la société civile. Les équipes interdisciplinaires ainsi formées examineront l’incidence de l’IA sur différents groupes de personnes et secteurs d’activité.
Administrés et gérés par le CIFAR, avec le soutien du CNRS et d’UKRI, les ateliers traitent des répercussions mondiales de l’IA sur une foule d’aspects allant des conflits pressentis dans l’Arctique à la confiance de la société dans les systèmes d’IA, en passant par l’incidence de l’IA sur la pratique médicale. Chaque atelier mènera à une publication non universitaire destinée au grand public et aux responsables des politiques des secteurs publics et privés. Les huit ateliers ont fait l’objet d’un processus de sélection rigoureux qui s’est échelonné sur trois mois. Chaque atelier recevra un soutien financier pouvant aller jusqu’à 50 000 $ CA, pour un investissement total de 400 000 $ CA.
« La force de ces ateliers réside dans leur vocation interdisciplinaire, internationale et plurisectorielle, » a expliqué Alan Bernstein, président et chef de la direction du CIFAR. « L’IA est en voie d’être adoptée partout dans le monde. Dans ce contexte, il est essentiel que nous élaborions de nouvelles approches pour mesurer l’étendue de ses répercussions sur les personnes, les secteurs et les disciplines. Le CIFAR est ravi de s’associer à des organismes de la France et du Royaume-Uni pour approfondir notre compréhension des enjeux sociétaux de l’IA. »
Cette série d’ateliers est la deuxième organisée sous l’égide du programme Intelligence artificielle et société lancé en 2017 par le CIFAR. Pilier important de la Stratégie pancanadienne en matière d’IA du CIFAR, ce programme jouit d’un octroi de 125 millions de dollars alloué par le gouvernement canadien afin d’assurer le leadership du Canada dans le secteur de la recherche et de l’enseignement en apprentissage automatique.
Pour Antoine Petit, président-directeur général du CNRS, « œuvrer à analyser et à mieux comprendre les répercussions éventuelles d’ordre éthique, sociale, juridique ou économique de l’intelligence artificielle est primordial. Le CNRS est ravi de s’engager aux côtés de CIFAR et d’UKRI pour alimenter la réflexion autour de ces questions. »
« Le potentiel de l’intelligence artificielle s’étend à tous les domaines de la société et des affaires. C’est pourquoi il est crucial que nous accordions toute l’attention nécessaire aux enjeux éthiques et sociétaux de son utilisation croissante, » a déclaré sir Mark Walport, directeur général d’UKRI. « Organisés en collaboration avec le CIFAR et le CNRS, les ateliers annoncés aujourd’hui contribueront de façon importante à l’étude des répercussions de l’intelligence artificielle et généreront des connaissances qui éclaireront les décideurs politiques, les entreprises et le public. »
Consultez la liste complète des ateliers et des équipes de recherche retenues.
Qu’il s’agisse des assistants numériques ou des véhicules autonomes, les technologies d’intelligence artificielle occupent une place grandissante dans nos vies et soulèvent de vives préoccupations entourant leur développement responsable et éthique. Les nouveaux ateliers de recherche, qui auront lieu de juin 2019 à juin 2020 au Canada, en France et au Royaume-Uni, miseront sur la collaboration internationale afin de mobiliser différents points de vue provenant des sciences sociales, des sciences humaines, du droit, du génie et de l’informatique, de même que de la politique, des affaires et de la société civile. Les équipes interdisciplinaires ainsi formées examineront l’incidence de l’IA sur différents groupes de personnes et secteurs d’activité.
Administrés et gérés par le CIFAR, avec le soutien du CNRS et d’UKRI, les ateliers traitent des répercussions mondiales de l’IA sur une foule d’aspects allant des conflits pressentis dans l’Arctique à la confiance de la société dans les systèmes d’IA, en passant par l’incidence de l’IA sur la pratique médicale. Chaque atelier mènera à une publication non universitaire destinée au grand public et aux responsables des politiques des secteurs publics et privés. Les huit ateliers ont fait l’objet d’un processus de sélection rigoureux qui s’est échelonné sur trois mois. Chaque atelier recevra un soutien financier pouvant aller jusqu’à 50 000 $ CA, pour un investissement total de 400 000 $ CA.
« La force de ces ateliers réside dans leur vocation interdisciplinaire, internationale et plurisectorielle, » a expliqué Alan Bernstein, président et chef de la direction du CIFAR. « L’IA est en voie d’être adoptée partout dans le monde. Dans ce contexte, il est essentiel que nous élaborions de nouvelles approches pour mesurer l’étendue de ses répercussions sur les personnes, les secteurs et les disciplines. Le CIFAR est ravi de s’associer à des organismes de la France et du Royaume-Uni pour approfondir notre compréhension des enjeux sociétaux de l’IA. »
Cette série d’ateliers est la deuxième organisée sous l’égide du programme Intelligence artificielle et société lancé en 2017 par le CIFAR. Pilier important de la Stratégie pancanadienne en matière d’IA du CIFAR, ce programme jouit d’un octroi de 125 millions de dollars alloué par le gouvernement canadien afin d’assurer le leadership du Canada dans le secteur de la recherche et de l’enseignement en apprentissage automatique.
Pour Antoine Petit, président-directeur général du CNRS, « œuvrer à analyser et à mieux comprendre les répercussions éventuelles d’ordre éthique, sociale, juridique ou économique de l’intelligence artificielle est primordial. Le CNRS est ravi de s’engager aux côtés de CIFAR et d’UKRI pour alimenter la réflexion autour de ces questions. »
« Le potentiel de l’intelligence artificielle s’étend à tous les domaines de la société et des affaires. C’est pourquoi il est crucial que nous accordions toute l’attention nécessaire aux enjeux éthiques et sociétaux de son utilisation croissante, » a déclaré sir Mark Walport, directeur général d’UKRI. « Organisés en collaboration avec le CIFAR et le CNRS, les ateliers annoncés aujourd’hui contribueront de façon importante à l’étude des répercussions de l’intelligence artificielle et généreront des connaissances qui éclaireront les décideurs politiques, les entreprises et le public. »
Consultez la liste complète des ateliers et des équipes de recherche retenues.
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