Vaste sujet, la virtualisation est aujourd’hui une thématique incontournable au sein des entreprises et des organismes publics, notamment dans le monde de la santé. Mais pourquoi un tel attrait ? Il convient tout d’abord de s’arrêter sur le spectre fonctionnel couvert par la virtualisation. En effet, la virtualisation est aujourd’hui particulièrement étendue et concerne de nombreux domaines (matériel, applicatifs, stockage). Bref, des points stratégiques dans l’entreprise. Comme souvent les raisons économiques
expliquent largement le développement historique des technologies de virtualisation.
En effet, avec comme principales vertus un retour sur investissement à court terme et une approche résolument en adéquation avec les enjeux liés à la rationalisation du SI, la virtualisation intéresse désormais le top management de l’entreprise. Notons également qu’au travers de la virtualisation, les entreprises peuvent accéder à d’autres bénéfices complémentaires, ce qui explique la croissance du nombre de projets lancés.
Il est désormais de mise de constater que plus de 7 projets sur 10 intègrent une dimension liée à la virtualisation.
Cette tendance devrait continuer de croître sur les prochaines années.
Ainsi, une étude d’IDC évalue à plus de 15 milliards de dollars le CA des solutions de virtualisation de serveurs d'ici à 2009. Au travers de cette donnée l’on comprend donc parfaitement que les projets intégrant la virtualisation se positionnent désormais parmi les priorités des Directions des systèmes d’information. Synonyme d’optimisation des ressources d'un parc de machines, de simplicité des processus de migration, d’économie sur le matériel par mutualisation mais aussi de diminution des risques liés au dimensionnement des serveurs, l’essor de la virtualisation s’explique également par l’avènement de l’informatique verte, la « green IT », qui devient un axe de développement citoyen pour les entreprises.
En ce sens, la virtualisation est une réponse adaptée. En effet, grâce à elle il est par exemple possible de rationaliser son parc informatique en équipant ses collaborateurs de stations de travail moins consommatrices de ressources (postes clients légers sous Unix…). A noter que cela n’aura pas de conséquences préjudiciables pour l’entreprise qui bénéficiera d’un outil opérationnel et comparable à un système traditionnel tournant par exemple sous vista. En revanche, l’entreprise pourra réduire entre 40 % et 600 % sa consommation énergétique et donc réaliser des économies significatives.
La green IT qui, n’en doutons pas, continuera de se développer va donc fortement promouvoir les solutions de virtualisation et susciter des vocations. Il faut également anticiper le retard pris par certains pays et entreprises notamment en Europe qui devraient rapidement prendre le train en marche et se hisser au même niveau que les précurseurs de cette tendance.
Il est donc évident que la virtualisation ne s ‘inscrit pas dans un phénomène de mode mais plutôt dans un schéma de long terme porté par des valeurs de pragmatisme et de rentabilité. Un signal intéressant est par exemple le fort engouement des PME pour ce type de technologies. La virtualisation sous toutes ses formes devraient donc encore occuper beaucoup d’espace .
expliquent largement le développement historique des technologies de virtualisation.
En effet, avec comme principales vertus un retour sur investissement à court terme et une approche résolument en adéquation avec les enjeux liés à la rationalisation du SI, la virtualisation intéresse désormais le top management de l’entreprise. Notons également qu’au travers de la virtualisation, les entreprises peuvent accéder à d’autres bénéfices complémentaires, ce qui explique la croissance du nombre de projets lancés.
Il est désormais de mise de constater que plus de 7 projets sur 10 intègrent une dimension liée à la virtualisation.
Cette tendance devrait continuer de croître sur les prochaines années.
Ainsi, une étude d’IDC évalue à plus de 15 milliards de dollars le CA des solutions de virtualisation de serveurs d'ici à 2009. Au travers de cette donnée l’on comprend donc parfaitement que les projets intégrant la virtualisation se positionnent désormais parmi les priorités des Directions des systèmes d’information. Synonyme d’optimisation des ressources d'un parc de machines, de simplicité des processus de migration, d’économie sur le matériel par mutualisation mais aussi de diminution des risques liés au dimensionnement des serveurs, l’essor de la virtualisation s’explique également par l’avènement de l’informatique verte, la « green IT », qui devient un axe de développement citoyen pour les entreprises.
En ce sens, la virtualisation est une réponse adaptée. En effet, grâce à elle il est par exemple possible de rationaliser son parc informatique en équipant ses collaborateurs de stations de travail moins consommatrices de ressources (postes clients légers sous Unix…). A noter que cela n’aura pas de conséquences préjudiciables pour l’entreprise qui bénéficiera d’un outil opérationnel et comparable à un système traditionnel tournant par exemple sous vista. En revanche, l’entreprise pourra réduire entre 40 % et 600 % sa consommation énergétique et donc réaliser des économies significatives.
La green IT qui, n’en doutons pas, continuera de se développer va donc fortement promouvoir les solutions de virtualisation et susciter des vocations. Il faut également anticiper le retard pris par certains pays et entreprises notamment en Europe qui devraient rapidement prendre le train en marche et se hisser au même niveau que les précurseurs de cette tendance.
Il est donc évident que la virtualisation ne s ‘inscrit pas dans un phénomène de mode mais plutôt dans un schéma de long terme porté par des valeurs de pragmatisme et de rentabilité. Un signal intéressant est par exemple le fort engouement des PME pour ce type de technologies. La virtualisation sous toutes ses formes devraient donc encore occuper beaucoup d’espace .
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