La taxonomie verte, nouvel enjeu pour les directions financières ?
Si en entreprise, la Direction RSE a souvent eu une chasse gardée sur la question, la finance est fortement sollicitée à présent.
La taxonomie va dans ce sens. C’est la volonté de dire que la finance doit aussi se focaliser sur les problèmes environnementaux à travers des indicateurs et critères précis, standards et admis par tous.
La taxonomie est, ainsi, un système de classification mis en place par l’Union Européenne, des activités économiques ayant un impact favorable sur l'environnement. Elle a pour objectif la réorientation des flux financiers et se base pour cela sur 6 objectifs avec des critères d’éligibilité et d’alignement établis par un groupe d’experts . Ces éléments sont précisés dans la règlementation Taxonomie européenne EU 2020/852, Annexes et Actes délégués pour 2 des 6 objectifs ; les 4 autres étant attendus pour 2023. A date, pour les entreprises déclarant la DPEF, la première échéance sur les critères d’éligibilité et d’alignement est 2023 portant sur les résultats de 2022. Pour les autres, ce sera à partir de 2024 sur les résultats de 2023. Tous les secteurs d’activités sont concernés et aussi bien les activités financières que non financières.
Pour l’instant, nul ne peut affirmer que la Taxonomie permettra de le faire efficacement mais elle œuvre dans ce sens.
Comment mettre en place la Taxonomie en entreprise ?
Une fois que ce constat a été fait. La question suivante est : comment s’organise-t-on concrètement ? Concernant les entreprises non financières, si publier 3 KPIs - CA, CAPEX et OPEX verts - peut paraitre simple ; pour des entreprises novices en la matière et même les grands groupes, il est légitime de se demander comment intégrer cela dans les reportings et le SI existants. Faut-il se doter d’un nouvel outil, travailler avec Excel ou rester sur les outils existants ?
L’enjeu pour l’entreprise est de récupérer des données de systèmes qui peuvent être différents, les compiler, les retraiter et les interpréter.
Ceci selon, pour l’instant, 2 objectifs, 13 secteurs et une centaine d’activités pour chaque entité. Imaginez le nombre de combinaisons qu’il faut et les risques d’erreur possible…
Il est donc important de disposer d’un outil évolutif, capable de gérer une volumétrie importante et de s’adapter aux évolutions de la règlementation tout en historisant les données pour pouvoir les comparer.
Une autre possibilité consiste à redéfinir un découpage analytique des indicateurs. Mais sachant que le temps est compté, il faut dans un premier temps collecter les données et réaliser ce travail dans un outil facilitateur en attendant le travail titanesque et méticuleux sur la comptabilité. Cet outil doit pouvoir s’intégrer à l’environnement SI existant et permettre de sortir le rapport Taxonomie rapidement.
Au-delà de cet objectif opérationnel, il faut voir plus loin et de la manière des autres indicateurs financiers pouvoir établir une trajectoire, élaborer un prévisionnel et suivre les évolutions avec plusieurs versions et auditabilité en temps réel. Ce qui n’est pas choses aisées dans un tableur type Excel. On se rapproche clairement peu à peu des solutions EPM.
Taxonomy Insight la proposition de KShuttle pour vous accompagner
Partant de cette analyse, KShuttle a travaillé sur la solution Taxonomy Insight qui réunit tous les atouts de l’EPM augmenté tout en étant évolutif face à une règlementation non figée.
Ainsi Taxonomy Insight vous facilitera le suivi de la règlementation, l’accompagnement pas à pas des utilisateurs, le suivi du réalisé, la prévision avec un workflow, une GED (pour justifier) et des dashboards et graphs. Mais également in fine, un rapport taxonomie conforme à la règlementation avec la possibilité d’exporter vers les outils de publication (Disclosure)
Adama Bayo-Moulinet, Advisory Senior Manager, kShuttle
Si en entreprise, la Direction RSE a souvent eu une chasse gardée sur la question, la finance est fortement sollicitée à présent.
La taxonomie va dans ce sens. C’est la volonté de dire que la finance doit aussi se focaliser sur les problèmes environnementaux à travers des indicateurs et critères précis, standards et admis par tous.
La taxonomie est, ainsi, un système de classification mis en place par l’Union Européenne, des activités économiques ayant un impact favorable sur l'environnement. Elle a pour objectif la réorientation des flux financiers et se base pour cela sur 6 objectifs avec des critères d’éligibilité et d’alignement établis par un groupe d’experts . Ces éléments sont précisés dans la règlementation Taxonomie européenne EU 2020/852, Annexes et Actes délégués pour 2 des 6 objectifs ; les 4 autres étant attendus pour 2023. A date, pour les entreprises déclarant la DPEF, la première échéance sur les critères d’éligibilité et d’alignement est 2023 portant sur les résultats de 2022. Pour les autres, ce sera à partir de 2024 sur les résultats de 2023. Tous les secteurs d’activités sont concernés et aussi bien les activités financières que non financières.
Pour l’instant, nul ne peut affirmer que la Taxonomie permettra de le faire efficacement mais elle œuvre dans ce sens.
Comment mettre en place la Taxonomie en entreprise ?
Une fois que ce constat a été fait. La question suivante est : comment s’organise-t-on concrètement ? Concernant les entreprises non financières, si publier 3 KPIs - CA, CAPEX et OPEX verts - peut paraitre simple ; pour des entreprises novices en la matière et même les grands groupes, il est légitime de se demander comment intégrer cela dans les reportings et le SI existants. Faut-il se doter d’un nouvel outil, travailler avec Excel ou rester sur les outils existants ?
L’enjeu pour l’entreprise est de récupérer des données de systèmes qui peuvent être différents, les compiler, les retraiter et les interpréter.
Ceci selon, pour l’instant, 2 objectifs, 13 secteurs et une centaine d’activités pour chaque entité. Imaginez le nombre de combinaisons qu’il faut et les risques d’erreur possible…
Il est donc important de disposer d’un outil évolutif, capable de gérer une volumétrie importante et de s’adapter aux évolutions de la règlementation tout en historisant les données pour pouvoir les comparer.
Une autre possibilité consiste à redéfinir un découpage analytique des indicateurs. Mais sachant que le temps est compté, il faut dans un premier temps collecter les données et réaliser ce travail dans un outil facilitateur en attendant le travail titanesque et méticuleux sur la comptabilité. Cet outil doit pouvoir s’intégrer à l’environnement SI existant et permettre de sortir le rapport Taxonomie rapidement.
Au-delà de cet objectif opérationnel, il faut voir plus loin et de la manière des autres indicateurs financiers pouvoir établir une trajectoire, élaborer un prévisionnel et suivre les évolutions avec plusieurs versions et auditabilité en temps réel. Ce qui n’est pas choses aisées dans un tableur type Excel. On se rapproche clairement peu à peu des solutions EPM.
Taxonomy Insight la proposition de KShuttle pour vous accompagner
Partant de cette analyse, KShuttle a travaillé sur la solution Taxonomy Insight qui réunit tous les atouts de l’EPM augmenté tout en étant évolutif face à une règlementation non figée.
Ainsi Taxonomy Insight vous facilitera le suivi de la règlementation, l’accompagnement pas à pas des utilisateurs, le suivi du réalisé, la prévision avec un workflow, une GED (pour justifier) et des dashboards et graphs. Mais également in fine, un rapport taxonomie conforme à la règlementation avec la possibilité d’exporter vers les outils de publication (Disclosure)
Adama Bayo-Moulinet, Advisory Senior Manager, kShuttle