Mais cela ne semble pas une tâche facile. Autant le club des utilisateurs Business Objects, déjà constitué depuis des années, représentait un interlocuteur avec qui l’USF a pu échanger, négocier, et finalement parvenir à son intégration au sein de l’USF ; autant il n’existait pas de club des utilisateurs Sybase. Et ne serait-ce que pour contacter les clients, l’USF est contraint de s’en remettre au bon vouloir de l’éditeur… Mais il semble que SAP ne soit pas particulièrement pressé de voir les utilisateurs Sybase grossir les rangs du club des utilisateurs SAP francophones. Peut-être tout simplement parce que les messages sur le futur des différents produits n’est pas limpide justement, et que l’éditeur évite ainsi qu’un groupe de pression ne se manifeste. L’USF a en effet par le passé montré à plusieurs reprises qu’il était capable de mobiliser ses membres et de taper du poing sur la table si nécessaire.
A l’occasion du Printemps de l’USF qui se tient à Paris le 19 mars prochain, l’USF aurait aimé organiser un atelier sur les nouvelles bases de données décisionnelles et faire intervenir un client SAP HANA et un client Sybase IQ, ainsi qu’un responsable SAP. L’atelier ne se tiendra pas, faute d’intervenants. Il semble que le seul client SAP HANA en France, le groupe Vinci, ne soit pas « représentatif » de ce que SAP aimerait montrer. Quant aux clients Sybase IQ, SAP dit les avoir contactés, mais l’USF n’a eu aucun retour… SAP n’est manifestement pas intéressé à aborder le sujet.
Intéressant d’ailleurs de constater que pour l’instant, malgré le bruit médiatique fait par SAP autour de HANA, et malgré l’intérêt certain du produit, les entreprises françaises ne se bousculeraient pas. Si Vinci est bien le seul client HANA en production, il l’utiliserait en mode « sidecar » pour y répliquer des données en provenance de Oracle. Ce mode « sidecar » consiste à déployer SAP HANA sans toucher aux entrepôts de données existants, et simplement de répliquer dans HANA les tables que l’on souhaite analyser. Un système supplémentaire donc, qui ne remet pas en question les architectures précédemment installées.
L’USF lance donc directement un appel aux clients Sybase, afin qu’ils découvrent les travaux de l’association et forment par exemple un groupe de travail au sein de la commission bases de données de l’USF. La prochaine édition du Printemps de l’USF pourrait ainsi être une occasion pour les clients Sybase, qui y sont les bienvenus, de découvrir l’association. Ils peuvent également contacter directement Cristina PISICA qui organise les travaux de cette commission.
Quant au sujet sur l’évolution des produits Sybase, dont Sybase IQ, et l’éternelle question de la place de cette base de données en colonnes face à SAP HANA, il ne sera pas abordé à cette édition du Printemps de l’USF. SAP est parvenu à retarder le questionnement des clients, mais le sujet reviendra forcément plus tard sur la table des discussions.
A l’occasion du Printemps de l’USF qui se tient à Paris le 19 mars prochain, l’USF aurait aimé organiser un atelier sur les nouvelles bases de données décisionnelles et faire intervenir un client SAP HANA et un client Sybase IQ, ainsi qu’un responsable SAP. L’atelier ne se tiendra pas, faute d’intervenants. Il semble que le seul client SAP HANA en France, le groupe Vinci, ne soit pas « représentatif » de ce que SAP aimerait montrer. Quant aux clients Sybase IQ, SAP dit les avoir contactés, mais l’USF n’a eu aucun retour… SAP n’est manifestement pas intéressé à aborder le sujet.
Intéressant d’ailleurs de constater que pour l’instant, malgré le bruit médiatique fait par SAP autour de HANA, et malgré l’intérêt certain du produit, les entreprises françaises ne se bousculeraient pas. Si Vinci est bien le seul client HANA en production, il l’utiliserait en mode « sidecar » pour y répliquer des données en provenance de Oracle. Ce mode « sidecar » consiste à déployer SAP HANA sans toucher aux entrepôts de données existants, et simplement de répliquer dans HANA les tables que l’on souhaite analyser. Un système supplémentaire donc, qui ne remet pas en question les architectures précédemment installées.
L’USF lance donc directement un appel aux clients Sybase, afin qu’ils découvrent les travaux de l’association et forment par exemple un groupe de travail au sein de la commission bases de données de l’USF. La prochaine édition du Printemps de l’USF pourrait ainsi être une occasion pour les clients Sybase, qui y sont les bienvenus, de découvrir l’association. Ils peuvent également contacter directement Cristina PISICA qui organise les travaux de cette commission.
Quant au sujet sur l’évolution des produits Sybase, dont Sybase IQ, et l’éternelle question de la place de cette base de données en colonnes face à SAP HANA, il ne sera pas abordé à cette édition du Printemps de l’USF. SAP est parvenu à retarder le questionnement des clients, mais le sujet reviendra forcément plus tard sur la table des discussions.
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