Si l'intelligence artificielle est déjà utilisée par les professionnels du secteur financier, les cabinets juridiques n’ont commencé que récemment à investir dans des technologies disruptives. Leur premier objectif est avant tout d’accélérer les processus afin de remplacer de longues heures d'analyse documentaire par des processus intelligents et automatisés.
Il s’agit d’une révolution pour les professionnels du conseil juridique puisqu’ils doivent, notamment dans le cas de transactions importantes, examiner plusieurs milliers de documents. Selon Drooms, premier fournisseur européen de datarooms virtuelles, les cabinets d'avocats français pourraient améliorer leur productivité de 50 % s'ils utilisaient les technologies d'intelligence artificielle (IA) dont ils disposent actuellement. Pour autant, ils se montrent encore sceptiques et sont parfois peu enclins à adopter ces nouvelles méthodes.
L'intelligence artificielle est génératrice de valeur mais les professionnels hésitent encore
« Les professionnels du secteur juridique ne sont pas des ‘early adopters’. Il s’agit d’un marché traditionnellement conservateur qui, à quelques exceptions près, est resté largement inchangé pendant des décennies. L'un des plus grands obstacles à une adoption de la technologie de l'IA est le scepticisme généralisé de l'industrie qui, ironiquement, est celle dont les besoins sont aujourd’hui parmi les plus importants », commente Alexandre Grellier, PDG et co-fondateur de Drooms.
Pour autant, selon les dernières études** menées auprès des clients de Drooms (avocats, juristes, analystes, banquiers, etc.), plus de la moitié d’entre eux (52 %) ont déclaré que l'IA allait transformer complètement leurs processus de travail tandis que seuls 23 % pensent qu'elle aura peu ou pas d'impact dans leur domaine. Par ailleurs, 72 % des sondés estiment que ces nouvelles technologies, comme la solution Findings Manager de Drooms, accélèrent le processus de diligence raisonnable ; parmi ceux-ci, un sur dix (10 %) déclare qu'elles réduisent le temps nécessaire à la réalisation d’une due diligence d'au moins 75 %.
Seules 20 % des données exploitables par les entreprises sont dites “structurées”. Les 80 % restants sont des données non-structurées regroupant pêle-mêle des e-mails, des posts sur les réseaux sociaux, des documents aux formats texte, image ou audio. Structurer ces données, difficiles à analyser par les ordinateurs, signifie les rendre rapidement interprétables pour ceux qui doivent les interpréter.
L’enjeu est de faire gagner un temps considérable – et donc de substantielles économies – aux cabinets juridiques qui doivent traiter les vastes volumes de données téléchargés dans des datarooms.
L’accélération des processus de travail et une meilleure évaluation des risques et des opportunités des transactions avec le Findings Manager de Drooms
Drooms a fait évoluer l’ensemble de ses solutions pour proposer à ses utilisateurs une expérience de due diligence intelligente et automatisée. Fruit de plusieurs mois d'étude et de collaboration avec des experts juridiques internationaux, Drooms a défini les bases d'une dataroom optimisée et dotée d’intelligence grâce à ses technologies d'auto-apprentissage.
« Findings Manager permet de remplacer les analyses manuelles par les méthodes automatisées et apprenantes de l'intelligence artificielle. Notre solution est capable d’analyser le contenu des documents et d’évaluer, de façon autonome, les risques et opportunités présentes au sein des transactions ainsi que de permettre l’intégration d’une estimation financière », explique Alexandre Grellier. « Avec Findings Manager, nous proposons de remplacer des tâches manuelles chronophages, telles que la lecture et le classement des documents nécessaires aux procédures, par des processus automatisés et auto-apprenants afin de laisser les analystes, les avocats ou encore les juristes, se concentrer sur des opérations plus stratégiques ou à plus forte valeur ajoutée », conclut Alexandre Grellier.
*Etude menée par Drooms auprès de 1100 clients en avril 2018
** Etudes réalisées en avril 2018, auprès de 1100 clients, et en octobre 2017, auprès de 274 clients
Il s’agit d’une révolution pour les professionnels du conseil juridique puisqu’ils doivent, notamment dans le cas de transactions importantes, examiner plusieurs milliers de documents. Selon Drooms, premier fournisseur européen de datarooms virtuelles, les cabinets d'avocats français pourraient améliorer leur productivité de 50 % s'ils utilisaient les technologies d'intelligence artificielle (IA) dont ils disposent actuellement. Pour autant, ils se montrent encore sceptiques et sont parfois peu enclins à adopter ces nouvelles méthodes.
L'intelligence artificielle est génératrice de valeur mais les professionnels hésitent encore
« Les professionnels du secteur juridique ne sont pas des ‘early adopters’. Il s’agit d’un marché traditionnellement conservateur qui, à quelques exceptions près, est resté largement inchangé pendant des décennies. L'un des plus grands obstacles à une adoption de la technologie de l'IA est le scepticisme généralisé de l'industrie qui, ironiquement, est celle dont les besoins sont aujourd’hui parmi les plus importants », commente Alexandre Grellier, PDG et co-fondateur de Drooms.
Pour autant, selon les dernières études** menées auprès des clients de Drooms (avocats, juristes, analystes, banquiers, etc.), plus de la moitié d’entre eux (52 %) ont déclaré que l'IA allait transformer complètement leurs processus de travail tandis que seuls 23 % pensent qu'elle aura peu ou pas d'impact dans leur domaine. Par ailleurs, 72 % des sondés estiment que ces nouvelles technologies, comme la solution Findings Manager de Drooms, accélèrent le processus de diligence raisonnable ; parmi ceux-ci, un sur dix (10 %) déclare qu'elles réduisent le temps nécessaire à la réalisation d’une due diligence d'au moins 75 %.
Seules 20 % des données exploitables par les entreprises sont dites “structurées”. Les 80 % restants sont des données non-structurées regroupant pêle-mêle des e-mails, des posts sur les réseaux sociaux, des documents aux formats texte, image ou audio. Structurer ces données, difficiles à analyser par les ordinateurs, signifie les rendre rapidement interprétables pour ceux qui doivent les interpréter.
L’enjeu est de faire gagner un temps considérable – et donc de substantielles économies – aux cabinets juridiques qui doivent traiter les vastes volumes de données téléchargés dans des datarooms.
L’accélération des processus de travail et une meilleure évaluation des risques et des opportunités des transactions avec le Findings Manager de Drooms
Drooms a fait évoluer l’ensemble de ses solutions pour proposer à ses utilisateurs une expérience de due diligence intelligente et automatisée. Fruit de plusieurs mois d'étude et de collaboration avec des experts juridiques internationaux, Drooms a défini les bases d'une dataroom optimisée et dotée d’intelligence grâce à ses technologies d'auto-apprentissage.
« Findings Manager permet de remplacer les analyses manuelles par les méthodes automatisées et apprenantes de l'intelligence artificielle. Notre solution est capable d’analyser le contenu des documents et d’évaluer, de façon autonome, les risques et opportunités présentes au sein des transactions ainsi que de permettre l’intégration d’une estimation financière », explique Alexandre Grellier. « Avec Findings Manager, nous proposons de remplacer des tâches manuelles chronophages, telles que la lecture et le classement des documents nécessaires aux procédures, par des processus automatisés et auto-apprenants afin de laisser les analystes, les avocats ou encore les juristes, se concentrer sur des opérations plus stratégiques ou à plus forte valeur ajoutée », conclut Alexandre Grellier.
*Etude menée par Drooms auprès de 1100 clients en avril 2018
** Etudes réalisées en avril 2018, auprès de 1100 clients, et en octobre 2017, auprès de 274 clients
Autres articles
-
Transformer l'abondance de données en avantage stratégique : un défi incontournable pour les DAF
-
Lucanet intègre l’IA générative à ses solutions et révolutionne la gestion des processus complexes pour les directions financières
-
Board simplifie la vie des directions financières avec une solution qui réduit de 75% les délais de clôture
-
OneStream Software réinvente et renforce le rôle du CFO grâce à sa nouvelle solution Narrative Reporting
-
Pigment annonce une série D de 145 millions de dollars menée par ICONIQ Growth