Pourtant, ce potentiel reste largement sous-exploité : trop souvent, les entreprises se noient dans la quantité sans parvenir à en extraire la qualité. En France, 67 % des DAF confient avoir des difficultés à prioriser la croissance de l’entreprise en raison de cette surcharge d’informations. Mais comment les entreprises peuvent-elles réellement convertir cette abondance de données en un avantage stratégique durable ?
1. Les DAF, gardiens des données unifiées
D’ici 2035, les DAF joueront un rôle clé dans la capacité des entreprises à exploiter pleinement le potentiel des données pour façonner leur stratégie. Leur responsabilité ne se limite plus à la gestion financière traditionnelle, mais s’étend à l’intégration des données financières et opérationnelles pour orienter la prise de décision. En réunissant ces informations, les DAF permettent aux entreprises de mieux anticiper les tendances, d’identifier des leviers de croissance insoupçonnés et de s’adapter rapidement à un environnement économique de plus en plus complexe et changeant.
Selon l’étude OneStream, « Finance 2035 : Return to Investment », 73 % des dirigeants français et 74 % à l’échelle mondiale estiment que des décisions basées sur des données unifiées sont essentielles pour stimuler la croissance. Mais collecter des données ne suffit pas. Les DAF doivent aller plus loin, en interprétant ces informations pour révéler des risques invisibles, identifier des opportunités inédites et soutenir des stratégies de croissance ambitieuses. En jouant ce rôle, ils transforment des volumes de données complexes en un levier essentiel pour la compétitivité.
2. Faire des données un levier d’investissement
Les données ne sont plus seulement un actif : elles sont un moteur de différenciation stratégique. En France, 72 % des investisseurs considèrent les DAF comme des catalyseurs de croissance, notamment grâce à leur capacité à transformer des flux de données complexes en insights exploitables. Cette compétence se classe au deuxième rang des critères d’investissement, devant celle des PDG, qui n’arrivent qu’en sixième position.
De plus, 87 % des investisseurs français estiment qu’un DAF doit aller au-delà des simples indicateurs financiers pour mesurer des aspects plus larges de la performance, comme la durabilité ou l’impact stratégique. Cela reflète une attente croissante envers une exploitation plus holistique des données, couvrant des dimensions à la fois financières, environnementales et sociales.
3. Technologies et collaboration : des accélérateurs indispensables
Malgré leur potentiel, les DAF font face à des défis technologiques et organisationnels qui freinent l’exploitation optimale des données. En France, 77 % des DAF signalent des limitations liées aux systèmes hérités, et 69 % déplorent une collaboration interfonctionnelle insuffisante. Investir dans des solutions technologiques avancées, comme les plateformes de gestion des données unifiées, et promouvoir une culture de collaboration sont essentiels pour libérer la puissance stratégique des données.
En tirant parti des nouvelles technologies pour structurer et analyser les données, les DAF peuvent guider leurs entreprises vers des décisions éclairées, réduire les incertitudes et maximiser les opportunités sur des marchés de plus en plus complexes.
Une révolution stratégique
La transformation des données en un avantage stratégique n’est pas une simple évolution technologique ; c’est une véritable révolution des modes de gouvernance et de gestion. Les DAF sont au cœur de cette révolution, capables de transcender la masse d’informations pour en extraire des leviers de croissance concrets. Cependant, pour relever ce défi, ils devront surmonter des obstacles technologiques et organisationnels, tout en adoptant une vision globale qui intègre toutes les dimensions de la performance.
OneStream a collaboré avec Man Bites Dog pour concevoir et mener une enquête mondiale auprès de 1 500 dirigeants d'entreprise, issus de grandes organisations et d’entreprises de taille intermédiaire (avec un chiffre d'affaires annuel minimum de 500 millions de dollars USD et au moins 1 000 employés).
Le panel se composait de 1 000 DAF, 250 PDG et 250 responsables de lignes de métier, dont des responsables des opérations, des achats, des ventes, des finances, du service client et des chefs régionaux. Nous avons également interrogé 500 investisseurs, dont les actifs sous gestion (AUM) variaient entre 10 milliards et plus de 3 000 milliards USD.
L'étude a été conçue pour inclure des échantillons statistiquement représentatifs des pays et secteurs cibles de OneStream. Les participants étaient issus des pays suivants : Australie, France, Allemagne, Singapour, Royaume-Uni et États-Unis, et représentaient divers secteurs : services financiers, industrie manufacturière, santé (pharmaceutiques et technologies de la santé), secteur public, ainsi que le retail et la consommation.
Les sondages ont été réalisés en 2024 par la société de recherche Coleman Parkes. Les données de l'enquête ont été complétées par des entretiens approfondis avec des DAF et des dirigeants d'entreprise.
1. Les DAF, gardiens des données unifiées
D’ici 2035, les DAF joueront un rôle clé dans la capacité des entreprises à exploiter pleinement le potentiel des données pour façonner leur stratégie. Leur responsabilité ne se limite plus à la gestion financière traditionnelle, mais s’étend à l’intégration des données financières et opérationnelles pour orienter la prise de décision. En réunissant ces informations, les DAF permettent aux entreprises de mieux anticiper les tendances, d’identifier des leviers de croissance insoupçonnés et de s’adapter rapidement à un environnement économique de plus en plus complexe et changeant.
Selon l’étude OneStream, « Finance 2035 : Return to Investment », 73 % des dirigeants français et 74 % à l’échelle mondiale estiment que des décisions basées sur des données unifiées sont essentielles pour stimuler la croissance. Mais collecter des données ne suffit pas. Les DAF doivent aller plus loin, en interprétant ces informations pour révéler des risques invisibles, identifier des opportunités inédites et soutenir des stratégies de croissance ambitieuses. En jouant ce rôle, ils transforment des volumes de données complexes en un levier essentiel pour la compétitivité.
2. Faire des données un levier d’investissement
Les données ne sont plus seulement un actif : elles sont un moteur de différenciation stratégique. En France, 72 % des investisseurs considèrent les DAF comme des catalyseurs de croissance, notamment grâce à leur capacité à transformer des flux de données complexes en insights exploitables. Cette compétence se classe au deuxième rang des critères d’investissement, devant celle des PDG, qui n’arrivent qu’en sixième position.
De plus, 87 % des investisseurs français estiment qu’un DAF doit aller au-delà des simples indicateurs financiers pour mesurer des aspects plus larges de la performance, comme la durabilité ou l’impact stratégique. Cela reflète une attente croissante envers une exploitation plus holistique des données, couvrant des dimensions à la fois financières, environnementales et sociales.
3. Technologies et collaboration : des accélérateurs indispensables
Malgré leur potentiel, les DAF font face à des défis technologiques et organisationnels qui freinent l’exploitation optimale des données. En France, 77 % des DAF signalent des limitations liées aux systèmes hérités, et 69 % déplorent une collaboration interfonctionnelle insuffisante. Investir dans des solutions technologiques avancées, comme les plateformes de gestion des données unifiées, et promouvoir une culture de collaboration sont essentiels pour libérer la puissance stratégique des données.
En tirant parti des nouvelles technologies pour structurer et analyser les données, les DAF peuvent guider leurs entreprises vers des décisions éclairées, réduire les incertitudes et maximiser les opportunités sur des marchés de plus en plus complexes.
Une révolution stratégique
La transformation des données en un avantage stratégique n’est pas une simple évolution technologique ; c’est une véritable révolution des modes de gouvernance et de gestion. Les DAF sont au cœur de cette révolution, capables de transcender la masse d’informations pour en extraire des leviers de croissance concrets. Cependant, pour relever ce défi, ils devront surmonter des obstacles technologiques et organisationnels, tout en adoptant une vision globale qui intègre toutes les dimensions de la performance.
OneStream a collaboré avec Man Bites Dog pour concevoir et mener une enquête mondiale auprès de 1 500 dirigeants d'entreprise, issus de grandes organisations et d’entreprises de taille intermédiaire (avec un chiffre d'affaires annuel minimum de 500 millions de dollars USD et au moins 1 000 employés).
Le panel se composait de 1 000 DAF, 250 PDG et 250 responsables de lignes de métier, dont des responsables des opérations, des achats, des ventes, des finances, du service client et des chefs régionaux. Nous avons également interrogé 500 investisseurs, dont les actifs sous gestion (AUM) variaient entre 10 milliards et plus de 3 000 milliards USD.
L'étude a été conçue pour inclure des échantillons statistiquement représentatifs des pays et secteurs cibles de OneStream. Les participants étaient issus des pays suivants : Australie, France, Allemagne, Singapour, Royaume-Uni et États-Unis, et représentaient divers secteurs : services financiers, industrie manufacturière, santé (pharmaceutiques et technologies de la santé), secteur public, ainsi que le retail et la consommation.
Les sondages ont été réalisés en 2024 par la société de recherche Coleman Parkes. Les données de l'enquête ont été complétées par des entretiens approfondis avec des DAF et des dirigeants d'entreprise.
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