Un vaste projet : mailler étroitement des silos de données internes et moissonner des informations en Open Data
ELECTRE est connu pour sa base de données bibliographiques. Son site web electre.com est au service de 10.000 utilisateurs qui réalisent 2 millions de requêtes chaque jour et ont accès aux informations sur 1.400.000 ouvrages, 450.000 auteurs et 17.000 marques et sociétés. Electre publie aussi le magazine professionnel de l’industrie du livre, Livre Hebdo, prolongé par le site www.livreshebdo.fr qui contient 250.000 objets rédactionnels de 15 types différents.
ELECTRE s’est trouvée confrontée à un double enjeu. Le premier portait sur l’interopérabilité des données, avec l’objectif d’ouvrir les données internes en décloisonnant les silos de données existants et de capter des données externes, notamment en moissonnant les contenus et données ouvertes de Wikipédia / DBpedia. Le second enjeu était d’urbaniser le système d’Information en créant un infocentre ou datawarehouse de nouvelle génération, sans toucher en quoi que ce soit aux applications métier et à leurs silos de données.
Retenu pour son ouverture et son évolutivité, Antidot Information Factory a permis à ELECTRE de mettre en œuvre de multiples chaînes de traitement qui captent les contenus issus des différents silos, les relient étroitement et les enrichissent avec les données disponibles sur Wikipédia, selon le référentiel ELECTRE. Les informations métier ainsi produites sont réutilisables par l’ensemble des applications du système d’information, via un entrepôt RDF :
« Nous avons cherché des solutions parmi les outils traditionnels, mais rien ne nous a semblé vraiment adapté. » Pierre Boudigues, directeur Projets et SI à ELECTRE. « Ce qui nous a séduits dans Antidot Information Factory c'est l’agilité de cette solution. Le potentiel d’enrichissement par agrégation de données internes ou en open data est réel, et la mise à disposition des contenus est rapide et simple. Nous disposons maintenant d’une infrastructure informationnelle qui nous donne toute latitude d’imaginer de nouvelles offres services finement adaptées aux attentes de nos clients. »
Pierre Col, directeur marketing d’Antidot, précise : « Extrêmement versatile, Antidot Information Factory ne nécessite aucune connaissance en programmation : des gens du métier, sans compétence en développement informatique, peuvent assembler des chaînes de traitements puissantes et évolutives. Du coup, AIF est très efficace pour répondre rapidement à une demande d’une direction métier en agrégeant quelques sources de données. Au-delà, AIF se prête aussi aux projets d’infrastructure, notamment dans l’approche Linked Enterprise Data : il permet de mettre en œuvre et d’exploiter industriellement des chaînes de traitement complexes produisant des données enrichies au service des grands projets IT de l’entreprise. Nos clients en témoignent : avec AIF ils se concentrent sur la valeur de leurs données et gagnent en agilité. Ils réutilisent l’ensemble des données et documents existants dans leur S.I., quels qu’en soient la structure et le format, et ils peuvent les lier à d’autres données disponibles sur des sites web, dans les réseaux sociaux, ou en Open Data dans le web de données. »
ELECTRE est connu pour sa base de données bibliographiques. Son site web electre.com est au service de 10.000 utilisateurs qui réalisent 2 millions de requêtes chaque jour et ont accès aux informations sur 1.400.000 ouvrages, 450.000 auteurs et 17.000 marques et sociétés. Electre publie aussi le magazine professionnel de l’industrie du livre, Livre Hebdo, prolongé par le site www.livreshebdo.fr qui contient 250.000 objets rédactionnels de 15 types différents.
ELECTRE s’est trouvée confrontée à un double enjeu. Le premier portait sur l’interopérabilité des données, avec l’objectif d’ouvrir les données internes en décloisonnant les silos de données existants et de capter des données externes, notamment en moissonnant les contenus et données ouvertes de Wikipédia / DBpedia. Le second enjeu était d’urbaniser le système d’Information en créant un infocentre ou datawarehouse de nouvelle génération, sans toucher en quoi que ce soit aux applications métier et à leurs silos de données.
Retenu pour son ouverture et son évolutivité, Antidot Information Factory a permis à ELECTRE de mettre en œuvre de multiples chaînes de traitement qui captent les contenus issus des différents silos, les relient étroitement et les enrichissent avec les données disponibles sur Wikipédia, selon le référentiel ELECTRE. Les informations métier ainsi produites sont réutilisables par l’ensemble des applications du système d’information, via un entrepôt RDF :
« Nous avons cherché des solutions parmi les outils traditionnels, mais rien ne nous a semblé vraiment adapté. » Pierre Boudigues, directeur Projets et SI à ELECTRE. « Ce qui nous a séduits dans Antidot Information Factory c'est l’agilité de cette solution. Le potentiel d’enrichissement par agrégation de données internes ou en open data est réel, et la mise à disposition des contenus est rapide et simple. Nous disposons maintenant d’une infrastructure informationnelle qui nous donne toute latitude d’imaginer de nouvelles offres services finement adaptées aux attentes de nos clients. »
Pierre Col, directeur marketing d’Antidot, précise : « Extrêmement versatile, Antidot Information Factory ne nécessite aucune connaissance en programmation : des gens du métier, sans compétence en développement informatique, peuvent assembler des chaînes de traitements puissantes et évolutives. Du coup, AIF est très efficace pour répondre rapidement à une demande d’une direction métier en agrégeant quelques sources de données. Au-delà, AIF se prête aussi aux projets d’infrastructure, notamment dans l’approche Linked Enterprise Data : il permet de mettre en œuvre et d’exploiter industriellement des chaînes de traitement complexes produisant des données enrichies au service des grands projets IT de l’entreprise. Nos clients en témoignent : avec AIF ils se concentrent sur la valeur de leurs données et gagnent en agilité. Ils réutilisent l’ensemble des données et documents existants dans leur S.I., quels qu’en soient la structure et le format, et ils peuvent les lier à d’autres données disponibles sur des sites web, dans les réseaux sociaux, ou en Open Data dans le web de données. »