©Alexandre Schlub
Digora, l’expert de la gestion de données, collabore avec la HEAR dans le cadre de Data Textile, un projet artistique s’inscrivant dans le cursus de formation de l’école. Les experts Digora ont laissé carte blanche aux élèves pour exploiter des données issues de ruches connectées par Tech4Gaia. Sensibilisation aux notions de data et passerelles entre les univers sont à l’œuvre.
Rendre la donnée tangible
Digora observe en général que la donnée reste, dans les esprits, un concept, une dématérialisation du travail réalisé, le témoin purement numérique d’une activité. De même, beaucoup de directeurs des systèmes d’information reconnaissent que le dialogue avec les collaborateurs se heurte à des incompréhensions et qu’il est bien difficile de donner une idée précise du phénomène data.
C’est pourtant très utile. Les métiers (tous les services supports et toutes les fonctions de production) sont à l’origine de milliers de données. Pour apporter leur pierre à l’édifice, ils doivent en connaître la valeur et le rôle, comprendre ce qu’ils peuvent en faire.
Fort de ce constat, Gilles Knoery, président de Digora, entame en 2021 un partenariat avec la Haute école des arts du Rhin Mulhouse – Strasbourg (HEAR), convaincu que les arts visuels peuvent matérialiser des concepts complexes à saisir, leur donner du corps et d’une manière ou d’une autre, les rendre accessibles et exploitables.
La data aux mains des artistes
Un premier projet voit le jour en début d’année 2022. Data Visions propose de dépasser les très classiques interfaces de visualisation d’entreprise au profit de narrations illustrées, de bandes dessinées, d’illustrations documentées, de pictos interactifs, etc. Data Textile, débuté en septembre 2022, poursuit cette recherche de matérialité et va plus loin.
En présence de 3 collaborateurs de Digora, Valerie Glaentzlin, responsable marketing opérationnel, Pierre Sallerin, business analyst, Pierre Riff, consultant et de Farid Maniani, cofondateur et Président de Tech4Gaia, les élèves de la HEAR ont découvert les métiers de la data science et leurs enjeux opérationnels. Ils ont ensuite reçu plusieurs jeux de données, collectés notamment dans les ruches connectées de Tech4Gaia et hébergées chez Digora.
« Cette carte blanche donnée aux élèves de la HEAR avait pour but d’approcher de nouvelles formes de valorisation de la donnée. Mais nous n’avions à ce moment aucune idée préconçue du résultat » commente Gilles Knoery.
Croiser les univers comme les données
Les élèves percevaient de prime abord la donnée comme froide et sans finalité perceptible. La restitution du 3 janvier 2023 a montré combien ce matériau a su prendre vie entre leurs doigts, à travers l’association de solutions numériques et de matières organiques.
« Toutes ces créations sont un exemple supplémentaire du résultat parfois surprenant, souvent utile et toujours fascinant auquel on peut aboutir, en entreprise en particulier, quand la donnée est exploitée et que des jeux de datas sont croisés » conclu Gilles Knoery.
Rendre la donnée tangible
Digora observe en général que la donnée reste, dans les esprits, un concept, une dématérialisation du travail réalisé, le témoin purement numérique d’une activité. De même, beaucoup de directeurs des systèmes d’information reconnaissent que le dialogue avec les collaborateurs se heurte à des incompréhensions et qu’il est bien difficile de donner une idée précise du phénomène data.
C’est pourtant très utile. Les métiers (tous les services supports et toutes les fonctions de production) sont à l’origine de milliers de données. Pour apporter leur pierre à l’édifice, ils doivent en connaître la valeur et le rôle, comprendre ce qu’ils peuvent en faire.
Fort de ce constat, Gilles Knoery, président de Digora, entame en 2021 un partenariat avec la Haute école des arts du Rhin Mulhouse – Strasbourg (HEAR), convaincu que les arts visuels peuvent matérialiser des concepts complexes à saisir, leur donner du corps et d’une manière ou d’une autre, les rendre accessibles et exploitables.
La data aux mains des artistes
Un premier projet voit le jour en début d’année 2022. Data Visions propose de dépasser les très classiques interfaces de visualisation d’entreprise au profit de narrations illustrées, de bandes dessinées, d’illustrations documentées, de pictos interactifs, etc. Data Textile, débuté en septembre 2022, poursuit cette recherche de matérialité et va plus loin.
En présence de 3 collaborateurs de Digora, Valerie Glaentzlin, responsable marketing opérationnel, Pierre Sallerin, business analyst, Pierre Riff, consultant et de Farid Maniani, cofondateur et Président de Tech4Gaia, les élèves de la HEAR ont découvert les métiers de la data science et leurs enjeux opérationnels. Ils ont ensuite reçu plusieurs jeux de données, collectés notamment dans les ruches connectées de Tech4Gaia et hébergées chez Digora.
« Cette carte blanche donnée aux élèves de la HEAR avait pour but d’approcher de nouvelles formes de valorisation de la donnée. Mais nous n’avions à ce moment aucune idée préconçue du résultat » commente Gilles Knoery.
Croiser les univers comme les données
Les élèves percevaient de prime abord la donnée comme froide et sans finalité perceptible. La restitution du 3 janvier 2023 a montré combien ce matériau a su prendre vie entre leurs doigts, à travers l’association de solutions numériques et de matières organiques.
« Toutes ces créations sont un exemple supplémentaire du résultat parfois surprenant, souvent utile et toujours fascinant auquel on peut aboutir, en entreprise en particulier, quand la donnée est exploitée et que des jeux de datas sont croisés » conclu Gilles Knoery.
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