D’après l’étude « The Workforce View in Europe 2018 » menée par ADP, les salariés européens sont sous pression. Celle-ci indique que « les employeurs européens montrent un manque d'intérêt flagrant pour la santé psychique de leurs collaborateurs » et en conséquence 18% des salariés européens affirment souffrir quotidiennement du stress au travail.
Ce stress quotidien crée une baisse de la productivité, de l’engagement et une augmentation de l’absentéisme ce qui impact directement l’employeur car ce syndrome engendre une perte de gain.
Un collaborateur atteint d’un burnout n’est pas en état de travailler et le temps de récupération est très long, entre neuf mois et deux ans, si tant est qu’il se rétablisse. De plus une fois rétabli le collaborateur peut faire une dépression ce qui rallonge sa période d’indisponibilité.
La prévention du burnout devrait donc être plus importante chez les entreprises car il a un impact fort. En Europe par exemple le coût annuel de la dépression liée au travail est estimé à 617 milliards d’euros et inclus les coûts supportés par les employeurs résultant de l’absentéisme et du présentéisme, c’est l’action de se rendre au travail alors que son état de santé empêche d’être pleinement productif (272 milliards d’euros), la perte de productivité (242 milliards), le coût des soins de santé (63 milliards) et le montant des prestations d’invalidité (39 milliards).
Malheureusement ce sont en général les meilleurs éléments d’une entreprise qui sont touchés par le burnout, ceux que l’on pourrait considérer comme indispensables.
Comment prévenir ce problème ?
Les questions suivantes permettent de faire un état des lieux de la maturité de votre organisation face à celui-ci :
• Sommes-nous capables de réduire les risques de la santé liés au travail ?
• Savons-nous si nos collaborateurs sont exposés au risque de faire un burnout ?
• Pouvons-nous réduire les risques de burnout au sein de l’entreprise ?
• Pouvons-nous avoir rapidement un état global et clair de la situation de l’entreprise ?
• Sommes-nous capables de quantifier le niveau de productivité de l’entreprise ?
• Pouvons-nous quantifier la perte de productivité ?
• Avons-nous un outil de pilotage commun au CEO, au responsable des ressources humaines et au responsable de la santé et sécurité au travail ?
Il faudrait pouvoir détecter les risques de façon précoce et agir à temps pour minimiser les impacts sur l’entreprise et les personnes. Il serait donc intéressant de disposer d’indicateurs en matière de santé comme par exemple : l’influence négative du stress sur la santé, le niveau de risque de harcèlement, le niveau de risque de faire un burnout, la perception du risque d’accident professionnel, etc.
Des solutions permettent d’ores et déjà de répondre à ces problématiques mais encore faut-il que les organisations se les approprient. En effet pour faire face aux changements soudains d’un environnement incertain, volatile, complexe et ambigu dans lequel elles se situent, les organisations humaines doivent pouvoir se recombiner rapidement et facilement. Pour cela elles devront améliorer leur réactivité et leur simplicité en utilisant des indicateurs comme ceux évoqués plus tôt, en prenant des mesures et surtout en effectuant un suivi de la tendance et des actions réalisées. Ne pas faire de suivi des actions mises en place peut réduire fortement leur efficacité, alors qu’avec un suivi nous pouvons dépasser les attentes, en ajustant les actions ou en les remplaçant par exemple.
Ce stress quotidien crée une baisse de la productivité, de l’engagement et une augmentation de l’absentéisme ce qui impact directement l’employeur car ce syndrome engendre une perte de gain.
Un collaborateur atteint d’un burnout n’est pas en état de travailler et le temps de récupération est très long, entre neuf mois et deux ans, si tant est qu’il se rétablisse. De plus une fois rétabli le collaborateur peut faire une dépression ce qui rallonge sa période d’indisponibilité.
La prévention du burnout devrait donc être plus importante chez les entreprises car il a un impact fort. En Europe par exemple le coût annuel de la dépression liée au travail est estimé à 617 milliards d’euros et inclus les coûts supportés par les employeurs résultant de l’absentéisme et du présentéisme, c’est l’action de se rendre au travail alors que son état de santé empêche d’être pleinement productif (272 milliards d’euros), la perte de productivité (242 milliards), le coût des soins de santé (63 milliards) et le montant des prestations d’invalidité (39 milliards).
Malheureusement ce sont en général les meilleurs éléments d’une entreprise qui sont touchés par le burnout, ceux que l’on pourrait considérer comme indispensables.
Comment prévenir ce problème ?
Les questions suivantes permettent de faire un état des lieux de la maturité de votre organisation face à celui-ci :
• Sommes-nous capables de réduire les risques de la santé liés au travail ?
• Savons-nous si nos collaborateurs sont exposés au risque de faire un burnout ?
• Pouvons-nous réduire les risques de burnout au sein de l’entreprise ?
• Pouvons-nous avoir rapidement un état global et clair de la situation de l’entreprise ?
• Sommes-nous capables de quantifier le niveau de productivité de l’entreprise ?
• Pouvons-nous quantifier la perte de productivité ?
• Avons-nous un outil de pilotage commun au CEO, au responsable des ressources humaines et au responsable de la santé et sécurité au travail ?
Il faudrait pouvoir détecter les risques de façon précoce et agir à temps pour minimiser les impacts sur l’entreprise et les personnes. Il serait donc intéressant de disposer d’indicateurs en matière de santé comme par exemple : l’influence négative du stress sur la santé, le niveau de risque de harcèlement, le niveau de risque de faire un burnout, la perception du risque d’accident professionnel, etc.
Des solutions permettent d’ores et déjà de répondre à ces problématiques mais encore faut-il que les organisations se les approprient. En effet pour faire face aux changements soudains d’un environnement incertain, volatile, complexe et ambigu dans lequel elles se situent, les organisations humaines doivent pouvoir se recombiner rapidement et facilement. Pour cela elles devront améliorer leur réactivité et leur simplicité en utilisant des indicateurs comme ceux évoqués plus tôt, en prenant des mesures et surtout en effectuant un suivi de la tendance et des actions réalisées. Ne pas faire de suivi des actions mises en place peut réduire fortement leur efficacité, alors qu’avec un suivi nous pouvons dépasser les attentes, en ajustant les actions ou en les remplaçant par exemple.
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