La volatilité de l'économie mondiale n’est pas seulement liée à la dernière bulle financière. Toutes les entreprises sont affectées par ces cycles économiques. Banques, compagnies d'assurance, prestataires de services financiers et des entreprises industrielles, tous doivent continuer de fonctionner dans cet environnement incertain. Cette incertitude continuera à augmenter dans les années à venir en raison de la crise de la dette en Europe, la faiblesse de l'économie des Etats-Unis et le déclin de l'économie de la Chine, mais aussi des oscillations de plus en plus rapides des cycles économiques.
Dans le but d'affaiblir les effets de ces facteurs, les entreprises ne peuvent répondre à ces fluctuations économiques que par un renforcement commercial de leur propre performance financière. Un système actif de gestion des risques avec différents indicateurs est un bon moyen d’assurer le suivi de la performance de l’entreprise dans ce contexte.
Dans le livre blanc "Le contrôle des risques à l'aide de systèmes d'indicateurs" Johann Bürkner et Sven Gora expliquent quels secteurs des états financiers annuels doivent être analysés plus en détail dans le but d'influencer de manière optimale les actifs, les finances et la rentabilité de l'entreprise. Mais aussi pour faire face aux exigences croissantes des banques devant les demandes de crédits par les entreprises.
Les systèmes d'indicateurs ainsi définis fourniront au management de l'entreprise des informations importantes sur l'état d'une société et permettront d'évaluer sa solvabilité. De cette manière, il est possible de réagir rapidement à ces risques, sous réserve que l’on alimente ces indicateurs en collectant les données de manière régulière et que la source soit toujours accessible.
Enfin, ce contrôle des risques ne sera véritablement performant que si les objectifs de l’entreprise sont en parallèle clairement définis. Ces derniers tournent généralement autour de 3 aspects : la sécurité (maintien de l'entreprise), la rentabilité (de pouvoir d'achat) et la liquidité (capacité de payer). En maximisant l'une de ces variables, les autres seront automatiquement impactées. Par exemple, une rentabilité maximale diminue la sécurité et la liquidité d'une entreprise. D’autre part, un maximum de liquidité conduit à la non-rentabilité, car trop peu de capital peut alors être utilisé de façon productive. Ainsi, la sécurité (les actifs) de la société demeure la priorité numéro 1, mais ne peut être atteinte par une liquidité stable. Cela conduit à la conclusion que la liquidité et donc la sécurité de la société doivent être garanties pour la meilleure rentabilité possible.
Dans le but d'affaiblir les effets de ces facteurs, les entreprises ne peuvent répondre à ces fluctuations économiques que par un renforcement commercial de leur propre performance financière. Un système actif de gestion des risques avec différents indicateurs est un bon moyen d’assurer le suivi de la performance de l’entreprise dans ce contexte.
Dans le livre blanc "Le contrôle des risques à l'aide de systèmes d'indicateurs" Johann Bürkner et Sven Gora expliquent quels secteurs des états financiers annuels doivent être analysés plus en détail dans le but d'influencer de manière optimale les actifs, les finances et la rentabilité de l'entreprise. Mais aussi pour faire face aux exigences croissantes des banques devant les demandes de crédits par les entreprises.
Les systèmes d'indicateurs ainsi définis fourniront au management de l'entreprise des informations importantes sur l'état d'une société et permettront d'évaluer sa solvabilité. De cette manière, il est possible de réagir rapidement à ces risques, sous réserve que l’on alimente ces indicateurs en collectant les données de manière régulière et que la source soit toujours accessible.
Enfin, ce contrôle des risques ne sera véritablement performant que si les objectifs de l’entreprise sont en parallèle clairement définis. Ces derniers tournent généralement autour de 3 aspects : la sécurité (maintien de l'entreprise), la rentabilité (de pouvoir d'achat) et la liquidité (capacité de payer). En maximisant l'une de ces variables, les autres seront automatiquement impactées. Par exemple, une rentabilité maximale diminue la sécurité et la liquidité d'une entreprise. D’autre part, un maximum de liquidité conduit à la non-rentabilité, car trop peu de capital peut alors être utilisé de façon productive. Ainsi, la sécurité (les actifs) de la société demeure la priorité numéro 1, mais ne peut être atteinte par une liquidité stable. Cela conduit à la conclusion que la liquidité et donc la sécurité de la société doivent être garanties pour la meilleure rentabilité possible.
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