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Confrères du monde du décisionnel : révoltons-nous!


Rédigé par par Toufic-Pascal NACCACHE le 14 Mars 2010

Après trois décennies de mise en place de solutions décisionnelles offrant multiples diversités et des capacités complémentaires, nous vivons aujourd’hui une période de crise marquée par une concentration du marché des solutions BI ancrée autour des majeurs « Big 4 » détenant plus de deux tiers du marché de la BI en 2009 (d’après une récente étude du Gartner datant du 29 janvier 2010).



Toufic-Pascal NACCACHE - Iena Consulting
Toufic-Pascal NACCACHE - Iena Consulting
Détenant souvent des solutions similaires dans leur même catalogue, ces acteurs majeurs sont en digestion organisationnelle des récentes acquisitions ou bien en refonte technologique des différentes solutions de leur catalogue. Les composants clé de leurs plateformes (OLAP, Reporting ad hoc, Elaboration budgétaire, …) ont atteint une maturité et marquent très peu de différences en termes de fonctionnalités.

Ce manque de différentiation entre ces acteurs majeurs, se démarquant par des stratégies d’acquisition commerciales et moins par de l’innovation technologique, pousse les clients impatients à se tourner vers des softwares BI spécialisés (niche-player) plus petits en taille et innovants technologiquement. Les clients en question cherchent à rentabiliser leur choix et maîtriser rapidement des renouvellements de solutions couvrant efficacement leurs besoins.

Nous avons vécu récemment différents comparatifs d’outils décisionnels marqués par un critère discriminant intitulé « Roadmap pas clair » d’une offre. Dans un marché offrant moins de choix et laissant une place moindre aux acteurs spécialisés, les solutions Open-source se développent et attirent de plus en plus d’utilisateurs.

L’innovation et la créativité étaient le fer de lance des acteurs du marché. Aujourd’hui, cette innovation est plus concentrée sur la restitution et analyse ainsi que sur la capacité de déploiement.

La pression sur les prix et l’accroissement permanente de la demande de déploiement vers les nomades (mobile, e-phone, …) contribueront à faire émerger le marché encore limité de la location de solutions BI (SaaS, ASP, ….).

A-t-on tout inventé dans le monde du décisionnel ou bien reste-t-il encore une place à de nouvelles approches innovantes marquées moins par des acquisitions commerciales ?!

Toufic-Pascal NACCACHE – Associé fondateur du cabinet IENA Consulting spécialisé dans le pilotage de la performance & business intelligence - contact : tpnaccache@iena-consulting.com




Commentaires

1.Posté par Alain Veillette le 15/03/2010 13:11
Pas du tout d'accord avec votre vision de la consolidation. Au contraire, les moyens financiers en R&D seront plus grand et nous offrirons encore plus de nouveautés. Prenez exemple sur les nouveautés annoncées par Microsoft SQL 2008R2 et de IBM Cognos (pour ne prendre que ces exemples). Je ne pense définitivement pas que de tels joueurs s'assoient sur leurs lauriers et se laissent dépasser par de plus petits fournisseurs. Sinon, avec une telle réflexion, on aurait dû voir disparaitre les bases de données DB2, Oracle et SQL Server depuis des lunes au profit d'autres technologies de bases de données, ce qui est loin le cas.

Le seul aspect négatif, c'est un contrôle des prix, mais tant que Microsoft continuera de mettre de la pression avec sa stratégie commerciale très différente de Oracle, IBM, SAP nous pouvons dormir tranquille.

2.Posté par Patrick Bougé le 16/03/2010 04:44
Bonjour,

De quoi se plaint-on ? Cette concentration vient avant tout des conseils, consultants, décideurs et autres ingénieurs qui ne voient par ces 3 ou 4 solutions par simple manque de culture technologique. "Je suis certifié X", "J'ai appris Y à ma formation"...pourquoi proposer et apprendre autre chose ? Pourquoi simplement faire ce qu'exigerait tout bonnement mon métier : faire de la veille technologique régulière.

La profession à fait un choix, celui de l'allégeance à quelques solutions, quelques marques et d'entrer dans une logique d'oligarchie, de distribution-intégration de produit. C'est un choix, soit on a le courage de proposer, conseiller, réellement, soit on fait de la démagogie auprès du client et on ne fait plus le même métier...mais on ne s'en plaint pas ensuite.

Déjà, contrairement à la démarche courante, tout est à reprendre depuis le début : abandonner la spécialisation dans une solution unique et dogmatique. Il vaut mieux connaitre 10 ou 15 outils à 60-80% que 1 ou 2 à 90-100%. Se faire une vraie culture générale des solutions, des outils, des méthodes proposées. Et sortir de ce schéma "Produit". Je rie, de ces consultants SAP, qui certes gagnent beaucoup plus que moi, bien plus facilement, mais ressemblent plus à des prêtres pronant un dogme qu'à des ingénieurs. Que connaitront et que feront-ils lorsque leur sacrosaint produit disparaitra ou ne servira plus à rien ? A une époque, le COBOL et l'ADA étaient des langages Rois.

Second point, l'Open Source Business Intelligence (OSBI) existe et fonctionne très bien. Il est très simple de s'orienter sur les solutions open source dans les domaine de la Business Intelligence, Bases de données, ETL, ERP, KM, statistiques et Reporting. Tous les outils sont disponibles, et sont fonctionnels, et tiennent largement la dragée aux outils propriétaires, autant en terme de fonctionnalité, de déploiement que d'IHM et de maintenance. Avec plus d'audace, de créativité et de liberté, propre aux outsiders et aux gens "libres".

L'OSBI ouvre à des marchés qui restent ignorées généralement, "pas assez rentables", ceux des TPI et PMI, que l'on redécouvre à chaque crise, mais qui, de façon lucide, ne sont pas prètes à investir dans des solutions hors de prix, qui vont durer 6 mois à installer pour ce qu'elles vont leur apporter en terme de productivité. Avec raison, car en dehors de toute performance et de transparence, ces solutions propriétaires hors de prix ne réconfortent que ceux qui les vendent. Travailler avec des TPE, PME, ca veut dire être pragmatique, gagner plus petit, et faire des projets courts, simples et efficace.

Concernant les solutions propriétaires, pourquoi 50000, 10000, 100 ou 500 euros ? Réellement on n'en sait rien et rien ne le justifie. Les prix des solutions ne sont nullement corrélés avec le moteur du produit, et le savoir-faire nécessaire pour le développer. Ce qui fait le prix, c'est l'argumentaire du consultant qui propose la solution et son déploiement.

Comme on m'a dit dans une entreprise très connu, proposant un soft leader sur son marché, à Prix d'or. J'y ai fait mes armes en tant qu'ingénieur R&D. J'avais fait une remarque (naive) concernant les techniques limites, faibles et rudimentaires déployées dans certaines technologies vendues très cher. 100000 € pour un moteur d'extraction sémantique qui faisait 200 lignes de code faisant 4 moyennes, je trouvais ça "cher". On m'a répondu "Ce qui compte, ce n'est pas ce qu'il y a dans le soft, mais ce que demande l'utilisateur". En clair, les 200 lignes sommaires de code les valaient car les clients étaient prêts à les achetés sous l'étiquettes "haute technologie". Depuis, ce jour, j'ai choisi mon camp.

La concentration des solutions en BI à lieu non parce que c'est la crise, mais parce qu'il s'agit d'un marché très juteux et prometteur. 2-3-4 acteurs est un bon chiffre pour maximiser les prix des produits sans déclancher de guerre de la concurrence. Il s'agit d'une entente commerciale "naturelle", dans laquelle on fait semblant. C'est classique et connu dans tout les domaines, l'oligarchie est la position la plus favorable pour l'offre. La téléphonie mobile en est un très bon exemple.

J'entends déjà les protestations, des "spécialistes" certifiés X ou Y. "L'Open Source n'est pas sérieux, n'est au point, la fonction A ou B n'est pas encore là qu'on trouve dans la version 3.456 de Truc Business. L'Open Source, c'est bien, mais ça coute plus cher en compétence, conseil, installation, et donc contrebalance la gratuité technique initiale."

Réponse : Ouvrons-nous-l'esprit, étudions les mécanismes réels des solutions vendues, comparons, analysons, réellement. Prenons du reculs sur ces "solutions". Il n'existe pas que la logique et le langage du produit qu'on connait mais des solutions, des voies, des mondes différents. Avoir une même réponse automatique pour tout le monde et toute demande, aussi fructueuse et facile est-elle n'est pas faire du conseil et de l'ingénierie, mais de la vente. Il faut savoir dans ce domaine sortir de la sécurité et du confort de ce que l'on connait pour proposer parfois autre chose et jongler avec les possibilités.

Le permier argument ne tiens pas : soyons sérieux qui peut dire qu'il connait et exploite l'ensemble des fonctionnalités de ses outils ? Ces fonctionnalités servent à améliorer les IHM et à faire de nouvelles versions et de nouvelles mises à jour. Elles n'apportent en rien des progrès réellement techniques. On ne les utilise pas, car elles sont superflues et n'apportent réellement rien. 99% des ingénieurs n'exploite que les 10 ou 20 mêmes fonctionnalités en boucle, selon 3 ou 4 mêmes procédures pour 99,99% des cas.

Pour les 0,01 % d'autres cas, un ingénieur en BI, ça devrait savoir autant développer que parler et vendre.

Pour le second argument, même avec un conseil multiplié par deux, le client gagne largement en terme d'investissement, de mise à jour et de souplesse, car le prix des outils est encore totalement prohibitif. On peut en faire du conseil pour l'économie réalisée.

Enfin, je finirais par la pérénité et l'indépendance : On peut toujours racheter une société pour la baillonner, la dissoudre ou la juguler parce qu'elle gêne avec sa nouvelle solution plus simple, plus jolie, plus légère face à notre mastodonte. Mais allez empêcher une communauté de développer un Fork lorsque l'outils est en licence GPL. C'est une toute autre paire de manche, en dehors de la levée de bouclier que vous allez provoquer par cette même communauté. Regardez ce qui se passe entre Oracle et Sun-MySQL, et la marche arrière. L'Open Source est une garantie réelle contre ce type d'opération de concentration et de rachat.

Comme dans beaucoup de domaine, l'open source est une voie d'avenir, qui démontrera très bientôt ses atouts, ses intérêts et ses qualités dans le domaine du décisionnel comme il l'a montré ailleurs : serveurs, OS, bureautique. Encore faut-il une démarche, un réseau, des structures et des acteurs prets à s'y engager réellement, en la posant face à l'ensemble des solutions propriétaire, en "faisant un choix"...dont je fais clairement parti. Comme j'ai dit, après avoir travailler chez un leader qui faisait du KM, et avoir vue les pratiques et les stratégies...le poids de la stratégie commerciale face au poid de la technologie et de l'ingénierie...mon choix est fait.

L'autre voie, c'est d'avoir le courage parfois de revenir à notre vrai métier à tous : développer, inventer, faire du sur mesure, faire du code, comprendre ce que l'on fait et ce que l'on vend. Inventer et Re-Programmer. Développer des projets d'ingénierie, innovant, chez le client, de la routine, des astuces. Redonner ses lettres de noblesse à notre vrai métier, celui de l'informatique, de l'ingénierie et non de la vente de produits et de l'intégration comme le fait un technicien installateur de machine à laver de chez Darty. Sortir de ces usines à gaz pour faire des choses sommaires et simples, utiliser aveuglément le même gros marteau pour écraser les mêmes mouches minuscules. Un ingénieur en informatique ne devrait jamais dépendre à 80-100% d'un produit, d'un distributeur, aussi performant soi-t-il sur l'instant, c'est la mort de son indépendance, de son service, de son savoir-faire et de son métier réel qu'il transforme en service de distribution-vente.

Cordialement

3.Posté par Marc Durand le 16/03/2010 09:35
Vous n'avez de cesse de nous seriner avec ces fameux "Big Four" mais que faites-vous de l'éditeur SAS : c'est un acteur historique, "majeur" (je sais que le mot est très prisé dans la faconde du consultant "standard...), innovant (qualité des données, traitements analytiques directement embarqués dans les bases (cf. Partenariat avec Terradata).

Vous allez me répondre : "Certes, mais SAS est avant tout un éditeur de Data Mining". Cette vision est aujourd'hui parfaitement obsolète ; voyons, révisez un peu vos fiches !

Alors de grâce, sous prétexte que vous ne maîtrisez pas les tenants et les aboutissants d'une technologie, ne parlez-pas d'un marché en oubliant systématiquement l'un de ses principaux acteurs : votre discours y perd grandement en crédibilité.

4.Posté par NACCACHE le 19/03/2010 14:21
Bonjour,
Avant que vous utilisiez vous même la solution SAS, nous avons mis en oeuvre à différentes reprises des systèmes de pilotage avec SAS Base SAS AF, ... et avant même que SAS mette sur le marché des outils packagés BI.

Vos commentaires sont les bienvenus dans un cadre professionnel.

5.Posté par Patrick le 12/04/2010 10:49
Je vais me ranger du côté de Mr Naccache. Sur le fond.

D'une part parce que la concentration EXCESSIVE des acteurs majeurs présente des risques identifiés qu'il convient de couvrir, et je ne suis pas sûr que le prix soit le plus important de ces risques. La question qui se pose est peut-être de savoir quelle sera à terme la place de la STRATEGIE BI développée autour des outils rachetés, et donc avant tout de savoir pourquoi tel "big" a racheté tel "little". Pour des raisons stratégiques ? Pour satisfaire l'actionnaire ?

D'autre part parce que j'ai lu avec intérêt le long message de Mr Bougé, avant de cliquer sur le lien indiqué au bas. J'ai essayé d'abord avec IE8 pensant que c'était encore la faute à Krossoft, mais avec Firefox, c'est pareil. Etrange. La qualité du site semble en plein décalage avec le discours vatant les bienfaits d'un développement spécifique réalisé si possible avec des logiciels libres. Sans doute comme un début de réponse.

6.Posté par Salem le 15/04/2010 15:25
Je rejoins la remarque faite par Patrick sur le site mentionné par Mr Bougé.
Je rajoute une parenthese a cela: Si vous selectionnez la globalité de la page (un bon Ctrl+A) vous aurez la belle surprise de decouvrire du texte caché ou "oublié" en background ?
Est-ce un comportement des exploreurs internet ? Mon avis est que non.
Je referme la prenthese et laisse la place a la suite du fil.
Cordialement

7.Posté par Bougé Patrick le 15/04/2010 21:35
Première attaque, je n'ai pas répondu. La seconde je réponds...

Il n'y a pas de texte caché, le site tout est simplement en construction. Le texte, la charte, le tout est une ébauche. Je pense que ça se voit assez et que c'est assez clair, sans avoir à parler d'un air entendu de "belle surprise" de façon complètement décalées. Pardon pour le ton sec, mais, j'ai du mal avec les attaques gratuites et les préjugés.

J'ai écrit un texte ici en rapport avec le métier que j'exerce depuis 14 ans, il vaut ce qu'il vaut, mais par pitié, attaquer sur des histoires de site web, au lieu du fond, pour troller, je ne trouve ça pas très sport, ni très pro.

Pour répondre explicitement à ce qui est sous entendu dans ces deux remarques : je n'aurais aucun intérêt à spammer un site comme celui-ci, ni un autre d'ailleurs. "Site web" est proposé en bas de commentaire, j'ai donc naïvement marqué celui de mon projet EN CONSTRUCTION, c'était une erreur, certes.

Et même fini, je ne recherche pas à faire le site le plus beau du siècle et le plus élaboré, mais un site simple et informatif, qui fournira l'information nécessaire aux gens intéressés par les services. C'est tout et ça suffit largement.

Par contre, maintenant que j'ai éclairci ce point, je suis fortement intéressé et preneur de voir les talents effectifs de ceux qui qui donnent des leçons à ce propos. Talents, expériences et compétences, en développement, en contenu et en graphisme.

Je souligne que la création et la mise en place d'une activité, quelle que soit le projet, est un travail long et lourd encore plus ici puisqu'il s'agit d'un travail de création, avec une entreprise personnelle, dans un projet en lancement, et militant, en plus. Il faut l'avoir fait un jour dans sa vie, en sortant de son bureau pour savoir ce que c'est.

Effectivement, ça a un cout de se lancer, en terme d'infrastructures, de moyens et d'efforts, par rapport à la place confortable et..."facile"...que procure le travail de cadre en grande entreprise, voir même en PME ou en SSII. Ce sont deux logiques et deux mondes différents. L'un est devenu mon choix, l'autre, pour en avoir fait le tour, n'est plus mon choix, bien qu'il soit plus simple.

En terme de compétences, par contre, la taille et les moyens de l'entreprise ou du projet ne comptent pas et ne préjugent pas des qualités, du savoir-faire et de la pertinence du consultant. En clair, si mon site est moche, ce que je peux concevoir... je crois savoir un peu de quoi je parle pour avoir exercé 14 mon métier autre part que dans le projet passionnant, mais naissant, qu'est ma boite (je ne la citerais pas).

En conséquence malgré la qualité discutable de mon site, ce qui n'est un argument contre rien, je persiste et signe ce que j'ai écris précédemment, que ces histoires stériles de site web.

Je referme, moi, la parenthèse pour qu'il soit effectivement temps de traiter d'autre chose, comme par exemple de Business Intelligence. Cordialement.
Patrick Bougé

8.Posté par David le 05/05/2010 10:11
Je suis d'accord avec le sujet de l'article, meme si je ne comprend pas contre quoi il faut se révolter. Il y a actuellement un contraste croissant entre les besoins des entreprises en matière de BI (légereté, rapidité, retour sur investissement), et la lourdeur croissante des offres qui necessitent la mise en oeuvre de solutions lourdes, avec des socles certes robustes, mais pour lesquels on perd de vue les regles essentielles d'un bon projet BI :
- penser grand, réaliser petit,
- pas plus de 90 jours entre une expression de besoin et la livraison du rapport,
- un retour sur investissement rapide,
- une réponse à des besoins métier
Par ailleurs, en ce qui concerne l'impact pour le marché du mouvement de consolidation que nous avons remarqué récemment, j'ai l'impression que pour certains fournisseurs, cela se traduit plutot par des efforts de développement visant à intégrer ensemble des produits regroupés dans le meme portefeuille... sans valeur ajoutée réelle pour le client, car cela se traduit par l'arret de développements attendus antérieurement.
Et si l'incertitude quant à l'arrivée de nouvelles fonctionnalités, la certitude de devoir acquérir de nouvelles licences à terme est , elle bien présente.
En ce qui concerne notre métier de consultant en BI, j'ai le sentiment que si il est facile d'apprendre un produit, il est plus difficile de passer à une phase différente, qui consiste à s'impregner du besoin du client, et à le challenger, pour lui permettre de mettre en place des outils qui vont au dela de la simple recréation des états tableur dont il dispose aujourd'hui.
C'est la à mon sens que se situe le challenge dans notre métier, et non pas dans l'apprentissage de nouveaux produits, au gré des opportunités et des tendances du marché.



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