Renaud Finaz de Villaine, directeur Marketing et Communication de Micropole
Ayant entendu tout et n’importe quoi au sujet de la BI Sociale, voici un petit éclairage pour permettre aux entreprises de mieux concentrer leurs efforts et leurs ressources sur les bénéfices qu’elles pourraient en tirer.
La BI s’était jusqu’à aujourd’hui principalement intéressé aux seules données internes de l’entreprise. Si on lui applique désormais les mêmes concepts d’analyse qu’aux réseaux sociaux, différentes solutions s’offrent à nous :
La BI Sociale ou BI collaborative se concentre principalement sur l’interne de l’entreprise et se réfère plutôt à des fonctionnalités existantes au sein même d’une application décisionnelle. Ces fonctionnalités permettent aux utilisateurs une meilleure interactivité, offrent un accès de type ‘self-service’ aux données, et permettent d’améliorer le coté collaboration et échange d’information entre les utilisateurs dans l’entreprise.
La plupart des éditeurs de BI ont aujourd’hui intégré ce type de fonctionnalités dans leur offre BI.
L’analyse des réseaux sociaux permet à l’entreprise de mieux identifier qui cibler, afin d’augmenter ses parts de marché et ses ventes, cela en analysant tout d’abord les relations qui existent au sein même de sa propre base de données clients (s-CRM), puis au sein des grands réseaux sociaux existant.
Le développement de boutiques sur Facebook (f-commerce) devrait accélérer la demande auprès des éditeurs de BI, là où réside la véritable valeur ajoutée. Monnayer ses fans sur Facebook reste encore du domaine du rêve pour la plupart des entreprises !
L’analyse des medias sociaux se focalise sur les Twitter, Facebook, Tumblr, ... et sur tout ce qui touche chaque entreprise comme sa réputation (e-réputation), sa (ses) marque(s) ou encore son positionnement.
Cette analyse s’avère être un enjeu majeur pour l’entreprise tant les risques sur le web sont grands et la sanction immédiate. Sanction pouvant se traduire par une atteinte à sa réputation, une perte de clientèle et par conséquent une perte financière importante. Et là où le bât blesse, c’est qu’aujourd’hui les éditeurs de BI n’ont pas encore intégré ce type d’analyse !
Mon sentiment est que la BI Sociale devient une réelle nécessité pour que l’entreprise puisse se démarquer de ses concurrents.
L’analyse des réseaux sociaux et l’analyse des médias sociaux se doivent aujourd’hui d’être intégrées dans les prochaines offres des éditeurs de Business Intelligence.
Malheur à ceux qui ne sauront pas assez agiles pour surfer sur cette nouvelle déferlante. Un gilet de sauvetage ne les empêchera pas de couler !
Maintenant c’est à vous de décider : Buzz ou réalité ?
La BI s’était jusqu’à aujourd’hui principalement intéressé aux seules données internes de l’entreprise. Si on lui applique désormais les mêmes concepts d’analyse qu’aux réseaux sociaux, différentes solutions s’offrent à nous :
La BI Sociale ou BI collaborative se concentre principalement sur l’interne de l’entreprise et se réfère plutôt à des fonctionnalités existantes au sein même d’une application décisionnelle. Ces fonctionnalités permettent aux utilisateurs une meilleure interactivité, offrent un accès de type ‘self-service’ aux données, et permettent d’améliorer le coté collaboration et échange d’information entre les utilisateurs dans l’entreprise.
La plupart des éditeurs de BI ont aujourd’hui intégré ce type de fonctionnalités dans leur offre BI.
L’analyse des réseaux sociaux permet à l’entreprise de mieux identifier qui cibler, afin d’augmenter ses parts de marché et ses ventes, cela en analysant tout d’abord les relations qui existent au sein même de sa propre base de données clients (s-CRM), puis au sein des grands réseaux sociaux existant.
Le développement de boutiques sur Facebook (f-commerce) devrait accélérer la demande auprès des éditeurs de BI, là où réside la véritable valeur ajoutée. Monnayer ses fans sur Facebook reste encore du domaine du rêve pour la plupart des entreprises !
L’analyse des medias sociaux se focalise sur les Twitter, Facebook, Tumblr, ... et sur tout ce qui touche chaque entreprise comme sa réputation (e-réputation), sa (ses) marque(s) ou encore son positionnement.
Cette analyse s’avère être un enjeu majeur pour l’entreprise tant les risques sur le web sont grands et la sanction immédiate. Sanction pouvant se traduire par une atteinte à sa réputation, une perte de clientèle et par conséquent une perte financière importante. Et là où le bât blesse, c’est qu’aujourd’hui les éditeurs de BI n’ont pas encore intégré ce type d’analyse !
Mon sentiment est que la BI Sociale devient une réelle nécessité pour que l’entreprise puisse se démarquer de ses concurrents.
L’analyse des réseaux sociaux et l’analyse des médias sociaux se doivent aujourd’hui d’être intégrées dans les prochaines offres des éditeurs de Business Intelligence.
Malheur à ceux qui ne sauront pas assez agiles pour surfer sur cette nouvelle déferlante. Un gilet de sauvetage ne les empêchera pas de couler !
Maintenant c’est à vous de décider : Buzz ou réalité ?
Autres articles
-
Thomas Gendulphe, 43 ans, est nommé General Manager Suisse et Espagne de Micropole
-
Grant Thornton et Micropole présentent les résultats de leur enquête « Quel avenir pour le contrôle de gestion ? »
-
Micropole annonce la nomination de Muriel Huriot au poste de Directrice de la Transformation et de l’Expérience Clients
-
Podcast: Pauline Guillet a remporté le Datathon mondial organisé par Qlik sur le réchauffement climatique
-
Micropole lance le Data Thinking pour accompagner les entreprises dans leur transformation « data driven »