Dans le cadre de cet accord, la DTU sera la première université danoise à utiliser le simulateur quantique d’Atos, l’Atos Quantum Learning Machine, capable de processer jusqu’à 41 qubits (bits quantiques). L’Université Technique du Danemark rejoint ainsi plusieurs autres instituts internationaux de premier plan tels que le Laboratoire national d’Oak Ridge, l’Université française de Reims, et plus récemment, l’Université des Sciences Appliquées de Haute-Autriche.
L’Atos Quantum Learning Machine permettra aux professeurs et chercheurs de la DTU d’analyser et formuler de nouveaux algorithmes, notamment dans le développement de nouvelles structures moléculaires. Les chercheurs et les étudiants auront également la possibilité de collaborer avec le monde industriel afin de développer et de tester les programmes et algorithmes quantiques du futur, utiles dans le traitement de quantités considérables de données provenant notamment des secteurs du Big Data, de l’Internet des Objets et de l’intelligence artificielle.
L’Atos Quantum Learning Machine est le simulateur quantique commercialisé le plus performant au monde, capable de simuler jusqu’à 41 qubits en associant un système ultra-compact avec un langage de programmation logiciel quantique basé sur la norme universelle aQasm (Atos Quantum Assembly Language). Grâce à une infrastructure basée sur une mémoire intégrée, la capacité de simulation informatique peut être augmentée selon les besoins à tout moment.
« L’Atos Quantum Learning Machine permettra à la DTU de faire de nouvelles expériences à l’aide d’ordinateurs quantiques qui seront selon toute vraisemblance utilisés d’ici quelques années. Cela nous permettra d’avoir une perspective globale plus approfondie en termes de technologie quantique : de l’aspect matériel et opérationnel, jusqu’à la programmation informatique », déclare Anders Bjarklev, président de la DTU.
« Dans le cadre de l’Alliance d’universités Eurotech, la DTU est un partenaire stratégique clé pour Atos au Danemark. Nous sommes très heureux de pouvoir fournir l’Atos Quantum Learning Machine aux pays nordiques et d’encourager une approche innovante de l’enseignement avec un savoir-faire haut de gamme », déclare Harri Saikkonen, Managing Director Atos Nordics.
La livraison de l’Atos Quantum Learning Machine à la DTU est programmée pour 2019. La machine sera utilisée dans le cadre de recherches existantes et de futurs projets innovants.
L’informatique quantique devrait permettre, dans les années à venir, de faire face à l’explosion des données qu’entraînent le Big Data et l’Internet des Objets. Par des capacités d’accélération de calcul ciblées et inédites s’appuyant notamment sur le supercalculateur de classe exascale BullSequana, elle devrait également favoriser des avancées dans le deep learning, l’algorithmique et l’intelligence artificielle pour des domaines aussi variés que la pharmaceutique ou les nouveaux matériaux. Pour progresser sur ces sujets, Atos entend mettre également en place plusieurs partenariats avec des centres de recherche et universités dans le monde.
L’Atos Quantum Learning Machine permettra aux professeurs et chercheurs de la DTU d’analyser et formuler de nouveaux algorithmes, notamment dans le développement de nouvelles structures moléculaires. Les chercheurs et les étudiants auront également la possibilité de collaborer avec le monde industriel afin de développer et de tester les programmes et algorithmes quantiques du futur, utiles dans le traitement de quantités considérables de données provenant notamment des secteurs du Big Data, de l’Internet des Objets et de l’intelligence artificielle.
L’Atos Quantum Learning Machine est le simulateur quantique commercialisé le plus performant au monde, capable de simuler jusqu’à 41 qubits en associant un système ultra-compact avec un langage de programmation logiciel quantique basé sur la norme universelle aQasm (Atos Quantum Assembly Language). Grâce à une infrastructure basée sur une mémoire intégrée, la capacité de simulation informatique peut être augmentée selon les besoins à tout moment.
« L’Atos Quantum Learning Machine permettra à la DTU de faire de nouvelles expériences à l’aide d’ordinateurs quantiques qui seront selon toute vraisemblance utilisés d’ici quelques années. Cela nous permettra d’avoir une perspective globale plus approfondie en termes de technologie quantique : de l’aspect matériel et opérationnel, jusqu’à la programmation informatique », déclare Anders Bjarklev, président de la DTU.
« Dans le cadre de l’Alliance d’universités Eurotech, la DTU est un partenaire stratégique clé pour Atos au Danemark. Nous sommes très heureux de pouvoir fournir l’Atos Quantum Learning Machine aux pays nordiques et d’encourager une approche innovante de l’enseignement avec un savoir-faire haut de gamme », déclare Harri Saikkonen, Managing Director Atos Nordics.
La livraison de l’Atos Quantum Learning Machine à la DTU est programmée pour 2019. La machine sera utilisée dans le cadre de recherches existantes et de futurs projets innovants.
L’informatique quantique devrait permettre, dans les années à venir, de faire face à l’explosion des données qu’entraînent le Big Data et l’Internet des Objets. Par des capacités d’accélération de calcul ciblées et inédites s’appuyant notamment sur le supercalculateur de classe exascale BullSequana, elle devrait également favoriser des avancées dans le deep learning, l’algorithmique et l’intelligence artificielle pour des domaines aussi variés que la pharmaceutique ou les nouveaux matériaux. Pour progresser sur ces sujets, Atos entend mettre également en place plusieurs partenariats avec des centres de recherche et universités dans le monde.
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