Malgré un contrôle accru de la protection des données et de la confidentialité numérique, une étude menée par Veritas Technologies, leader mondial de la protection des données des entreprises et du stockage software-defined, révèle que 42% de l’ensemble des environnements de données des entreprises sont soit obsolètes (c’est-à-dire qu’ils n’ont pas été modifiés au cours des trois dernières années) ou anciens (ils n’ont pas été modifiés au cours des sept dernières années).
Actuellement, les données continuent de croître à une moyenne annuelle de 49% tandis que la taille des fichiers a augmenté, elle, de 23%. Avec les nouveaux risques élevés d’une mauvaise gouvernance des données dans le cadre du Règlement général sur la protection des données (GDPR) qui octroie aux consommateurs le pouvoir de demander l’accès ou de supprimer les données personnelles que les entreprises détiennent sur eux, les entreprises doivent prendre des mesures pour résoudre la question des données obsolètes pour assurer la conformité au règlement.
Les services financiers sont les principaux coupables
Malgré l’effort général pour moderniser les secteurs financiers, l’étude Veritas révèle que ces derniers sont les principaux coupables avec 20% de données obsolètes qui sont composées de fichiers.
L’étude Veritas souligne aussi que les consommateurs français sont les plus susceptibles de cibler les services financiers, incluant les banques et les compagnies d’assurance, que les autres secteurs pour leurs requêtes concernant les données personnelles. Dans le cadre de GDPR, les entreprises sont davantage sous pression pour gérer l’afflux de requêtes concernant les données personnelles, auxquelles il faut répondre dans un délai d’un mois à compter de la réception de la demande. Cependant, respecter ce délai peut s’avérer difficile puisque certaines entreprises ont toujours une visibilité limitée sur les données qu’elles détiennent, en fonction de leur valeur et d’où elles sont situées.
« Augmenter la régulation dans un secteur comme celui des banques et des services financiers constitue une bonne raison pour ces entreprises d’adopter rapidement les technologies numériques » précise Jean-Pierre Boushira, VP Southern Europe chez Veritas Technologies. « Il est essentiel que ces dernières adoptent la technologie qui leur permettent de localiser les données à travers différentes plateformes, d’effectuer des recherches, de les récupérer ou de les supprimer de manière efficace ».
« Au-delà de la conformité réglementaire, alors que les consommateurs exigent plus de transparence et de responsabilité de la part des entreprises, nous assistons à une « nouvelle norme » dans laquelle les consommateurs entendent récompenser les entreprises qui protègent correctement leurs données et de sanctionner celles qui ne le font pas en consommant ailleurs ou en nuisant à leur image de marque. Les données obsolètes créent un risque inutile qui peut significativement porter atteinte à la réputation, à la fidélité à la marque et aux résultats financiers » conclut Jean-Pierre Boushira.
Actuellement, les données continuent de croître à une moyenne annuelle de 49% tandis que la taille des fichiers a augmenté, elle, de 23%. Avec les nouveaux risques élevés d’une mauvaise gouvernance des données dans le cadre du Règlement général sur la protection des données (GDPR) qui octroie aux consommateurs le pouvoir de demander l’accès ou de supprimer les données personnelles que les entreprises détiennent sur eux, les entreprises doivent prendre des mesures pour résoudre la question des données obsolètes pour assurer la conformité au règlement.
Les services financiers sont les principaux coupables
Malgré l’effort général pour moderniser les secteurs financiers, l’étude Veritas révèle que ces derniers sont les principaux coupables avec 20% de données obsolètes qui sont composées de fichiers.
L’étude Veritas souligne aussi que les consommateurs français sont les plus susceptibles de cibler les services financiers, incluant les banques et les compagnies d’assurance, que les autres secteurs pour leurs requêtes concernant les données personnelles. Dans le cadre de GDPR, les entreprises sont davantage sous pression pour gérer l’afflux de requêtes concernant les données personnelles, auxquelles il faut répondre dans un délai d’un mois à compter de la réception de la demande. Cependant, respecter ce délai peut s’avérer difficile puisque certaines entreprises ont toujours une visibilité limitée sur les données qu’elles détiennent, en fonction de leur valeur et d’où elles sont situées.
« Augmenter la régulation dans un secteur comme celui des banques et des services financiers constitue une bonne raison pour ces entreprises d’adopter rapidement les technologies numériques » précise Jean-Pierre Boushira, VP Southern Europe chez Veritas Technologies. « Il est essentiel que ces dernières adoptent la technologie qui leur permettent de localiser les données à travers différentes plateformes, d’effectuer des recherches, de les récupérer ou de les supprimer de manière efficace ».
« Au-delà de la conformité réglementaire, alors que les consommateurs exigent plus de transparence et de responsabilité de la part des entreprises, nous assistons à une « nouvelle norme » dans laquelle les consommateurs entendent récompenser les entreprises qui protègent correctement leurs données et de sanctionner celles qui ne le font pas en consommant ailleurs ou en nuisant à leur image de marque. Les données obsolètes créent un risque inutile qui peut significativement porter atteinte à la réputation, à la fidélité à la marque et aux résultats financiers » conclut Jean-Pierre Boushira.
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