Une passion
Chaque jour, dans votre vie quotidienne comme dans votre vie professionnelle, vous êtes amenés à prendre des décisions. Certains se réjouissent de ces phases de réflexion, d’autres les appréhendent. Mais qu’il s’agisse de l’achat d’une nouvelle voiture, de démissionner pour changer d’entreprise, de quitter un pays pour en découvrir un autre ou même de vous engager pour la vie aux côtés de l’Etre cher, tout cela relève du domaine de la décision. Pour prendre une décision, vous avez besoin de votre cerveau pour réfléchir. Dans une entreprise la masse de données disponibles impactant la décision que vous devez prendre est souvent trop importante pour qu’elle puisse être confiée au seul cerveau du décideur. Pour l’aider, on a inventé les outils d’aide à la décision… le décisionnel !
Comment peut-on se passionner pour un sujet aussi ardu et technique qui vous menace à perpétuité de ses termes techniques (OLAP, BI, ETL, MDM, DQM…) ?
Tout simplement parce que derrière ce jargon fils spirituel des directeurs marketing d’éditeurs de logiciels et des directeurs informatiques d’entreprises utilisatrices, on lève rapidement le voile sur des usages très concrets, dans toutes les entreprises, dans tous les secteurs d’activité.
Le décisionnel est passionnant parce qu’il vous permet de toucher du doigt toutes les décisions prises dans une entreprise. Toucher du doigt la décision quotidienne, dont on ne parle jamais, comme le téléconseiller d’un centre d’appels qui voit s’afficher le script adapté au client qu’il a en ligne ou la réceptionniste d’un hôtel dont le système informatique précise la marge de négociation dont elle dispose pour répondre à la demande de remise d’un client, calculée en temps réel. Toucher du doigt la décision stratégique, celle dont on discute dans les « war rooms » des grands groupes internationaux, où l’on manie les milliards, les pays, les branches, les emplois par milliers.
En décidant de consacrer une partie de votre carrière au décisionnel, vous découvrirez le secret le mieux gardé et le plus passionnant du monde des affaires, celui de la prise de décision.
L’autre passion qui vous animera sera celle de l’innovation. Le décisionnel n’est certes plus une révolution, mais il reste un creuset d’innovation perpétuelle. Mieux décider, mieux comprendre, que le concurrent, que les autres intervenants d’un marché… la course est infinie à l’amélioration des processus et des outils. Le décisionnel est un marché certes mature, mais cela ne signifie en rien qu’il soit immobile. Un exemple suffira à vous en convaincre.
L’Homme a deux rêves : voler et prévoir. Voler, il y est parvenu grâce aux progrès de l’aéronautique. Prévoir relève du domaine du décisionnel. Le décisionnel ne se contente pas d’analyser le passé, il ouvre aujourd’hui les fenêtres du futur et vous permet d’anticiper. C’est ce que l’on appelle l’analyse prédictive, faire le lien entre le passé, le présent et le futur. Peut-être cela semblera-t-il terriblement dépassé dans quelques années, mais croyez-moi, aujourd’hui, le décisionnel a encore de très belles années d’innovation devant lui !
Comment peut-on se passionner pour un sujet aussi ardu et technique qui vous menace à perpétuité de ses termes techniques (OLAP, BI, ETL, MDM, DQM…) ?
Tout simplement parce que derrière ce jargon fils spirituel des directeurs marketing d’éditeurs de logiciels et des directeurs informatiques d’entreprises utilisatrices, on lève rapidement le voile sur des usages très concrets, dans toutes les entreprises, dans tous les secteurs d’activité.
Le décisionnel est passionnant parce qu’il vous permet de toucher du doigt toutes les décisions prises dans une entreprise. Toucher du doigt la décision quotidienne, dont on ne parle jamais, comme le téléconseiller d’un centre d’appels qui voit s’afficher le script adapté au client qu’il a en ligne ou la réceptionniste d’un hôtel dont le système informatique précise la marge de négociation dont elle dispose pour répondre à la demande de remise d’un client, calculée en temps réel. Toucher du doigt la décision stratégique, celle dont on discute dans les « war rooms » des grands groupes internationaux, où l’on manie les milliards, les pays, les branches, les emplois par milliers.
En décidant de consacrer une partie de votre carrière au décisionnel, vous découvrirez le secret le mieux gardé et le plus passionnant du monde des affaires, celui de la prise de décision.
L’autre passion qui vous animera sera celle de l’innovation. Le décisionnel n’est certes plus une révolution, mais il reste un creuset d’innovation perpétuelle. Mieux décider, mieux comprendre, que le concurrent, que les autres intervenants d’un marché… la course est infinie à l’amélioration des processus et des outils. Le décisionnel est un marché certes mature, mais cela ne signifie en rien qu’il soit immobile. Un exemple suffira à vous en convaincre.
L’Homme a deux rêves : voler et prévoir. Voler, il y est parvenu grâce aux progrès de l’aéronautique. Prévoir relève du domaine du décisionnel. Le décisionnel ne se contente pas d’analyser le passé, il ouvre aujourd’hui les fenêtres du futur et vous permet d’anticiper. C’est ce que l’on appelle l’analyse prédictive, faire le lien entre le passé, le présent et le futur. Peut-être cela semblera-t-il terriblement dépassé dans quelques années, mais croyez-moi, aujourd’hui, le décisionnel a encore de très belles années d’innovation devant lui !
Des raisons
Et comme la passion ne suffit pas, laissez-moi vous donner quelques raisons.
Tout d’abord le décisionnel est un marché mature, et qui se porte bien. En croissance raisonnable mais stable depuis une décennie, le décisionnel n’a pas subi les aléas des « bulles spéculatives » que connaissent d’autres secteurs technologiques.
Certains marchés comme le CRM (Gestion de la Relation Client) ou les ERP (Progiciels Intégrés de Gestion) ont connu des à-coups. Le CRM était à la mode en 2000… avant l’éclatement de la première bulle Internet. Il est resté en désaffection pendant plusieurs années ensuite. Les ERP ont été l’objet de toutes les attentions avant le passage à l’an 2000 et à l’euro. Depuis le marché se cherche un peu…
Le décisionnel n’a lui jamais affiché de taux de croissance annuelle à trois chiffres. Mais il est resté stable, serein, droit dans une croissance régulière. Une croissance de « bon père de famille » comme diraient les analystes financiers. Pourquoi cette permanence ?
Tout simplement parce que les entreprises ont toujours besoin de décider ! La raison d’être d’une entreprise et de ceux qui la dirige est de prendre des décisions. En période de croissance, il faut décider quels marchés conquérir, quels produits lancer, quelles filiales ouvrir, quel concurrent cibler, quel segment de clients fidéliser, où investir…
Et en période de crise, il faut décider quelles filiales fermer, quels produits arrêter de produire, qui licencier, comment céder des actifs, quelles dépenses repousser…
Le décisionnel change de cible, de données, d’objectifs, mais il est omniprésent dans toutes les étapes du fonctionnement de l’entreprise. Il est devenu indispensable !
Tout d’abord le décisionnel est un marché mature, et qui se porte bien. En croissance raisonnable mais stable depuis une décennie, le décisionnel n’a pas subi les aléas des « bulles spéculatives » que connaissent d’autres secteurs technologiques.
Certains marchés comme le CRM (Gestion de la Relation Client) ou les ERP (Progiciels Intégrés de Gestion) ont connu des à-coups. Le CRM était à la mode en 2000… avant l’éclatement de la première bulle Internet. Il est resté en désaffection pendant plusieurs années ensuite. Les ERP ont été l’objet de toutes les attentions avant le passage à l’an 2000 et à l’euro. Depuis le marché se cherche un peu…
Le décisionnel n’a lui jamais affiché de taux de croissance annuelle à trois chiffres. Mais il est resté stable, serein, droit dans une croissance régulière. Une croissance de « bon père de famille » comme diraient les analystes financiers. Pourquoi cette permanence ?
Tout simplement parce que les entreprises ont toujours besoin de décider ! La raison d’être d’une entreprise et de ceux qui la dirige est de prendre des décisions. En période de croissance, il faut décider quels marchés conquérir, quels produits lancer, quelles filiales ouvrir, quel concurrent cibler, quel segment de clients fidéliser, où investir…
Et en période de crise, il faut décider quelles filiales fermer, quels produits arrêter de produire, qui licencier, comment céder des actifs, quelles dépenses repousser…
Le décisionnel change de cible, de données, d’objectifs, mais il est omniprésent dans toutes les étapes du fonctionnement de l’entreprise. Il est devenu indispensable !
Entrez dans la danse
Alors si je vous ai convaincu de porter un regard sur ce domaine prometteur, il vous reste maintenant à découvrir comment y entrer, y progresser, et en sortir.
Pour y entrer, rien ne vaut le passage dans une société de conseil et de service. Servant de multiples clients, dans de nombreux secteurs d’activité, de toutes tailles, maîtrisant de multiples technologies, les sociétés de service spécialisées dans le décisionnel sont un excellent point de passage et centre de formation. La vie professionnelle y est exigeante bien sur, mais pas plus qu’ailleurs. Et si vous avez choisi le décisionnel c’est que vous recherchez autre chose que les concours de la fonction publique.
Plusieurs catégories de sociétés de service coexistent sur le marché. Les généralistes et les spécialistes tout d’abord. Les généralistes vous apporteront un cadre plus strict, à la limite parfois de la rigidité ; vous risquez d’y être cantonnés à une tâche répétitive. Je ne vous cache pas que ma préférence va aux spécialistes. De structure plus humaine, elles sont plus souples, plus évolutives et vous permettront de découvrir les principaux aspects de ce décisionnel qui vous intrigue.
Il en existe de toutes tailles. De quelques consultants à plusieurs centaines. A chacun de choisir en fonction de son caractère. N’hésitez pas à les solliciter, elles ne cherchent le plus souvent qu’à vous rencontrer !
Et pour avancer dans votre réflexion et votre démarche, je vous propose de télécharger puis de parcourir le "Guide des Carrières", édité par Homsys et que nous vous proposons en pièce jointe ci-dessous.
Pour y entrer, rien ne vaut le passage dans une société de conseil et de service. Servant de multiples clients, dans de nombreux secteurs d’activité, de toutes tailles, maîtrisant de multiples technologies, les sociétés de service spécialisées dans le décisionnel sont un excellent point de passage et centre de formation. La vie professionnelle y est exigeante bien sur, mais pas plus qu’ailleurs. Et si vous avez choisi le décisionnel c’est que vous recherchez autre chose que les concours de la fonction publique.
Plusieurs catégories de sociétés de service coexistent sur le marché. Les généralistes et les spécialistes tout d’abord. Les généralistes vous apporteront un cadre plus strict, à la limite parfois de la rigidité ; vous risquez d’y être cantonnés à une tâche répétitive. Je ne vous cache pas que ma préférence va aux spécialistes. De structure plus humaine, elles sont plus souples, plus évolutives et vous permettront de découvrir les principaux aspects de ce décisionnel qui vous intrigue.
Il en existe de toutes tailles. De quelques consultants à plusieurs centaines. A chacun de choisir en fonction de son caractère. N’hésitez pas à les solliciter, elles ne cherchent le plus souvent qu’à vous rencontrer !
Et pour avancer dans votre réflexion et votre démarche, je vous propose de télécharger puis de parcourir le "Guide des Carrières", édité par Homsys et que nous vous proposons en pièce jointe ci-dessous.