GQL incorpore et prend en compte différents langages de bases de données de graphes
Neo4j, le leader des bases de données de graphes, annonce ce jour que des comités internationaux pour le développement du standard SQL ont entériné par vote que GQL (Graph Query Language) devient un nouveau langage de requête de bases de données. GQL, qui va être codifié comme le langage de requête déclaratif pour les graphes de propriétés de norme internationale, représente l'aboutissement d'années de travail par Neo4j et la communauté élargie des bases de données.
À l'origine, l'initiative GQL a été présentée dans le GQL Manifesto en mai 2018. Un an plus tard, le projet était à l'étude lors d'un rassemblement international en juin. Dix pays, dont les États-Unis, l'Allemagne, le Royaume-Uni, la Corée et la Chine ont désormais voté en sa faveur, alors que sept autres promettent une participation active d'experts nationaux.
Cela fait plus de 30 ans que l'ISO/IEC a lancé le projet SQL. SQL s'est imposé comme le langage dominant pour accéder aux données relationnelles. Il a fait l'objet d'une vaste adoption parmi les éditeurs et utilisateurs et a accéléré de façon spectaculaire la croissance du marché des bases de données relationnelles. Le projet GQL va déclencher le développement de la prochaine génération de normes technologiques pour l'accès aux données, optimisées pour les données connectées du monde moderne. Sa charte s'appuie sur les fondements déjà établis par SQL et sur une collaboration continue pour assurer la compatibilité et l'interopérabilité SQL et GQL.
Stefan Plantikow, responsable produit et ingénieur spécialiste des normes de requête des graphes de propriétés chez Neo4j, devient chef de projet GQL et éditeur des spécifications GQL planifiées. Il détient de longues années d'expérience de développement du langage Cypher, une source clé pour GQL.
« Je pense que le moment est idéal pour que le secteur se rassemble et définisse la norme d'un langage de requête de graphes de nouvelle génération » déclare Stefan Plantikow. « C'est formidable que le besoin d'un langage standard soit officiellement reconnu. En s'appuyant sur une décennie d'expérience des requêtes de graphes de propriétés, GQL sera compatible avec les types et les structures de données de graphes natifs, avec son propre schéma de graphe, une approche de la requête, de l'insertion et de la manipulation des données basée sur les modèles, plus la capacité à créer de nouveaux graphes et visualisation de graphes, comme à générer des données en tableau et intégrées. Notre optique consiste à suivre, faire évoluer et intégrer les concepts clés de plusieurs langages existants, dont les extensions de graphes à SQL. »
GQL reflète la croissance rapide du marché des bases de données de graphes dont témoigne l'adoption grandissante du langage Cypher, lequel a démontré son potentiel et alimenté la demande d'un langage standard unique jouant le rôle de SQL pour les bases de données de graphes.
Outre Neo4j, de nombreuses entreprises participent déjà à des activités en lien avec GQL, parmi lesquelles Redis Labs, SAP et IBM. Des experts nationaux de Chine et de Corée se joignent aux participants basés en Europe et aux États-Unis.
Keith Hare, qui participe au processus de normalisation SQL depuis 1988 et occupe la chaire du comité international des normes SQL pour les langages de bases de données depuis 2005, retrace l'avancée vers GQL.
« Nous avons trouvé l'équilibre entre le lancement de GQL comme langage de requête des bases de données du futur et la préservation de la valeur et de l'ubiquité de SQL » indique Keith Hare. « Notre comité a grandement apprécié la participation internationale de la communauté pour lancer le projet GQL. Un tel soutien marque l'émergence d'une norme de droit et de fait. »
À l'origine, l'initiative GQL a été présentée dans le GQL Manifesto en mai 2018. Un an plus tard, le projet était à l'étude lors d'un rassemblement international en juin. Dix pays, dont les États-Unis, l'Allemagne, le Royaume-Uni, la Corée et la Chine ont désormais voté en sa faveur, alors que sept autres promettent une participation active d'experts nationaux.
Cela fait plus de 30 ans que l'ISO/IEC a lancé le projet SQL. SQL s'est imposé comme le langage dominant pour accéder aux données relationnelles. Il a fait l'objet d'une vaste adoption parmi les éditeurs et utilisateurs et a accéléré de façon spectaculaire la croissance du marché des bases de données relationnelles. Le projet GQL va déclencher le développement de la prochaine génération de normes technologiques pour l'accès aux données, optimisées pour les données connectées du monde moderne. Sa charte s'appuie sur les fondements déjà établis par SQL et sur une collaboration continue pour assurer la compatibilité et l'interopérabilité SQL et GQL.
Stefan Plantikow, responsable produit et ingénieur spécialiste des normes de requête des graphes de propriétés chez Neo4j, devient chef de projet GQL et éditeur des spécifications GQL planifiées. Il détient de longues années d'expérience de développement du langage Cypher, une source clé pour GQL.
« Je pense que le moment est idéal pour que le secteur se rassemble et définisse la norme d'un langage de requête de graphes de nouvelle génération » déclare Stefan Plantikow. « C'est formidable que le besoin d'un langage standard soit officiellement reconnu. En s'appuyant sur une décennie d'expérience des requêtes de graphes de propriétés, GQL sera compatible avec les types et les structures de données de graphes natifs, avec son propre schéma de graphe, une approche de la requête, de l'insertion et de la manipulation des données basée sur les modèles, plus la capacité à créer de nouveaux graphes et visualisation de graphes, comme à générer des données en tableau et intégrées. Notre optique consiste à suivre, faire évoluer et intégrer les concepts clés de plusieurs langages existants, dont les extensions de graphes à SQL. »
GQL reflète la croissance rapide du marché des bases de données de graphes dont témoigne l'adoption grandissante du langage Cypher, lequel a démontré son potentiel et alimenté la demande d'un langage standard unique jouant le rôle de SQL pour les bases de données de graphes.
Outre Neo4j, de nombreuses entreprises participent déjà à des activités en lien avec GQL, parmi lesquelles Redis Labs, SAP et IBM. Des experts nationaux de Chine et de Corée se joignent aux participants basés en Europe et aux États-Unis.
Keith Hare, qui participe au processus de normalisation SQL depuis 1988 et occupe la chaire du comité international des normes SQL pour les langages de bases de données depuis 2005, retrace l'avancée vers GQL.
« Nous avons trouvé l'équilibre entre le lancement de GQL comme langage de requête des bases de données du futur et la préservation de la valeur et de l'ubiquité de SQL » indique Keith Hare. « Notre comité a grandement apprécié la participation internationale de la communauté pour lancer le projet GQL. Un tel soutien marque l'émergence d'une norme de droit et de fait. »
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