La finance est-elle une spécialité européenne. En tous cas après Cartesis en France, c’est Tagetik qui va tenter de reprendre le flambeau de l’indépendance. Ce marché s’est en effet quelque peu étouffé après le rachat de Cartesis par Business Objects, de Outooksoft par SAP, de Business Objects par SAP et de Hyperion par Oracle… Mais d’après Manuel Vellutini, directeur des opérations de l’éditeur, il reste largement de la place pour un éditeur européen qui non seulement dit répondre aux mêmes qualités que les plus grands, tout en restant plus agile.
Après avoir confié la Grande-Bretagne et l’Allemagne à des distributeurs exclusifs, Tagetik envisage l’ouverture d’un bureau en France, « un marché complexe » ressentent-ils.
L’éditeur s’orienterait vers l’ouverture d’un petit bureau chargé des ventes et du marketing, et la signature de deux ou trois accords de distribution avec de grands intégrateurs spécialisés dans la gestion de la performance. Mais le discours ne semble pas encore assuré et Tagetik semble être en pleine phase de négociation. Il faut donc ne pas trop en dire, et faire monter les enchères… entre bluff et poker.
La base clients de Tagetik est importante… en Italie. Surtout dans le domaine bancaire où Tagetik équiperait plus de vingt banques italiennes. Sa capacité à assurer le reporting auprès de la Banque Centrale lui aurait permis de convaincre ainsi les établissements financiers.
En France un premier client utiliserait la solution, la filiale française du groupe italien Menarini, spécialisé dans pharmacie. En Allemagne, c’est l’assureur Talax/Gerling qui aurait installé le premier la solution.
Une solution très proche de celle de Outlooksoft, unifiée, mais qui disposerait d’atouts techniques, au nombre desquels une plus grande indépendance vis-à-vis de la base de données. Une proximité importante quand même qui a conduit Bani Bandolini, en charge des opérations internationales de Outlooksoft avant le rachat par SAP, à prendre la même fonction chez Tagetik.
Après avoir confié la Grande-Bretagne et l’Allemagne à des distributeurs exclusifs, Tagetik envisage l’ouverture d’un bureau en France, « un marché complexe » ressentent-ils.
L’éditeur s’orienterait vers l’ouverture d’un petit bureau chargé des ventes et du marketing, et la signature de deux ou trois accords de distribution avec de grands intégrateurs spécialisés dans la gestion de la performance. Mais le discours ne semble pas encore assuré et Tagetik semble être en pleine phase de négociation. Il faut donc ne pas trop en dire, et faire monter les enchères… entre bluff et poker.
La base clients de Tagetik est importante… en Italie. Surtout dans le domaine bancaire où Tagetik équiperait plus de vingt banques italiennes. Sa capacité à assurer le reporting auprès de la Banque Centrale lui aurait permis de convaincre ainsi les établissements financiers.
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