IXIS à Paris est un client Sybase IQ
Déjà choisi par 200 institutions financières à travers le monde, Sybase IQ satisfait pleinement son éditeur. Le secteur financier a connu 31 % de croissance annuelle sur la période 2003 – 2006 dans le chiffre d’affaires global de l’éditeur. Il devient donc un contributeur majeur aux résultats de Sybase. Parmi les clients de Sybase IQ dans ce secteur on peut citer BNP Paribas, Crédit Suisse, IXIS, Fortis, le NYSE, Morgan Stanley… Dans un secteur où la réactivité se chiffre quotidiennement en millions de dollars, des temps de réponse réduits de 800 % comme l’a constaté Tom Lu, Database Manager chez Barclays, ne peuvent qu’être un argument qui fasse mouche. Ce même client avance également des temps de chargement de la base divisés par seize !
« Nos utilisateurs ont été surpris d’obtenir des réponses en temps réel », explique Pierre-Alexandre Pautrat, chef de département informatique chez IXIS à Paris. « Nos utilisateurs obtiennent aujourd’hui plus rapidement des réponses à des requêtes personnalisées, qu’aux états préformatés du système précédant ».
Un tel succès technique, confirmé par la majorité des clients, en semble presque étonnant. On se demande du coup pourquoi Sybase ne parvient pas à imposer plus largement sa solution dans le monde du décisionnel face aux solutions de Oracle, Microsoft, Cognos… et d’autres encore. Un des arguments de l’éditeur est d’ailleurs de s’adapter aux infrastructures matérielles de ses clients grâce à son architecture ouverte tout en permettant le stockage de volumes « immenses » de données ; coup de griffe à peine déguisé aux stratégies de Teradata, Netezza ou HP avec NeoView.
Est-ce un choix stratégique de Sybase de concentrer ses forces sur quelques comptes cibles ? Mais alors un concurrent ne pourrait-il pas chercher à s’emparer, par acquisition ou par développement, d’une telle technologie pour la diffuser plus largement tant elle semble répondre aux besoins actuels des systèmes décisionnels ?
« Nos utilisateurs ont été surpris d’obtenir des réponses en temps réel », explique Pierre-Alexandre Pautrat, chef de département informatique chez IXIS à Paris. « Nos utilisateurs obtiennent aujourd’hui plus rapidement des réponses à des requêtes personnalisées, qu’aux états préformatés du système précédant ».
Un tel succès technique, confirmé par la majorité des clients, en semble presque étonnant. On se demande du coup pourquoi Sybase ne parvient pas à imposer plus largement sa solution dans le monde du décisionnel face aux solutions de Oracle, Microsoft, Cognos… et d’autres encore. Un des arguments de l’éditeur est d’ailleurs de s’adapter aux infrastructures matérielles de ses clients grâce à son architecture ouverte tout en permettant le stockage de volumes « immenses » de données ; coup de griffe à peine déguisé aux stratégies de Teradata, Netezza ou HP avec NeoView.
Est-ce un choix stratégique de Sybase de concentrer ses forces sur quelques comptes cibles ? Mais alors un concurrent ne pourrait-il pas chercher à s’emparer, par acquisition ou par développement, d’une telle technologie pour la diffuser plus largement tant elle semble répondre aux besoins actuels des systèmes décisionnels ?