SiSense propose de nombreuses formes de représentation graphique dont certaines rarement proposées par d’autres éditeurs comme les roses des vents ou les entonnoirs, mais aussi tous les graphiques habituels.
La version 4.5 permettra de se connecter à des structures Hadoop, Amazon Redshift et Heroko Postgres.
SiSense met l’accent sur sa puissance de calcul qui lui permettrait d’analyser jusqu’à 10 To de données sur un serveur d’entrée de gamme. C’est la technologie « in-chip » développée par SiSense, et que l’éditeur présente comme étant l’évolution de la technologie « in-memory ».
« Nous pensons que l’analyse en mémoire relève du passé, pas du futur », explique Amid Bendov, CEO de SiSense. « Nous sommes déjà deux étapes plus loin ».
Dans la solution SiSense, les données sont stockées sur disque. Un PC portable équipé de 8 Go de mémoire suffirait à analyser 1 To de données.
C’est l’utilisation de la puissance parallèle des cœurs du processeur qui est optimisée. Ainsi SiSense optimise les transferts de données entre le disque, la mémoire vive, les mémoires caches du processeur, pour réaliser un maximum d’analyses pendant que l’information est proche du processeur. Ainsi le processeur est optimisé pour faire une chose à la fois, mais le faire sur l’ensemble des données de la requête et éviter ainsi les allers-retours. Cette technologie permettrait d’obtenir un rapport vitesse d’analyse / coût de la machine, inégalé à ce jour.
SiSense dit avoir une politique de prix agressive pour convaincre les utilisateurs de tester sa solution et affiche son slogan « La meilleure valeur, les prix les plus bas ». Une offre d’essai gratuite est d’ailleurs disponible. Une fois décidé, le client souscrit à un modèle récurrent, sous forme d’abonnement, avec différents niveaux de fonctionnalités. Mais SiSense n’est pas très transparent sur ses prix ; le site ne propose que d’obtenir un devis sur demande. De nombreux prix circulent sur le web, sans que l’on puisse comprendre clairement la structure de la liste de prix de SiSense, et l’éditeur semble avoir du mal à communiquer sur un prix fixe.
L’enjeu pour SiSense est de se faire une place sur le marché très encombré de l’analyse de données. Mais le passé a déjà démontré son besoin de renouvellement perpétuel. Il y a donc de la place pour un nouvel acteur, soit en complément, soit en remplacement d’un fournisseur actuel. Mais cette prise de position sur le marché a un coût. Avoir une bonne technologie est indispensable, mais ne suffit pas. Il faut se faire connaître et convaincre les clients de changer de solution, puisque nous sommes sur un marché de renouvellement. SiSense a levé plusieurs fois du capital (encore récemment 10 millions de dollars), qu’il devrait employer à renforcer ses équipes de vente, à construire sa notoriété encore faible dès que l’on sort de la sphère des spécialistes, et à structurer l’entreprise.
La version 4.5 permettra de se connecter à des structures Hadoop, Amazon Redshift et Heroko Postgres.
SiSense met l’accent sur sa puissance de calcul qui lui permettrait d’analyser jusqu’à 10 To de données sur un serveur d’entrée de gamme. C’est la technologie « in-chip » développée par SiSense, et que l’éditeur présente comme étant l’évolution de la technologie « in-memory ».
« Nous pensons que l’analyse en mémoire relève du passé, pas du futur », explique Amid Bendov, CEO de SiSense. « Nous sommes déjà deux étapes plus loin ».
Dans la solution SiSense, les données sont stockées sur disque. Un PC portable équipé de 8 Go de mémoire suffirait à analyser 1 To de données.
C’est l’utilisation de la puissance parallèle des cœurs du processeur qui est optimisée. Ainsi SiSense optimise les transferts de données entre le disque, la mémoire vive, les mémoires caches du processeur, pour réaliser un maximum d’analyses pendant que l’information est proche du processeur. Ainsi le processeur est optimisé pour faire une chose à la fois, mais le faire sur l’ensemble des données de la requête et éviter ainsi les allers-retours. Cette technologie permettrait d’obtenir un rapport vitesse d’analyse / coût de la machine, inégalé à ce jour.
SiSense dit avoir une politique de prix agressive pour convaincre les utilisateurs de tester sa solution et affiche son slogan « La meilleure valeur, les prix les plus bas ». Une offre d’essai gratuite est d’ailleurs disponible. Une fois décidé, le client souscrit à un modèle récurrent, sous forme d’abonnement, avec différents niveaux de fonctionnalités. Mais SiSense n’est pas très transparent sur ses prix ; le site ne propose que d’obtenir un devis sur demande. De nombreux prix circulent sur le web, sans que l’on puisse comprendre clairement la structure de la liste de prix de SiSense, et l’éditeur semble avoir du mal à communiquer sur un prix fixe.
L’enjeu pour SiSense est de se faire une place sur le marché très encombré de l’analyse de données. Mais le passé a déjà démontré son besoin de renouvellement perpétuel. Il y a donc de la place pour un nouvel acteur, soit en complément, soit en remplacement d’un fournisseur actuel. Mais cette prise de position sur le marché a un coût. Avoir une bonne technologie est indispensable, mais ne suffit pas. Il faut se faire connaître et convaincre les clients de changer de solution, puisque nous sommes sur un marché de renouvellement. SiSense a levé plusieurs fois du capital (encore récemment 10 millions de dollars), qu’il devrait employer à renforcer ses équipes de vente, à construire sa notoriété encore faible dès que l’on sort de la sphère des spécialistes, et à structurer l’entreprise.