Serena Capital, leader européen dans les investissements en AI avec plus de 14 sociétés financées en à peine 2 ans, a analysé les milliers de levées de fonds en Europe en 2017 pour ne retenir que les 516 startups financées cette année en Europe dans les domaines de l’intelligence Artificielle et du Big Data (vs 271 l’année précédente).
Le nombre de levées de fonds dans l’AI en Europe a été multiplié par 7 en à peine 2 ans (2017 vs 2015), les montant investis atteignent à présent les 2.2 Mds€ en rythme annuel (vs 700M€ l’année précédente). Cette lame de fond(s) se constate dans toute l’Europe et touche des secteurs de plus en plus variés, en ce compris des secteurs traditionnels comme la santé (ex. la découverte de nouveaux médicaments), l’agriculture (ex. l’amélioration des récoltes et réduction des herbicides) ou encore l’environnement (ex. la collecte des déchets).
Les levées early stages continuent de progresser, le UK creuse encore son écart avec la France et l’Allemagne mais Paris et Berlin accélèrent le rythme avec une très belle croissance des montant investis avec un quasi-triplement en l’espace d’un an. Les Series C (ie. les tours de plus de 20 M$) dans l’AI font quant à elle une apparition remarquée sur le vieux continent. L’écosystème AI a muri, les précédentes levées en seeds ont fini par produire les Dataiku, Shift et autres Darktrace d’aujourd’hui, qui ont su convaincre les investisseurs pour des montants significatifs de plusieurs dizaines de millions d’euros chacune.
L’IA a un impact direct et significatif sur l’emploi
L’étude s’attache également à vouloir mesurer l’impact potentiel des startups AI financées depuis 2014 sur l’emploi direct dans l’AI. On sait à présent que plus de 32.000 personnes travaillent pour une startup AI ayant reçu du financement, soit de VC, soit de Business Angels.
Le nombre de levées de fonds dans l’AI en Europe a été multiplié par 7 en à peine 2 ans (2017 vs 2015), les montant investis atteignent à présent les 2.2 Mds€ en rythme annuel (vs 700M€ l’année précédente). Cette lame de fond(s) se constate dans toute l’Europe et touche des secteurs de plus en plus variés, en ce compris des secteurs traditionnels comme la santé (ex. la découverte de nouveaux médicaments), l’agriculture (ex. l’amélioration des récoltes et réduction des herbicides) ou encore l’environnement (ex. la collecte des déchets).
Les levées early stages continuent de progresser, le UK creuse encore son écart avec la France et l’Allemagne mais Paris et Berlin accélèrent le rythme avec une très belle croissance des montant investis avec un quasi-triplement en l’espace d’un an. Les Series C (ie. les tours de plus de 20 M$) dans l’AI font quant à elle une apparition remarquée sur le vieux continent. L’écosystème AI a muri, les précédentes levées en seeds ont fini par produire les Dataiku, Shift et autres Darktrace d’aujourd’hui, qui ont su convaincre les investisseurs pour des montants significatifs de plusieurs dizaines de millions d’euros chacune.
L’IA a un impact direct et significatif sur l’emploi
L’étude s’attache également à vouloir mesurer l’impact potentiel des startups AI financées depuis 2014 sur l’emploi direct dans l’AI. On sait à présent que plus de 32.000 personnes travaillent pour une startup AI ayant reçu du financement, soit de VC, soit de Business Angels.